2212 résultats pour "homme"
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L'homme est-il né pour l'homme ?
Confronter cette conclusion avec les tentatives des philosophes de concilier sagesse et bonheur. Les philosophes grecs ont fait du bonheur la fin suprême de la vie, conception appelée "eudémonisme". Il est intéressant d'examiner comment ils ont envisagé la possibilité d'accorder bonheur et sagesse dans leurs philosophies morales. L'épicurisme est une de ces tentatives. La morale d'Épicure est dite "hédoniste" du fait qu'il place le plaisir au principe du bonheur. Mais s'agit-il de chercher à jou...
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L'homme-désir - Le désir est l'essence de l'homme - Spinoza
L'homme-désir - Le désir est l'essence de l'homme - Spinoza « le désir est l'essence de l'homme » (III, définition générale des affects) Affirmer cela, c'est d'abord reconnaître l'importance et la nécessité du désir ; irréductible à une imperfection, un manque, il est susceptible d'exprimer notre nature. Cela tient à la manière dont Spinoza envisage l'existence individuelle : chacune est caractérisée par une tendance à affirmer son être, le conatus, qui chez l'homme est conscient de luimê...
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Un critique contemporain, M. André Thérive, écrit : « La littérature dans son ensemble sert à faire mieux connaître l'homme. Au temps des classiques, la vérité générale, l'homme abstrait, suffisait encore. L'homme concret est une conquête de l'époque mod
Un critique contemporain, M. André Thérive, écrit : « La littérature dans son ensemble sert à faire mieux connaître l'homme. Au temps des classiques, la vérité générale, l'homme abstrait, suffisait encore. L'homme concret est une conquête de l'époque moderne ». Vous montrerez comment cette « conquête » a été préparée par les écrivains du XVIIIe siècle. INTRODUCTION Pour tout Français, penser au XVIIIe siècle, c'est penser à la Révolution. Et sans doute n'est-il pas illusoire de retrouver presque...
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Les philosophes classiques pensaient que la connaissance de soi-même conduirait à la libération de la personne ; or, les progrès de la psychologie ont souvent pour conséquence pratique le conditionnement de l'homme par l'homme. Une telle évolution est-el
Les philosophes classiques pensaient que la connaissance de soi-même conduirait à la libération de la personne ; or, les progrès de la psychologie ont souvent pour conséquence pratique le conditionnement de l'homme par l'homme. Une telle évolution est-elle inéluctable ? introduction. — En attendant le train, nous avons souvent lu en haut de la bascule établie sur le quai ou dans la salle d'attente cette invitation à se peser : « Qui souvent se pèse bien se connaît ; qui bien se connaît bien se p...
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Est-ce la raison qui fait l'homme ?
Introduction Affirmer que la raison fait l'homme c'est concevoir la raison comme étant une caractéristique essentielle de l'être humain. Par raison, il faut entendre une faculté de connaître supérieure qui permet à l'homme de bien juger et de bien agir. Généralement la raison est ce qui nous distingue des autres animaux, elle est la faculté propre à l'homme qui lui confère sa supériorité. Pour bien comprendre ce qui est en question ici, il faut différencier la possession d'une faculté de son usa...
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En quel sens peut-on dire que les droits de l'homme sont universels" ?
La question de l'homme et ses droits vis-à-vis de lui-même, d'autrui ou de la société ont toujours été un sujet de discussion, parfois de discordes, et même encore aujourd'hui. Chaque homme a besoin de savoir ce qu'il a le droit de faire ou de na ne pas faire. Dès la civilisation antique, puis plus tard dans les pays arabes, en Angleterre et en France, les droits de l'homme ont existé. Mais la vision de ces droits diffère selon les cultures, les origines, les systèmes politiques. Chacun a sa pro...
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L'homme est-il fait pour être libre ?
Analyse du sujet ® Liberté = Selon le sens commun, est pleinement libre celui qui a la possibilité de réaliser sans aucun obstacle que ce soit, tous ses désirs. Il s'agit donc d'un pouvoir absolu de la liberté capable de se déterminer infiniment (cf. Descartes, Lettre à Mesland, 6 février 1645) ß Lorsque le terme s'entend comme liberté spécifiquement humaine, ce terme reçoit habituellement des déterminations morales, psychologiques et politiques. ß La liberté morale serait donc le pouvoir idéale...
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La connaisannce de l'homme est-elle possible ?
Incipit : L'attrait de la problématique de notre énoncé tient à son ambiguïté syntaxic o-sémantique, ambiguïté qui en l'occurrence est conséquente à l'emploi du génitif. C ar le génitif peut fonctionner selon deux régimes distinc ts : le régime objectif – l'homme y serait dès lors à concevoir comme objet pass if de la connaissance ; le régime subjectif – et l'homme doit dans ce cas se concevoir comme sujet actif de la connaissance. S'interroger s ur la possibilité de la connaissance de l'homme t...
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Peut-on penser l'homme hors de l'histoire ?
Introduction : ‡ Bien définir les termes du sujet : - « Homme » : le terme est très vague et n'invite pas à considérer l'être humain dans un domaine particulier comme celui de la politique ou de la sociologie. Il ne s'agit pas uniquement de considérer, malgré l'absence de majuscule, un seul individu, mais plutôt les hommes en ce qu'ils ont de plus général. Il s'agit ainsi de regrouper tous les individus conscients. - « Histoire » : le terme ici n'a pas non plus de majuscule, et il est possible d...
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Est-il absurde de vouloir transformer l'homme ?
Demande d'échange de corrigé de racet quentin ([email protected]). Sujet déposé : Est-il insensé de vouloir transformer l'homme ? Dans ce devoir la grande question que l'on se pose est : est-il insensé de vouloir transformer l'homme ? En effet cette question nous amène à réfléchir sur le thème de la culture. Le mieux est de définir chaque termes important du sujet afin de pouvoir facilement comprendre la question posée. Le premier mot important de cette question est : insensé. La définition d'ins...
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LES HOMMES ONT-ILS PEUR DE LA VERITE ?
LES HOMMES ONT-ILS PEUR DE LA VERITE ? Introduction : Déf. : la vérité : vérité d'un fait, (que s'est-il passé ?), qu'il s'agisse de notre histoire personnelle ou de l'Histoire de l'humanité ; vérité d'une affirmation (me dit-il la vérité ?), vérités scientifiques (quelle est la cause de tel phénomène ?), vérités métaphysiques (Dieu, l'origine de l'homme…).Découvrir la vérité serait donc découvrir ce que les choses sont en elles-mêmes, retirer le voile qui les cache (vérité en grec se...
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L'homme n'est il qu'un animal civilisé ? ?
Incipit : V ouloir donner une définition de l'homme est pratique courante dans l'histoire de la philosophie, en partant du bipède sans plumes de Platon (rallié par Diogène) jusqu'à l'animal raisonnable des classiques, héritiers d'A ristote. Mais progres sivement, la question de la définition correcte s e réduit à n'être qu'exemple de logique et perd de sa teneur ontologique essentielle, ou essentialis te. A ujourd'hui, tenter une définition de l'homme, individu ou genre, tend à s e faire s ur le...
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La technique est elle ce qui arrache l'homme à la nature ?
Introduction : Ë Bien définir les termes du sujet : - « Technique » : Le terme est ici à prendre dans son sens moderne, il ne s'agit pas de l'ensemble des procédés d'un art ou d'un métier, mais de ce qui permet de remplacer la force humaine par la force mécanique. C'est la conséquence du progrès des sciences physiques, c'est l'utilisation systématique des forces naturelles ou transformées (charbon en vapeur, pétrole…) se substituant à la force manuelle, et actionnant des machines de plus en plus...
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ROUSSEAU: l'homme est faible
Pour Rousseau, l'homme à l'état de nature bénéficie d'une douce liberté, puisque il vit dans une indépendance. Ces besoins sont immédiatement satisfaits et n'a nullement besoin du secours des autres hommes pour bien vivre. La société apparaît selon Rousseau, non comme l'effet d'un besoin, mais naît des circonstances extérieures, qui sont d'ordres climatiques pour la plupart. En d'autres termes, la société n'a rien de nécessaires, mais est accidentelle. Ainsi selon lui : « L'extrême inégalité dan...
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SPINOZA, le désir comme essence de l'homme
Le désir est l'essence même de l'homme, en tant qu'elle est conçue comme déterminée, par une quelconque affection d'elle-même, à faire quelque chose. EXPLICATION : Nous avons dit plus haut, dans le scolie de la proposition de cette partie, que le désir est l'appétit qui a conscience de lui-même, et que l'appétit est l'essence même de l'homme, en tant qu'elle est déterminée à faire les choses qui sont utiles à sa conservation. Mais, dans le même scolie, j'ai fait observer aussi qu'en réalité,...
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Privilégier la conscience est-ce surestimer l'homme ?
Introduction : L'homme se caractérise par la conscience qu'il a de lui-même. La conscience est donc une faculté proprement humaine, qui s'origine dans le sentiment de sa propre existence et de son être dans le monde. Le privilège accordé à la conscience distingue donc avant tout l'homme de l'animal. Cette différenciation opère-t-elle par conséquent une distinction de valeur, en accordant une supériorité à l'homme sur le monde vivant ? Privilégier la conscience, c'est donner raison à la conscienc...
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Le langage est le propre de l'homme
Le langage est le propre de l'homme Il n'y a pas de préjugé auquel nous ne soyons tous plus accoutumés qu'à celui qui nous a persuadés depuis notre enfance que les bêtes pensent. De tous les arguments qui nous persuadent que les bêtes sont dénuées de pensée, le principal, à mon avis, est que bien que les unes soient plus parfaites que les autres dans une même espèce, tout de même que chez les hommes, comme on peut voir chez les chevaux et chez les chiens, dont les uns apprennent beaucoup pl...
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Peut-on attribuer à l'animal une valeur identique a celle de l'homme ?
Introduction : L'animal et l'homme sont deux vivants. Pourtant, force est de constater que nous avons tendance à considérer qu'il y a ne différence intrinsèque entre l'homme et l'animal. Mais sur quoi se fonde-t-elle ? De la conscience, de l'âme, du corps, du langage ? Sans doute pas comme nous le montre les dernières recherches sur les animaux. Dans ce cas, se pose pour nous une autre question qui pourtant est le symétrique de la précédente à savoir : peut-on attribuer à l'animal une valeur ide...
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LOCKE et l'état de nature de l'homme
Si l'homme, dans l'état de nature, est aussi libre que j'ai dit, s'il est le seigneur absolu de sa personne et de ses possessions, égal au plus grand et sujet à personne; pourquoi se dépouille-t-il de sa liberté et de cet empire, pourquoi se soumet-il à la domination et à l'inspection de quelque autre pouvoir? Il est aisé de répondre, qu'encore que, dans l'état de nature, l'homme ait un droit, tel que nous avons posé, la jouissance de ce droit est pourtant fort incertaine et exposée sans ces...
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« Les choses absurdes sont les seules agréables, les seules belles, les seules qui donnent de la grâce à la vie et qui nous empêchent de mourir d'ennui. Un poème, une statue, un tableau raisonnable feraient bâiller tous les hommes, même les hommes raison
« Les choses absurdes sont les seules agréables, les seules belles, les seules qui donnent de la grâce à la vie et qui nous empêchent de mourir d'ennui. Un poème, une statue, un tableau raisonnable feraient bâiller tous les hommes, même les hommes raisonnables » (Livre de mon ami) Que pensez-vous de cette boutade d'A natole France ? INTRODUCTION REDIGEE Plus que nulle autre, notre époque s'impose par son amour du nouveau, de l'inédit, voire de l'étrange ou de l'inaccoutumé. O n peut trancher d'u...
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Le langage est le propre de l'homme - DESCARTES
Le langage est le propre de l'homme Il n'y a pas de préjugé auquel nous ne soyons tous plus accoutumés qu'à celui qui nous a persuadés depuis notre enfance que les bêtes pensent. De tous les arguments qui nous persuadent que les bêtes sont dénuées de pensée, le principal, à mon avis, est que bien que les unes soient plus parfaites que les autres dans une même espèce, tout de même que chez les hommes, comme on peut voir chez les chevaux et chez les chiens, dont les uns apprennent beaucoup plu...
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MALEBRANCHE: tous les hommes sont capables de connaître la vérité
PRESENTATION DE L'OUVRAGE "DE LA RECHERCHE DE LA VERITE" DE MALEBRANCHE Cette première oeuvre de Malebranche (1638-1715), imposante, et qu'il ne cessera de compléter et de parfaire au point qu'on ne puisse la lire sans ses nombreux Éclaircissements, est de dix années postérieure à son ordination et à sa découverte simultanée et enflammée de la philosophie de Descartes. Sa vocation uniment religieuse et philosophique va consister à compléter et à corriger l'un par l'autre Saint Augustin et l'...
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HEGEL et les passions des grands hommes
Ces grands hommes semblent obéir uniquement à leur passion, à leur caprice. Mais ce qu'ils veulent est l'universel. (... ) C'est la psychologie des maîtres d'école qui sépare ces deux aspects. Ayant réduit la passion à une manie, elle rend suspecte la morale de ces hommes; ensuite, elle tient les conséquences de leurs actes pour leurs vrais motifs et leurs actes mêmes pour des moyens au service de ces buts : leurs actions s'expliquent par la manie des grandeurs ou la manie des conquêtes. A...
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PASCAL: L'homme est grand car il se sait misérable.
PRESENTATION DES "PENSEES" DE PASCAL Pascal (1623-1662) rédige les Pensées durant les dernières années de sa vie ; il collectionne sur de petits papiers les éléments d'une oeuvre à visée apologétique. Le texte sera publié une première fois de manière posthume par ses proches de l'abbaye de Port Royal, foyer de la pensée janséniste, et ne cessera d'être remanié par des éditions successives (nous choisissons ici le classement établi par Lafuma). L'oeuvre est originale tant par les aléas éditoriaux...
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Le langage est le propre de l'homme
Le langage est le propre de l'homme Il n'y a pas de préjugé auquel nous ne soyons tous plus accoutumés qu'à celui qui nous a persuadés depuis notre enfance que les bêtes pensent. De tous les arguments qui nous persuadent que les bêtes sont dénuées de pensée, le principal, à mon avis, est que bien que les unes soient plus parfaites que les autres dans une même espèce, tout de même que chez les hommes, comme on peut voir chez les chevaux et chez les chiens, dont les uns apprennent beaucoup pl...
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« Les choses absurdes sont les seules agréables, les seules belles, les seules qui donnent de la grâce à la vie et qui nous empêchent de mourir d'ennui. Un poème, une statue, un tableau raisonnable feraient bâiller tous les hommes, même les hommes raison
« Les choses absurdes sont les seules agréables, les seules belles, les seules qui donnent de la grâce à la vie et qui nous empêchent de mourir d'ennui. Un poème, une statue, un tableau raisonnable feraient bâiller tous les hommes, même les hommes raisonnables. » (Livre de mon ami). Que pensez-vous de cette boutade d'Anatole France ? Plus que nulle autre, notre époque s'impose par son amour du nouveau, de l'inédit, voire de l'étrange ou de l'inaccoutumé. On peut trancher d'un mot en disant qu'el...
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Schopenhauer: l'homme, cet "animal métaphysique" (Commentaire de texte)
Schopenhauer: l'homme, cet "animal métaphysique" (Commentaire de texte) Selon Schopenhauer, bien que, comme tout être, l'Homme meurt, cet « animal métaphysique » est particulier, car il ne peut s'empêcher de s'étonner de son existence, et se poser la question de la Création. L'étonnement, c'est là la base de la philosophie. Ayant accédé à la conscience de soi, doué d'intelligence, et conscient de sa finitude, l'Homme voudrait comprendre pourquoi il existe. Il est ainsi différent de tous le...
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Arthur SCHOPENHAUER: Homme, animal métaphysique
Si on situe généralement la naissance de la philosophie dans l'antiquité, à travers l'existence de Socrate et de Platon, l'origine même du sentiment philosophique reste un problème. On reconnaît certes que l'homme est un être qui fait exception dans la nature, de par sa conscience. Il est vrai que seuls, les hommes ont réellement bâti des civilisations et la philosophie apparaît souvent comme une haute forme de culture. Pourtant, qu'est-ce qui nous pousse à philosopher ? Schopenhauer, dans...
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KANT: L'homme est le seul animal qui doit travailler
Commentaire Kant Dans ses Réflexions sur l'éducation (traduction Philonenko et édité chez Vrin p 110), Kant cherche à montrer la nécessité du travail dans l'apprentissage pédagogique : « il est de la plus grande importance d'apprendre aux enfants à travailler ». Pourquoi le travail fait-il partie des éléments fondamentaux de l'apprentissage ? C'est que le travail est spécifique à l'homme : « l'homme est le seul animal voué au travail ». Ainsi l'enfant en apprenant à travailler accède à l'humanit...
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Pascal: Dieu et l'homme
Dans les Pensées de Pascal, ce dernier appelle l'homme à la transcendance, un moyen de se rapprocher de Dieu pour ainsi trouver la vérité et le bonheur éternel. Pascal utilise une stratégie argumentative qui consiste à dévoiler la nature corrompue de l'homme pour l'inciter à changer et à se convertir à la foi chrétienne. Il est alors intéressant d'étudier les rapports qu'entretiennent l'homme et Dieu dans l'objectif de mettre en lumière la nature de chacun d'eux. Pour cela, nous étudierons le pé...
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Les hommes peuvent ils être à la fois libres, égaux et différents ?
Un article célèbre de la déclaration universelle des droits de l'homme stipule que les hommes naissent libres et égaux en droit. Une telle proposition exprime davantage une pensée politique qu'un fait réel, l'optimisme qui s'en dégage a souvent été pris pour de la naïveté y compris par des philosophes. Nous nous demanderons si, au-delà de leur naissance, les hommes peuvent effectivement être libre, égaux mais également différents. L'intégration de ce dernier critère répond à une volonté de confr...
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Socrate était-il un homme ordinaire ?
Vers 380 av J.-C. Xénophon Mémorables Socrate était-il un homme ordinaire? ~ Homme de son temps, amateur de dispute de mots, Socrate n'est qu'un Athénien comme les autres. Q> Socrate, c'est l'homme sans lequel la philosophie ne serait pas ce qu'elle est. r L:,l.K PATH2: f __J
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Comment préserver les hommes des nuisances possibles de leurs savoirs ?
Analyse du sujet - - - Le sujet met en relation deux éléments (nuisance et savoir). Il nous engage à réfléchir sur cette relation en envisageant une méthode ou un moyen de la maîtriser. Le présupposé est ici qu'un savoir est une nuisance possible. Une nuisance : quelque chose qui peut nuire. Soit à l'existence de l'homme : il est alors question du développement technique du va de pair avec le développement de la science. Soit à son essence : la question est alors morale. Les savoirs humains p...
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ROUSSEAU et l'inégalité entre les hommes
Sujet 2076 La nature est-elle égalitaire ? " [...] il est aisé de voir qu'entre les différences qui distinguent les hommes, plusieurs passent pour naturelles qui sont uniquement l'ouvrage de l'habitude et des divers genres de vie que les hommes adoptent dans la société. Ainsi un tempérament robuste ou délicat, la force ou la faiblesse qui en dépend, viennent souvent plus de la manière dure ou efféminée dont on a été élevé, que de la constitution primitive des corps. Il en est de même des forces...
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Platon: L'homme est-il la mesure de
toute vérité ?
"Protagoras: — Car j'affirme moi, que la vérité est telle que je l'ai définie, que chacun de nous est la mesure de ce qui est et de ce qui n'est pas, mais qu'un homme diffère infiniment d'un autre précisément en ce que les choses sont et paraissent autres à celui-ci et autres à celui-là. Quant à la sagesse et à l'homme sage, je suis bien loin d'en nier l'existence; mais par homme sage j'entends précisément celui qui changeant la face des objets, les fait apparaître et être bons, à celui à qui il...
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L'HOMME CIVILISÉ EST DÉPRAVÉ - ROUSSEAU
« L'homme sauvage, quand il a dîné, est en paix avec toute la nature, et l'ami de tous ses semblables. S'agit-il quelquefois de disputer son repas ? Il n'en vient jamais aux coups sans avoir auparavant comparé la difficulté de vaincre avec celle de trouver ailleurs sa subsistance et comme l'orgueil ne se mêle pas du combat, il se termine par quelques coups de poing. Le vainqueur mange, le vaincu va chercher fortune, et tout est pacifié, mais chez l'homme en société, ce sont bien d'autres affaire...
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L'HOMME CIVILISÉ EST DÉPRAVÉ - ROUSSEAU
« L'homme sauvage, quand il a dîné, est en paix avec toute la nature, et l'ami de tous ses semblables. S'agit-il quelquefois de disputer son repas ? Il n'en vient jamais aux coups sans avoir auparavant comparé la difficulté de vaincre avec celle de trouver ailleurs sa subsistance et comme l'orgueil ne se mêle pas du combat, il se termine par quelques coups de poing. Le vainqueur mange, le vaincu va chercher fortune, et tout est pacifié, mais chez l'homme en société, ce sont bien d'autres affaire...
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Cicéron: La societe et l'union entre les hommes se conserveront
Cicéron Texte : La société et l'union entre les hommes se conserveront d'autant mieux qu'on manifestera plus de bienveillance à ceux avec qui on a une union plus étroite. Mais il semble qu'il faut reprendre de plus haut les principes naturels de la communauté et de la société des hommes. Il en est d'abord un que l'on voit dans la société du genre humain pris dans son ensemble. Le lien de cette société, c'est la raison et le langage ; grâce à eux, on s'instruit et l'on enseigne, l'on communique,...
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L'homme est-il homo sapiens ou homo faber ?
L'homme est-il homo sapiens ou homo faber ? Suffit-il, pour situer l'homme, de le placer, simplement, en tête de la lignée des mammifères supérieurs, en lui accordant cette primauté parce qu'il se trouve doté d'un caractère, d'une « différence spécifique », qui le distingue de tous les autres membres de cette lignée, proches et lointains : la rationalité ? La fameuse définition que donne de lui Aristote : l'homme est un animal doué de raison, équivaut sans doute à une réponse affirmative....
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Commentaire du texte de Freud: "L'homme n'est pas un être doux..." ?
Quoting rios vera thomas : Demande d'échange de corrigé de rios vera thomas ([email protected]). Sujet déposé : Commentaire du texte de Freud: "L'homme n'est pas un être doux..." Notre intérêt se porte ici sur un texte ou FREUD développe une conception très négative et très négative et très pessimiste de la nature humaine. Selon lui, en effet, l'homme est d'une nature violente et agressive ce qui a pour conséquence de mettre en péril le bon fonctionnement de la vie social. La première étape d...
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Le langage est le propre de l'homme - DESCARTES
Le langage est le propre de l'homme Il n'y a pas de préjugé auquel nous ne soyons tous plus accoutumés qu'à celui qui nous a persuadés depuis notre enfance que les bêtes pensent. De tous les arguments qui nous persuadent que les bêtes sont dénuées de pensée, le principal, à mon avis, est que bien que les unes soient plus parfaites que les autres dans une même espèce, tout de même que' chez les hommes, comme on peut voir chez les chevaux et chez les chiens, dont les uns apprennent beaucoup p...
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Quel est l'homme des droits de l'homme ?
Analyse du sujet. • Les droits de l'homme font l'objet de deux déclarations principales la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789, et la Déclaration universelle des droits de l'homme de 1948. Toutes deux proclament la dignité naturelle de la personne humaine, son droit à la liberté, à la sécurité et à la propriété, droits dont elles développent les aspects pratiques. • L'homme des droits de l'homme : ce peut être l'homme dont parlent les droits de l'homme, ou bien l'homme qui jo...
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Merleau-Ponty: L'usage qu'un homme fera de son corps est transcendant...
PRESENTATION DE LA "PHENOMENOLOGIE DE LA PERCEPTION" DE MERLEAU-PONTY Maurice Merleau-Ponty (1908-1961) est le représentant, avec Sartre et Levinas, d'une phénoménologie française qui a su s'approprier de manière originale la volonté de Husserl de décrire les expériences et les opérations fondamentales de la conscience. Intégrant à l'inspiration phénoménologique les résultats des sciences de son temps, Merleau-Ponty construit son discours en réfutant les thèses qui lui semblent désormais...
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FREUD et la bonté de l'homme
L'homme est-il naturellement violent ? PRESENTATION DU "MALAISE DANS LA CIVILISATION" DE FREUD Freud (1856-1939) propose ici une réflexion sur la dimension tragique de la condition humaine. Pour cerner l'origine du « malaise » de l'homme civilisé, il s'appuie sur l'hypothèse, introduite dans Au-delà du principe de plaisir (1920), d'un dualisme fondamental du psychisme humain, divisé entre les pulsions de vie (pulsions sexuelles et d'autoconservation) et les pulsions de mort (pulsions d'auto...
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L'art est-il le miroir de l'homme ?
Selon la mythologie grecque, l'homme, le plus démuni des animaux, a reçu de Prométhée le feu de la civilisation; depuis, l'homo faber transforme la nature par une activité utile ou gratuite, par la technique ou l'esthétique. L'art est la production artificielle d'un objet à partir de la matière: l'art est imitation de la nature par le mortel, intermédiaire entre les bêtes et les Dieux. L'art est une ruse, un trompe-l'œil de Zeuxis, un reflet du créateur, un miroir de l'homme, une réflexion du mo...
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Résumé de la première partie du "Discours sur l'origine et les fondements de l'inégalité parmi les hommes" de Rousseau ?
Demande d'échange de corrigé de Cuiza Sebastian ([email protected]). Sujet déposé : Résumé de la première partie du discours de Rousseau Dans la première partie du Discours, Rousseau s'attache à montrer que la notion d'inégalité admet un tout autre sens pour l'homme naturel. L'inégalité évolue en fonction des besoins, et les besoins physiques et moraux de l'homme naturel sont très différents de ceux de l'homme social. Cela le conduit à définir la nature de l'inégalité naturelle en cherchant si c...
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Le travail est-il un facteur d'union ou de division entre les hommes ?
Le travail permet d'unir et de diviser à la fois les hommes. Ceci dépend de l'intérêt que nous portons au facteur travail. Le rôle du travail a été différent selon les siècles, le travail n'a pas toujours été le facteur central d'intégration et de cohésion des individus. Les racines étymologiques du mot « travail » en latin est tripalium. En d'autres termes cela signifie instrument de torture. Ceci nous amène à réfléchir au sujet du travail. Ainsi nous constatons que le travail n'a pas toujours...
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L'homme est-il un loup pour l'homme ?
Analyse du sujet : q Le sujet nous invite à questionner la citation de Plaute « l'homme est un loup pour l'homme », célèbre dans sa reprise par Hobbes. q Cette citation donne à voir une humanité profondément divisée en individus qui, les uns à l'égard des autres, sont dans des relations conflictuelles. q Elle remet donc en cause l'idée d'une sociabilité naturelle qui régulerait les rapports humains et engage, de ce fait, une conception étatique qui bride les passions asociales de l'homme....
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l'homme n'est-il que ce que d'autres hommes ont fait de lui ?
Discussion : Dans une société comme la notre la tendance spontanée est de considérer l'homme comme pure individualité, une sorte d'atome libre qui ne doit de compte qu'à lui-même. Une telle représentation est si courante que l'on va jusqu'à mesurer le degré d'individualisme existant en France par rapport à d'autres systèmes social européens plus solidaires, plus collectifs. Une pareille image est incomplète et lacunaire parce qu'elle considère l'individu dans une sorte d'abstraction pure. Or nou...
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Le désir est-il une misère pour l'homme ?
Problématique : Poser que le désir est une misère, c'est inscrire le désir dans une anthropologie pessimiste. Si le désir signale certes notre imperfection, étant aussi tension vers ce qui nous manque, et en cela, désignant ce qui est susceptible de nous mettre en mouvement, n'est-il pas dans ce cas un bienfait ? N'y a-t-il pas une certaine positivité à manquer au sens où comme le dit Rousseau, « vivre sans peine n'est pas un état d'homme ; vivre ainsi, c'est être mort » ? La misère ne sera...