225 résultats pour "propres"
-
Selon Soljenitsyne, « une littérature [...] qui n'ose communiquer à la société ses propres souffrances et ses propres aspirations, qui n'est pas capable d'apercevoir à temps les dangers sociaux et moraux qui la concernent, ne mérite même pas le nom de li
Demande d'échange de corrigé de Zhang William ([email protected]). Sujet déposé : Selon Soljenitsyne, « une littérature [...] qui n'ose communiquer à la société ses propres souffrances et ses propres aspirations, qui n'est pas capable d'apercevoir à temps les dangers sociaux et moraux qui la concernent, ne mérite même pas le nom de littérature. » Pensez-vous, comme Soljenitsyne, qu'une oeuvre littéraire doive assumer une telle responsabilité dans la société de son temps ? Vous fonderez votr...
-
La finalité de la philosophie est-elle son propre apprentissage ?
Incipit : Il est courant de reprocher à la philosophie son absence de finalité autre que l'entretien perpétuel de son activité. Ce qui lui est alors reproché est son manque de prise sur le réel, son inefficacité, son inutilité pratique efficiente. La philosophie n'aurait-elle donc pour finalité que celle de son propre apprentissage ? A cela, le philosophe répond, pour autant qu'il soit un minimum hégélien (E. Weil, La logique de la philosophie), qu'accepter de discuter l'inutilité de la philosop...
-
PEUT-ON ETRE JUSTE TOUT EN RECHERCHANT SON PROPRE INTERET ?
La justice consiste à la fois dans une institution et dans une disposition morale qui visent au respect du droit, ainsi que dans une volonté d'équité, c'est-à-dire d'accorder à chacun ce qui lui est dû, et d'égalité, qui est d'appliquer la même loi et les mêmes peines à chacun sans discrimination. Se demander si l'on peut être juste tout en recherchant son propre intérêt amène à s e poser une double question. En effet, on peut penser qu'être juste tout en recherchant son propre intérêt signif...
-
En quoi peut-on dire que parler est le propre de l'homme ?
introduction Critiquant les vues de Montaigne et de Charron qui avançaient « qu'il y a plus de différences d'homme à homme, que d'homme à bête », Descartes observait : « il est fort remarquable que la parole ne convient qu'à l'homme seul » (Lettre au marquis de Newcastle, Lettres, P.U.F., p. 161). Le langage serait le propre de l'homme et un critère objectif de différenciation de ce dernier d'avec l'animal. Mais ne constatons-nous pas que les animaux eux aussi communiquent entre eux, qu'ils...
-
FREUD: Le moi n'est pas maitre dans sa propre maison.
Freud va être amené à concevoir que bon nombre de maladies, mais aussi d'actes quotidiens s'expliquent si l'on admet l'hypothèse de l'inconscient. Il y aurait en nous u « réservoir » de forces et de désirs (ou pulsions) dont nous n'aurions pas conscience, mais qui agiraient sur nous.. P our le dire brutalement, en ce sens, l'homme n'agirait pas (ne choisirait pas ses actes e toute connaissance de cause, dans la clarté), mais serait agi (c'est-à-dire subirait, malgré lui, des forces le contrai...
-
Le langage est le propre de l'homme - DESCARTES
Le langage est le propre de l'homme Il n'y a pas de préjugé auquel nous ne soyons tous plus accoutumés qu'à celui qui nous a persuadés depuis notre enfance que les bêtes pensent. De tous les arguments qui nous persuadent que les bêtes sont dénuées de pensée, le principal, à mon avis, est que bien que les unes soient plus parfaites que les autres dans une même espèce, tout de même que chez les hommes, comme on peut voir chez les chevaux et chez les chiens, dont les uns apprennent beaucoup plu...
-
La liberté est-elle le propre de l'homme ?
Ce qu'il ne faut pas faire Se jeter sur une définition immédiate (et brutale) de la liberté. En effet, le concept de liberté est riche d'ambiguïtés et d'équivoques ! Ce qu'il faut faire Demandez-vous de quelle liberté il s'agit : philosophique ? politique ? physique ? etc. Analyse du sujet : Liberté : Avant tout, la liberté désigne l'absence de toute contrainte étrangère et extérieure. A l'origine : libre condition de l'homme qui n'est pas esclave, qui dispose de sa personne et participe à la vi...
-
Nietzsche: La création est-elle le propre de l'art ?
C'est ainsi notre vanité, notre amour-propre qui nous poussent au culte du génie : car il nous faut l'imaginer très loin de nous, en vrai miraculum, pour qu'il ne nous blesse pas (...). Mais, compte non tenu de ces insinuations de notre vanité, l'activité du génie ne paraît pas le moins du monde quelque chose de foncièrement différent de l'activité de l'inventeur en mécanique, du savant astronome ou historien, du maître en tactique. Toutes ces activités s'expliquent si l'on se représente des hom...
-
-
FREUD: le moi n'est pas maître dans sa propre maison...
Freud va être amené à concevoir que bon nombre de maladies, mais aussi d’actes quotidiens s’expliquent si l’on admet l’hypothèse de l’inconscient. Il y aurait en nous u « réservoir » de forces et de désirs (ou pulsions) dont nous n’aurions pas conscience, mais qui agiraient sur nous.. P our le dire brutalement, en ce sens, l’homme n’agirait pas (ne choisirait pas ses actes e toute connaissance de cause, dans la clarté), mais serait agi (c’est-à-dire subirait, malgré lui, des forces le contrai...
-
Le langage est le propre de l'homme
Le langage est le propre de l'homme Il n'y a pas de préjugé auquel nous ne soyons tous plus accoutumés qu'à celui qui nous a persuadés depuis notre enfance que les bêtes pensent. De tous les arguments qui nous persuadent que les bêtes sont dénuées de pensée, le principal, à mon avis, est que bien que les unes soient plus parfaites que les autres dans une même espèce, tout de même que chez les hommes, comme on peut voir chez les chevaux et chez les chiens, dont les uns apprennent beaucoup pl...
-
Le langage est le propre de l'homme
Le langage est le propre de l'homme Il n'y a pas de préjugé auquel nous ne soyons tous plus accoutumés qu'à celui qui nous a persuadés depuis notre enfance que les bêtes pensent. De tous les arguments qui nous persuadent que les bêtes sont dénuées de pensée, le principal, à mon avis, est que bien que les unes soient plus parfaites que les autres dans une même espèce, tout de même que chez les hommes, comme on peut voir chez les chevaux et chez les chiens, dont les uns apprennent beaucoup pl...
-
Le langage est le propre de l'homme - DESCARTES
Le langage est le propre de l'homme Il n'y a pas de préjugé auquel nous ne soyons tous plus accoutumés qu'à celui qui nous a persuadés depuis notre enfance que les bêtes pensent. De tous les arguments qui nous persuadent que les bêtes sont dénuées de pensée, le principal, à mon avis, est que bien que les unes soient plus parfaites que les autres dans une même espèce, tout de même que' chez les hommes, comme on peut voir chez les chevaux et chez les chiens, dont les uns apprennent beaucoup p...
-
Expliquer et discuter cette formule d'un philosophe : « Il n'y a que deux choses qui établissent en fait notre identité à nos propres yeux : la permanence de notre caractère et l'enchaînement de nos souvenirs »
Expliquer et discuter cette formule d'un philosophe : « Il n'y a que deux choses qui établissent en fait notre identité à nos propres yeux : la permanence de notre caractère et l'enchaînement de nos souvenirs » L'unité et l'identité du moi sont les postulats de notre vie pratique. Mais ces concepts d'unité et d'identité sont surtout employés dans un sens mathématique et ils en retiennent ici quelque chose qui peut fausser ce qu'éprouve la conscience et soulever des problèmes que la réalité ne co...
-
David HUME: la vérité de la religion au dedans de son propre coeur
Chaque homme sent, en quelque façon, la vérité de la religion au dedans de son propre coeur, et c'est la conscience de sa faiblesse et de sa misère, plutôt qu'aucun raisonnement, qui le porte à chercher protection en cet Être, dont il dépend ainsi que toute la nature. Il y a tant d'inquiétude et tant d'ennui jusque dans les meilleures scènes de la vie, que le futur reste toujours l'objet de tous nos espoirs et de toutes nos craintes. Nous ne cessons de regarder en avant, et de nous efforce...
-
Augustin Thierry déclare que, dans les circonstances critiques, l'étude la plus utile et la plus fortifiante pour une nation est celle de sa propre histoire. Vous expliquerez : 1° la thèse générale ; 2° l'application qu'on peut en faire à la situation pr
A ugustin T hierry déclare que, dans les circonstances critiques , l'étude la plus utile et la plus fortifiante pour une nation est celle de sa propre histoire. V ous expliquerez : 1° la thèse générale ; 2° l'application qu'on peut en faire à la situation présente de la France. PLAN Début. — Il est des heures, dans la vie d'un peuple, où il s e trouve en péril : qu'est-ce qui le réconfortera? a. Thierry nous dit : l'étude de sa propre histoire. Remarque préliminaire : Les sciences historiques en...
-
HOBBES: les hommes sont portés par le sentiment de leur propre faiblesse
Presque tous les hommes sont portés par le sentiment de leur propre faiblesse et par l'admiration, en laquelle ils se trouvent ravis des effets de la nature, à croire qu'il y a un Dieu, auteur invisible de toutes les choses que nous voyons et lequel aussi ils craignent, reconnaissant bien qu'ils n'ont pus en eux-mêmes assez de quoi se défendre des dansera qui les environnent. Mais au reste l'usage imparfait de leur raison et la violence de leurs affections empêchent qu'ils ne le servent co...
-
-
La parole est-elle le propre de l'homme
Introduction : L'homme semble se définir essentiellement comme un être qui se pose la question du sens. Cela est du au fait qu'il est un animal utilisant énormément le langage, il appréhende son existence entière à travers celui-ci et cherche donc un sens à son existence comme le langage permet de former des énoncés qui ont un sens. Le langage semble donc être le propre de l'homme. Mais les animaux ont aussi un langage, faut il alors dire que le langage n'est pas le propre de l'homme? Y a t il u...
-
DESCARTES: L'indifférence me semble signifier proprement l'état dans lequel se trouve la volonté...
« L'indifférence me semble signifier proprement l'état dans lequel se trouve la volonté lorsqu'elle n'est pas poussée d'un côté plutôt que de l'autre par la perception du vrai ou du bien ; et c'est en ce sens que je l'ai prise lorsque j'ai écrit que le plus bas degré de la liberté est celui ou nous nous déterminons aux choses pour lesquelles nous sommes indifférents./ Mais peut-être d'autres entendent-ils par indifférence la faculté positive de se déterminer pour l'un ou l'autre de deux contr...
-
Epictète: Comment être heureux ?
"Il y a ce qui dépend de nous, il y a ce qui ne dépend pas de nous. Dépendent de nous l'opinion, la tendance, le désir, l'aversion en un mot toutes nos oeuvres propres; ne dépendent pas de nous le corps, la richesse, les témoignages de considération, les hautes charges, en un mot toutes les choses qui ne sont pas nos oeuvres propres. Les choses qui dépendent de nous sont naturellement libres, sans empêchement, sans entrave; celles qui ne dépendent pas de nous sont fragiles, serves, facileme...
-
Epictète
Ce qui dépend de nous et ce qui ne dépend pas de nous C'est la règle à comprendre. Tout le malheur des hommes vient de ce qu'ils confondent ce qui est en leur pouvoir et ce qui n'est pas en leur pouvoir. Ils désirent ainsi ce qui ne dépend pas d'eux (envie, jalousie), s'affligent de ce qui leur échappe (deuil...) et sont ainsi esclaves des événements, des autres, du jugement des autres : du monde extérieur. Le but est donc de redevenir maître de soi, d'exercer sa maîtrise sur les seules choses q...
-
Epictète: Ce qui dépend de nous...
Ce qui dépend de nous et ce qui ne dépend pas de nous C'est la règle à comprendre. Tout le malheur des hommes vient de ce qu'ils confondent ce qui est en leur pouvoir et ce qui n'est pas en leur pouvoir. Ils désirent ainsi ce qui ne dépend pas d'eux (envie, jalousie), s'affligent de ce qui leur échappe (deuil...) et sont ainsi esclaves des événements, des autres, du jugement des autres : du monde extérieur. Le but est donc de redevenir maître de soi, d'exercer sa maîtrise sur les seules ch...
-
KANT
« Accéder aux Lumières consiste pour l'homme à sortir de la minorité où il se trouve par sa propre faute. Être mineur, c'est être incapable de se servir de son propre entendement sans la direction d'un autre. L'homme est par sa propre faute dans cet état de minorité quand ce n'est pas le manque d'entendement qui en est la cause mais le manque de décision et de courage à se servir de son entendement sans la direction d'un autre. Sapere aude! [Ose savoir!] Aie le courage de te servir de ton propre...
-
Le travail est-il le propre de l'homme ?
Analyse du sujet : Notre sujet se présente sous la forme s'une question fermée : il s'agira donc, au terme de notre réflexion de fournir une réponse en « oui » ou « non » avec toutes les nuances qui s'imposent. Deux notions interviennent – le travail et l'homme – mises en relation par l'expression « être le propre de ». N'est le propre de l'homme que ce qui le caractérise exclusivement, c'est-à-dire, ne caractérise rien d'autre que lui. Pourtant, nous disons des animaux qu'ils travaillent, soit...
-
Le langage est-il le propre de l'homme ?
Lectures conseillées A.- Lectures se rapportant à la notion de « propre ». Aristote analyse cette notion dans les Topiques (Vrin). Son analyse est reprise et commentée par le néoplatonicien Porphyre (223-304), disciple de Plotin, dans un ouvrage intitulé Introduction au traité des catégories. Ce livre est généralement connu sous son titre grec transcrit en français : Isagoge (Introduction) (Vrin éd.). Au XVIIe siècle, on trouve dans La Logique ou J'art de « penser » (souvent appelée Logique de P...
-
-
Le langage est-il le propre de l'homme ?
Lectures conseillées A.- Lectures se rapportant à la notion de « propre ». Aristote analyse cette notion dans les Topiques (Vrin). Son analyse est reprise et commentée par le néoplatonicien Porphyre (223-304), disciple de Plotin, dans un ouvrage intitulé Introduction au traité des catégories. Ce livre est généralement connu sous son titre grec transcrit en français : Isagoge (Introduction) (Vrin éd.). Au XVIIe siècle, on trouve dans La Logique ou J'art de « penser » (souvent appelée Logique de P...
-
Y a-t-il des concepts proprement philosophiques ?
Demander s'il y a des concepts proprement philosophiques c'est vouloir d'une certaine manière, prendre la mesure de la philosophie : est-elle une discipline qui parle un langage commun ou produit-elle, à l'occasion, son propre vocabulaire ? N'est-ce pas de là, de sa technicité, de ce qu'elle possède justement ses propres termes, qu'il est difficile de pénétrer dans la philosophie ? S'il y a des concepts seulement philosophiques, est-ce le signe d'un repli, de la philosophie sur elle-même, ou bie...
-
Weber: La violence est-elle nécessaire à l'État ? ?
eber: Mais qu'est-ce donc qu'un groupement politique du point de vue du sociologue ? Qu'est-ce qu'un État ? Lui non plus ne se laisse pas définir sociologiquement par le contenu de ce qu'il fait. Il n'existe en effet presque aucune tâche dont ne se soit pas occupé un jour un groupement politique quelconque ; d'un autre côté il n'existe pas non plus de tâches dont on puisse dire qu'elles aient de tout temps, du moins exclusivement, appartenu en propre aux groupements politiques que nous appelons...
-
A-t-on besoin d'une culture universelle ?
L'idéal unificateur de l'Humanisme est-il en train de devenir réalité, une réalité qui tournerait au cauchemar, identifié par Jacques Lesourne sous l'expression de «culture universelle »? Celle-ci paraît être d'abord le produit d'une époque de communication. Elle s'exprime en anglais, dans les aéroports, les grands hôtels, les centres économiques des mégapoles, les séminaires des chercheurs. Bref, c'est la culture d'une certaine jet set qui ne concerne qu'une « élite » internationale, habituée a...
-
La vérité peut-elle être propre à chacun ?
Définition des termes du sujet: VÉRITÉ La vérité concerne l'ordre du discours, et il faut en cela la distinguer de la réalité. Elle se définit traditionnellement comme l'adéquation entre le réel et le discours. Qualité d'une proposition en accord avec son objet. La vérité formelle, en logique, en mathématiques c'est l'accord de l'esprit avec ses propres conventions. La vérité expérimentale c'est la non-contradiction de mes jugements, l'accord et l'identification de mes énoncés à propos d'un donn...
-
Aristote: le bonheur est le souverain
PRESENTATION DE L' "ETHIQUE A NICOMAQUE" DE ARISTOTE Au regard de la tripartition du savoir classique dans l'Antiquité (logique, physique et éthique), l'Éthique à Nicomaque constitue l'oeuvre la plus aboutie de la partie éthique. En délimitant le champ des affaires humaines par exclusion de la nature et du divin, elle constitue le premier effort pour penser l'action humaine de manière immanente et autonome et lui reconnaître ainsi une positivité ontologique. Aristote (384-322 av. J.-C.) y op...
-
Peut-on juger sa propre culture ?
Discussion: L'embarras avec un tel sujet est qu'il propose au même individu d'être à la fois dedans et dehors, c'est-à-dire d'être à la fois lui-même et un autre. Juger sa culture, c'est être capable d'acquérir une distance réflexive à l'égard de celle-ci, distance que l'on obtient très difficilement dans la mesure où c'est cette même culture qui nous a appris à réfléchir. Suggestion de plan: I. Première partie: l'homme "est" sa culture. Il n'est d'existence humaine qu'au sein d'une culture spéc...
-
Chacun peut-il avoir sa propre vérité ?
Définition des termes du sujet: VÉRITÉ La vérité concerne l'ordre du discours, et il faut en cela la distinguer de la réalité. Elle se définit traditionnellement comme l'adéquation entre le réel et le discours. Qualité d'une proposition en accord avec son objet. La vérité formelle, en logique, en mathématiques c'est l'accord de l'esprit avec ses propres conventions. La vérité expérimentale c'est la non-contradiction de mes jugements, l'accord et l'identification de mes énoncés à propos d'un donn...
-
-
La culture nous prive-t-elle de liberté ?
Demande d'échange de corrigé de Blasco Olivia ([email protected]). Sujet déposé : La culture nous prive-t-elle de liberté ? L'être humain se caractérise comme capable de raisonner et d'agir selon sa propre volonté, soit être autonome. Cette faculté découle alors d'un apprentissage; passage de la vie nécessaire pour tout homme. Cependant chaque individu appartient à un groupe, à une société qui se caractérise par une culture dont il doit respecter les règles. L'Homme adopte alors des formes d...
-
Les hommes font ils leur propre histoire?
Pouvons-nous agir sur l'avenir, ou sommes-nous déterminés à être ce que nous sommes ? On peut remarquer que, dès notre naissance, nous sommes le produit de l'histoire de notre famille. L'homme est ce qu'il est parce qu'il naît dans une histoire : déterminé par son histoire personnelle, il l'est aussi par l'époque dans laquelle il vit. C'est ce que pense Hegel : l'essence de l'homme est l'histoire. L'homme est le produit des expériences historiques passées. L'homme n'est que le moyen de l'histoir...
-
La conscience est-elle le propre de l'homme ?
Analyse du sujet · Eléments de définition La conscience = du latin cum-scire qui signifie savoir avec. Connaissance plus ou moins claire que chacun possède immédiatement de son existence, de ses états (affections, représentations), de ses actions et du monde extérieur. Sentiment de soi-même, de son identité = Descartes, Lettre au Père Gibaud du 19 janvier 1642. / Locke Essai philosophique concernant l'entendement humain, L II, ch. XXVII. / Kant Critique de la raison pure, préface de la seconde...
-
La conscience est-elle le propre de l'homme ?
Analyse du sujet · Eléments de définition ® La conscience = du latin cum-scire qui signifie savoir avec. Connaissance plus ou moins claire que chacun possède immédiatement de son existence, de ses états (affections, représentations), de ses actions et du monde extérieur. Sentiment de soi-même, de son identité = Descartes, Lettre au Père Gibaud du 19 janvier 1642. / Locke Essai philosophique concernant l'entendement humain, L II, ch. XXVII. / Kant Critique de la raison pure, préface de la seconde...
-
La conscience est-elle le propre de l’homme
Dissertation philosophie La conscience est-elle le propre de l’Homme ? Souvent, lorsqu’on évoque le terme de conscience, on pense spontanément à la faculté de l’Homme d’être conscient de lui-même. On la désigne alors comme quelque chose exclusivement présent chez l’Homme. Mais, si on la définit comme la capacité à ressentir les expériences, bonnes comme mauvaises, dès lors, elle s’ouvre à un spectre plus large. Ainsi, faut-il admettre que d’autres êtres peuvent être conscients ? Autrem...
-
Heidegger: L'analyse du « on meurt»
En tant que projet, l'existence humaine est sur le mode de l'attente et de l'anticipation de soi comme possible. La possibilité la plus ultime de notre existence est notre propre mort. Orienté vers l'avenir par son mode d'être comme projet, le Dasein anticipe comme horizon de son attente sa propre fin. Il se rapporte alors à quelque chose qui n'est pas et qui ne sera jamais pour lui : son propre néant. C'est dans l'angoisse que se révèle le caractère abyssal d'une telle pensée. L'anticipatio...
-
Feuerbach: Conscience et sentiment de soi
«Quelle est donc la différence essentielle entre l'homme et l'animal? La plus simple et la plus générale des réponses à cette question est aussi la plus populaire : c'est la conscience. Mais la conscience au sens strict, car la conscience entendue comme sentiment de soi, capacité de distinguer les objets sensibles, de percevoir et même de juger des choses extérieures d'après des caractères sensibles déterminés, une telle conscience ne peut être refusée à l'animal. Mais la conscience au sens le p...
-
Peut-on saisir sa propre culture comme modèle ?
Analyse du sujet : Cette question est formulée de façon totale : elle appelle soit une réponse affirmative « oui l'on peut saisir sa propre culture comme modèle » ; soit une réponse négative « non on ne peut saisir sa propre culture comme modèle. Afin de pouvoir répondre à cette question, il va falloir dans un premier temps s'arrêter sur les concepts qui la composent : culture et modèle. Culture : Du latin cultura, culture du sol » (de colere, « cultiver »). Mise en valeur des terres (agricultur...
-
-
KANT: Comment sortir de l'état de minorité ?
Il est donc difficile pour chaque individu séparément de sortir de la minorité qui est presque devenue pour lui, nature. Il s'y est si bien complu, et il est pour le moment réellement incapable de se servir de son propre entendement, parce qu'on ne l'a jamais laissé en faire l'essai. Institutions (préceptes) et formules, ces instruments mécaniques de l'usage de la parole ou plutôt d'un mauvais usage des dons naturels, (d'un mauvais usage raisonnable) voilà les grelots que l'on a attachés au pied...
-
KANT
Devoir ! nom sublime et grand, toi qui ne renfermes rien en toi d'agréable, rien qui implique insinuation, mais qui réclames la soumission, qui cependant ne menaces de rien de ce qui éveille dans l'âme une aversion naturelle et épouvante, pour mettre en mouvement la volonté, mais poses simplement une loi qui trouve d'ellemême accès dans l'âme et qui cependant gagne elle-même, malgré nous, la vénération (sinon toujours l'obéissance), devant laquelle se taisent tous les penchants, quoiqu'ils agiss...
-
Faut-il penser à sa propre mort ?
[Comme le bien, le beau, le bonheur, la justice, la mort est un sujet de méditation. La penser, c'est conférer à la vie une signification existentielle. L'homme ne peut pas ignorer sa propre finitude.] La mort n'est pas le néant Pensant la mort, Schopenhauer en arrive à cette conclusion: «La mort (...) ne peut rien supprimer de plus que ce que la naissance avait établi (...). En ce sens natus et denatus est une belle expression» (Le Monde comme volonté et comme représentation). Méditer sur la mo...
-
Aie le courage de te servir de ton propre entendement
[1] "Les Lumières sont la sortie de l'homme de la minorité où il est par sa propre faute. La minorité est l'incapacité de se servir de son entendement sans la direction d'autrui. Cette minorité, nous la devons à notre propre faute lorsqu'elle n'a pas pour cause un manque d'entendement, mais un manque de décision et de courage pour se servir de son entendement sans la direction d'autrui. Sapere aude! Aie le courage de te servir de ton propre entendement ! Telle est donc la devise des Lumières." D...
-
NIETZSCHE: No future !
Texte : L'histoire est en second lieu le bien de l'homme qui veut conserver et vénérer le passé, de celui qui jette un regard fidèle et aimant vers ses origines, vers le monde où il a grandi ; par cette piété il s'acquitte en quelque sorte de sa dette de reconnaissance envers le passé. Entretenir d'une main pieuse, au profit de ceux qui viendront après lui, ce qui a toujours été, les conditions dans lesquelles il est né, c'est sa façon de servir la vie. La possession du bric-à-brac des ancêtres...
-
Les noms propres ont-ils un sens et une dénotation ?
Gottlob Frege 1892 Les no s propre ont-ils un sens et une dé otation? cmz, Les noms propres ont une dénotation (l'objet qu'ils désignent) et un sens (la façon dont cet objet est défini). ~ Si l'on pense que les noms propres ont un sens distinct de la dénotation, on se heurte à de sérieuses difficultés.
-
La pensée peut-elle concevoir son propre anéantissement
INTRODUCTION. — En philosophie plus encore qu'en mathématiques, à défaut, ou comme confirmation de la preuve directe on recourt aussi à la preuve par l'absurde qui consiste à montrer à l'adversaire que sa thèse implique une contradiction. C'est une preuve de ce genre que formulent les mots suivants de LACHELIER : « La pensée ne peut concevoir son propre anéantissement. » Mais quel est le sens et quelle est la valeur de cette affirmation ? « Pensée » est pris dans deux acceptions assez différente...
-
Notion : Travail Le travail est-il le propre de l’homme ?
Notion : Travail Le travail est-il le propre de l’homme ? Intro intérêt de la question : la question nous invite à nous interroger sur la place que l’on doit accorder au travail dans l’humanisation de l’homme. Le travail est-il se qui défini l’homme dans ce qu’il a de plus humain ? ou bien est-ce autre chose ? peut-on parler de travail animal ? Analyse et première réponse envisagé : l’homme est le seul être vivant à produire ses propres moyen d’existence par le travail. En ce sens, le...
-
-
Est-il possible d'agir à l'encontre de son propre jugement ?
Analyse du sujet : q Il est impératif de commencer par tenter de définir ce qu'est le jugement. Le jugement, en philosophie, désigne une faculté essentielle de l'entendement humain qui permet à l'homme d'évaluer la vérité d'une proposition, ou la valeur d'une action. Le jugement peut aussi bien porter sur des décisions de justice, il s'agit alors de dis cerner le juste de l'injuste, sur la vérité ou la fausseté d'une proposition que sur l'efficacité d'une action. Le dis cernement est sans doute...
-
L'homme prenant conscience de ce qui le détermine renonce-t-il à devenir libre ?
Introduction : Leibniz dit que l'aiguille d'une boussole qui aurait une conscience croirait qu'elle se déplace librement parce qu'elle ignorerait les forces magnétiques qui la meuvent. L'homme est une partie de la nature et, en tant que tel, il est soumis à des lois. D'autre part, le monde proprement huamin de la société et de la civilisation a lui-même ses propres lois. La liberté est le sentiment que nous avons de causer par nous-mêmes nos propres actes. Ce sentiment n'est-il qu'une illusion ?...