15 résultats pour "suprême"
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HEGEL: «L'État, comme réalité en acte de la volonté substantielle, [...] est le rationnel en soi et pour soi [...] dans lequel la liberté obtient sa valeur suprême.»
Thème 375 HEGEL: «L'État, comme réalité en acte de la volonté substantielle, [...] est le rationnel en soi et pour soi [...] dans lequel la liberté obtient sa valeur suprême.» Il n'y a de liberté véritable que dans et par l'État. «L'État, comme réalité en acte de la volonté substantielle, [...] est le rationnel en soi et pour soi [...] dans lequel la liberté obtient sa valeur suprême. » Hegel, Principes de la philosophie du droit (1821). • Hegel se situe ici dans la lignée d'Aristote, pour qui l...
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Le bonheur est-il le bien suprême ?
INTRODUCTION Tout homme recherche son propre bien. Le bonheur, compris comme état de plénitude, peut être identifié au bien suprême s'il est la première finalité poursuivie par l'individu, celle qui surpasse toutes les autres, celle qui est la plus importante. Le qualificatif suprême suppose qu'il n'y a rien au-dessus. Mais si être heureux constitue le bien suprême qu'en est-il des moyens ? Tous les moyens sont-ils bons pour être heureux ? La recherche du bonheur et celle de la vertu peuvent s'o...
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Le bonheur est-il le bien suprême ?
INTRODUCTION Tout homme recherche son propre bien. Le bonheur, compris comme état de plénitude, peut être identifié au bien suprême s'il est la première finalité poursuivie par l'individu, celle qui surpasse toutes les autres, celle qui est la plus importante. Le qualificatif suprême suppose qu'il n'y a rien au-dessus. Mais si être heureux constitue le bien suprême qu'en est-il des moyens ? Tous les moyens sont-ils bons pour être heureux ? La recherche du bonheur et celle de la vertu peuvent s'o...
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Le bonheur est-il le bien suprême ?
INTRODUCTION Tout homme recherche son propre bien. Le bonheur, compris comme état de plénitude, peut être identifié au bien suprême s'il est la première finalité poursuivie par l'individu, celle qui surpasse toutes les autres, celle qui est la plus importante. Le qualificatif suprême suppose qu'il n'y a rien au-dessus. Mais si être heureux constitue le bien suprême qu'en est-il des moyens ? Tous les moyens sont-ils bons pour être heureux ? La recherche du bonheur et celle de la vertu peuvent s'o...
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Baruch SPINOZA
Après que l'expérience m'eût appris que tout ce qui arrive communément dans la vie ordinaire est vain et futile, et que je vis que tout ce qui était pour moi objet de crainte ne contenait rien de bon ni de mauvais en soi, mais seulement en tant que l'âme en était mue, je me décidai finalement à rechercher s'il n'y avait pas quelque chose qui fût un bien véritable, capable de se communiquer, et tel que l'âme, rejetant tout le reste, pût être affectée, par lui seul ; bien plus, s'il n'y avait pas...
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L'usage est la règle et la loi suprême du langage. ?
Analyse. · · · · · · · Le sujet qui nous est donné ici nous met face à deux méthodes : o Soit l'on considère que le langage n'est qu'un outil évoluant avec nous et par nous. A ussi, l'usage est-il alors la règle, effectivement. C ela signifie par là que les termes ne désignent plus nécessairement l'objet prévu au départ. o Soit, au contraire, on considère comme acquis les termes donnés aux objets, et l'on pose la définition comme en pouvant subir de changement dans le temps. A ussi, à modifica...
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L'idéal contemplatif : la métaphysique, science suprême ?
Définition des termes du sujet: IDÉAL: Adjectif désignant ce qui se rapporte à une idée. On l'oppose à empirique. On qualifie aussi d'idéal, quelque chose qui n'existe d'en pensée. Substantif désignant un modèle à suivre (un idéal de vertu par exemple). CONTEMPLATION Du latin contemplatio, . observation attentive » (traduit le grec theôria). * Chez Platon, vision par l'âme des réalités intelligibles. Chez Aristote, activité désintéressée de l'esprit, par opposition à l'action pratique. * Dans le...
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ARISTOTE: «Comme la politique utilise
les autres sciences pratiques, qu'elle légifère sur ce qu'il faut
faire et éviter, la fin qu'elle poursuit peut embrasser la fin des
autres sciences, au point d'être le bien suprême de l'homme.»
PRESENTATION DE L' "ETHIQUE A NICOMAQUE" DE ARISTOTE Au regard de la tripartition du savoir classique dans l'Antiquité (logique, physique et éthique), l'Éthique à Nicomaque constitue l'oeuvre la plus aboutie de la partie éthique. En délimitant le champ des affaires humaines par exclusion de la nature et du divin, elle constitue le premier effort pour penser l'action humaine de manière immanente et autonome et lui reconnaître ainsi une positivité ontologique. Aristote (384-322 av. J.-C.) y opère...
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HEGEL: «L'État, comme réalité en
acte de la volonté substantielle, [...] est le rationnel en soi et pour
soi [...] dans lequel la liberté obtient sa valeur suprême.»
Thème 375 HEGEL: «L'État, comme réalité en acte de la volonté substantielle, [...] est le rationnel en soi et pour soi [...] dans lequel la liberté obtient sa valeur suprême.» Il n'y a de liberté véritable que dans et par l'État. «L'État, comme réalité en acte de la volonté substantielle, [...] est le rationnel en soi et pour soi [...] dans lequel la liberté obtient sa valeur suprême. » Hegel, Principes de la philosophie du droit (1821). • Hegel se situe ici dans la lignée d'Aristote, pour qui l...
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Nietzsche
Le poids le plus lourd. — Et si, un jour ou une nuit, un démon venait se glisser dans ta suprême solitude et te disait : « Cette existence, telle que tu la mènes, et l'as menée jusqu'ici, il te faudra la recommencer et la recommencer sans cesse ; sans rien de nouveau ; tout au contraire ! La moindre douleur, le moindre plaisir, la moindre pensée, le moindre soupir, tout de ta vie reviendra encore, tout ce qu'il y a en elle d'indiciblement grand et d'indiciblement petit, tout reviendra, et revien...
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Fiche de cours en philo : LE BONHEUR .
• Saisissez bien le passage de l'eudémonisme (§ 3, 4, 5) - c'està-dire d'une philosophie pour qui le but de la vie humaine est le bonheur -, qui caractérise la réflexion de l'Antiquité classique, à une vision moderne, parfois chrétienne, beaucoup plus pessimiste, considérant notre monde comme celui du malheur (§ 6). • Plaisir, joie et bonheur se distinguent profondément, ce dernier se définissant comme un état de satisfaction complète et de plénitude (§ 1). Le bonheur est également un accord ent...
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Locke: Le droit de propriété est-il une entrave à la vie en société ?
Locke: La raison pour laquelle les hommes entrent en société, c'est qu'ils veulent sauvegarder leur propriété ; la fin qu'ils se proposent lorsqu'ils choisissent et habilitent un pouvoir législatif, c'est de faire adopter des lois et établir des règles, qui servent de protection et de clôture à la propriété dans la société entière, de façon que chaque élément, ou chaque membre de celle-ci, détienne seulement un pouvoir limité et une autorité tempérée. En aucun cas, on ne saurait imaginer que...
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Locke: Le droit de propriété est-il une entrave à la vie en société ?
Locke: La raison pour laquelle les hommes entrent en société, c'est qu'ils veulent sauvegarder leur propriété ; la fin qu'ils se proposent lorsqu'ils choisissent et habilitent un pouvoir législatif, c'est de faire adopter des lois et établir des règles, qui servent de protection et de clôture à la propriété dans la société entière, de façon que chaque élément, ou chaque membre de celle-ci, détienne seulement un pouvoir limité et une autorité tempérée. En aucun cas, on ne saurait imaginer que la...
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FEUERBACH et la religion
Dans ce texte, le philosophe allemand Feuerbach défend une thèse athée que ses contemporains lui ont reprochée au point de lui refuser toute chaire d'enseignement supérieur. En effet, Feuerbach est un penseur non seulement athée mais matérialiste, qui ne voit pas dans le sentiment religieux l'expression d'un amour pour le divin, mais bien d'un amour de l'homme pour lui-même. Car la thèse centrale dans ce texte est bien celle-ci : l'amour que l'individu porte à Dieu est en réalité un amour qu'il...
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Alain: Faut-il distinguer artiste et artisan ?
Lorsqu'il s'agit du beau et de l'art, l'opinion oscille souvent entre deux attitudes contradictoires. Tantôt on souligne la relativité des jugements qui s'y rapportent, celle des « goûts et des couleurs ", en s'en remettant à la subjectivité de chacun. Tantôt, au contraire, on se rapporte à un étalon ou à une mesure objective, qui se trouverait dans la connaissance des experts ou des artistes officiels, pour décider de ce qui est beau ou non, artistique ou pas. Cette hésitation fait ressorti...