35 résultats pour "décider"
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Comment décider de ce qui est juste ?
Définition des termes du sujet: JUSTE : qui est conforme au droit et à l'égalité des personnes. Ce que vous savez. • La justice est l'objet de dis cussions. Lorsqu'il y a un conflit, les deux parties pensent toutes deux être du côté de ce qui es t juste. Même si l'on admet que la mauvaise foi puis se intervenir, il n'en reste pas moins que nous n'avons recours à des arbitrages que parce que la justic e n'est pas chose évidente qui s'impose immédiatement aux yeux de tous. • Il y a cependant des i...
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Comment décider de ce qui est juste ?
CORRECTION : Comment décider de ce qui est juste ? Ce que vous savez : • La justice est l'objet de discussions. Lorsqu'il y a un conflit, les deux parties pensent toutes deux être du côté de ce qui est juste. Même si l'on admet que la mauvaise foi puisse intervenir, il n'en reste pas moins que nous n'avons recours à des arbitrages que parce que la justice n'est pas chose évident qui s'imposerait immédiatement aux yeux de tous. • Il y a cependant des injustices flagrantes, et pas seulement...
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La technique décide-t-elle de tout ?
Analyse. · Nous avons avec ce sujet une complexité due à la définition même que l'on peut faire de ce qu'est la technique. Voyons d'abord ce que l'on peut dire de cette notion. o Le mot technique peut renvoyer, dans un premier temps, à la téchnè grecque, l'action en tant que moyen, au service d'une fin autre (Aristote, Ethique à Nicomaque). Comment peut-on penser alors que ce seul moyen puisse décider ou non de tout ? Il faut rechercher les autres sens possibles de ce qu'est la technique. o...
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Comment décider qu'un acte est juste ?
« Ni rire, ni pleurer, ni haïr, mais comprendre » rappelait Spinoza dans son Éthique. La majorité des gens est d'accord sur le fait que les sentiments gênent, obscurcissent plus qu'ils ne fournissent un soutien aux raisonnements de toutes sortes et en particulier aux questions d'éthique. Agir de manière juste en tout, porter sur les actions d'autrui un regard assez pertinent pour avoir le sentiment de savoir à coup sûr si son action est juste et nécessaire est considéré tout d'abord comme une ch...
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Qui décide de la valeur de l'art ?
La question de la valeur de l'art implique plusieurs aspects : il y a tout d'abord l'aspect esthétique de l'œuvre d'art, c'est là qu'on peut juger d'une œuvre d'art, il s'agit de porter un jugement de valeur sur l'œuvre en question, savoir quelles sont ses qualités, ses défauts. Ensuite, il y a l'aspect financier et marchand autour de l'œuvre d'art, il s'agit ici de se demander combien vaut une œuvre d'art et si on peut réellement chiffrer une œuvre, si cela a un sens à l'heure de l'art contempo...
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Jean-Paul SARTRE et la signification du passé
La signification du passé est étroitement dépendante de mon projet présent. Cela ne signifie nullement que je puis faire varier au gré de mes caprices le sens de mes actes antérieurs; mais, bien au contraire, que le projet fondamental que je suis décide absolument de la signification que peut avoir pour moi et pour les autres le passé que j’ai à être. Moi seul en effet peux décider à chaque moment de la portée du passé: non pas en discutant, en délibérant et en appréciant en chaque cas l’i...
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Racine écrit dans la Préface de Phèdre: "Je n'ose encore assurer que cette pièce soit la meilleure de mes tragédies. Je laisse et aux lecteurs et au temps à décider de son véritable prix." Plus que des formules conventionnelles de modestie, ne faut-il pa
Introduction Qui est le mieux placé pour juger d'une oeuvre? Qui peut assigner aux productions de l'esprit leur rang dans la hiérarchie des valeurs? Est-ce Fauteur, mais n'est-il pas trop près de son œuvre? Sont-ce quelques Doctes? Sontce les contemporains? la postérité? etc. Les classiques (Molière: Boileau, Réflexions sur Longin; Racine) considèrent en principe que la qualité d'une œuvre est établie par une collaboration de tant de juges divers cités plus haut. Il faut que l'auteur soit conten...
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DÉCIDE-T-ON DE DEVENIR QUELQU'UN ?
Problématique: Vouloir devenir quelqu'un, c'est déjà être un individu volontaire, ce qui n'est pas rien. Mais la volonté ne suffit pas, car l'essentiel est de devenir soi-même, sans mimétisme aliénant. À force de vouloir devenir quelqu'un, on devient à l'image de l'homme moyen : la volonté doit être éclairée par une raison lucide. I. Introduction. • L'intitulé de sujet nous est, ici, posé sous forme de question ; très précisément, il s'agit de savoir si l'on (remarquons l'indétermination du suje...
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Décide-t-on de devenir quelqu'un ?
Définition des termes du sujet: DEVENIR : Suite d'événements, processus évolutif, changement d'état dans le temps. Au sens concret, fait de se transformer, d'évoluer. Problématique: Vouloir devenir quelqu'un, c'est déjà être un individu volontaire, ce qui n'est pas rien. Mais, la volonté ne suffit pas, car l'essentiel est de devenir soi-même, sans mimétisme ou opposition aliénant. La volonté doit être éclairée par une raison lucide. I. Introduction. • L'intitulé de sujet nous est, ici, posé sous...
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Décide-t-on de devenir quelqu'un ?
Définition des termes du sujet: DEVENIR : Suite d'événements, processus évolutif, changement d'état dans le temps. Au sens concret, fait de se transformer, d'évoluer. Problématique: Vouloir devenir quelqu'un, c'est déjà être un individu volontaire, ce qui n'est pas rien. Mais, la volonté ne suffit pas, car l'essentiel est de devenir soi-même, sans mimétisme ou opposition aliénant. La volonté doit être éclairée par une raison lucide. I. Introduction. • L'intitulé de sujet nous est, ici, posé sous...
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Comment décider qu'un acte est juste ?
« Ni rire, ni pleurer, ni haïr, mais comprendre » rappelait Spinoza dans son Éthique. La majorité des gens est d'accord sur le fait que les sentiments gênent, obscurcissent plus qu'ils ne fournissent un soutien aux raisonnements de toutes sortes et en particulier aux questions d'éthique. Agir de manière juste en tout, porter sur les actions d'autrui un regard assez pertinent pour avoir le sentiment de savoir à coup sûr si son action est juste et nécessaire est considéré tout d'abord comme une ch...
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Revient-il à l’Etat de décider de ce qui est juste ?
Revient-il à l’Etat de décider de ce qui est juste ? Qu’est ce qui est juste ? c’est une question plutôt complexe, la majorité répondrait que c’est à l’Etat de décider de cela. En effet, c’est à l’Etat de décider, grâce à la loi qui lui permet de distinguer un acte juste d’un acte injuste. En revanche, ne pourrait-on pas distinguer une justice nouvelle basée sur la notion de justice propre à chacun ? On verra ainsi dans un premier temps en quoi la justice est une notion clé pour l’Etat, en...
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Jean-Paul SARTRE: Cette crise mystique de ma quinzième année
Cette crise mystique de ma quinzième année, qui décidera si elle « a été » pur accident de puberté ou au contraire premier signe d'une conversion future ? Moi, selon que je déciderai — à vingt ans, à trente ans — de me convertir. Le projet de conversion confère d'un seul coup à une crise d'adolescence la valeur d'une prémonition que je n'avais pas prise au sérieux. Qui décidera si le séjour en prison que j'ai fait, après un vol, a été fructueux ou déplorable ? Moi, selon que je renonce à v...
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l'homme est-il libre de décider de sa vie ?
Lorsque nous affirmons d'un homme qu'il est libre, nous signifions par là qu'il a la possibilité de choisir : il a le choix d'aller travailler à pied ou en voiture par exemple. Les notions de liberté et de décision semblent être intrinsèquement liées dans la mesure où la liberté s'actualise par un ou des choix, une ou des décisions. Mais lorsque l'on pose la question de savoir si l'homme est libre de décider de sa vie, on ne cherche pas à savoir s'il peut donner la préférence à telle manière d'a...
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Puis-je décider ce que je veux être ?
Puis-je décider ce que je veux être ? « Les personnes qui croient que la société leur doit quelque chose sont celles, pardi, qui ne savent rien faire de leurs dix doigts ou de leur cervelle ».(jean Dutourd) A commencer par savoir que nous pouvons tous décider de ce que l’on veut être, car ce que l’on est, s’appréhende avec le temps, c’est « l’expérience temporelle ». Par ailleurs, le temps qui passe en moi donc « je » construit mon identité (qu’on ne peut pas changer sans le modifier...
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La liberté est-elle le pouvoir de se décider sans motifs
La liberté est-elle le pouvoir de se décider sans motif ? INTRODUCTION. — Le sens commun, suivi sur ce point par certains philosophes, n'en doute pas : l'homme peut exécuter certains actes par la seule raison qu'il le veut, par exemple lever la main, évoquer une image inattendue... Ce serait même là la prérogative essentielle de la liberté, qu'on pourrait par conséquent définir comme le pouvoir de se décider sans motif. Cette conception est-elle acceptable ? A. Nous répondons sans hésiter par la...
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L'homme est-il libre de décider de sa vie ?
Il s'agit ici de s'interroger sur les limites de la liberté de l'homme. L'homme est-il libre de décider de sa vie, autrement dit, lui est-il réellement possible de faire des choix, de diriger son existence comme il l'entend ? Estil libre ou totalement déterminé ? On peut aller même encore plus loin et songer à l'idée de destin... S'il est clair que tout un réseau de déterminations pèse sur nous (qu'elles soient de nature sociales, culturelles, psychologiques, affectives, voire historique), ne fa...
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Dissertation: Puis-je décider de ce que je veux être ?
Dissertation : « Puis-je décider de ce que je veux être ? » Normalement, un humain débute sa vie et est amené à vivre jusqu’à sa mort. Ceci est commun à chaque être humain qui suit le cours de sa vie. Pourtant, un être est pourvu d’une conscience de soi qui lui permet de comprendre qui il est et par conséquent de changer ou non ce qu’il veut être. Mais avant ça il faut comprendre ce qu’est que « être » car tous les individus ont des difficultés logiques pour se connaître et se comprendre...
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Etre libre, est-ce faire ce qui nous plait ?
Etre libre, est-ce faire ce qui nous plait ? Comment dire libre l'être qui ne pourrait pas lui-même décider de ce qu'il peut faire et faire par là ce dont il a envie ? Aussi nous semble-t-il spontanément que la liberté consiste à faire ce qui nous plait, c'est-à-dire réside dans l'indépendance de l'individu à l'égard de toute autorité extérieure. La soumission à une autorité extérieure (l'autorité extérieure par exemple), dans la mesure où celle-ci décide pour nous de ce que nous pouvons faire,...
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A qui appartient-il de décider du juste et de l'injuste ?
Justice légale, justice particulière La justice se présente d'abord comme la règle qui préside aux relations des citoyens à l'intérieur de la cité. Mais elle s'adresse aussi à la conscience individuelle, subjective. Celui qui connaît les failles de la loi et s'y engouffre en vue d'un profit personnel, celui-là en effet ne passe pas pour un homme véritablement juste. On peut donc se demander, à bon droit, si ce n'est pas la conscience individuelle, plutôt que le législateur, qui est susceptible d...
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Peut-on décider d'être heureux?
Le bonheur est un désir universel. Personne en effet, ne peut souhaiter son propre malheur."Tous les hommes aspirent à la vie heureuse et au bonheur, c'est là une chose manifeste." Aristote, La Politique, 384-322 av. J-C. Pourtant il est compliqué de définir explicitement ce qu'est le bonheur. Si l'on remonte à l'étymologie du terme, on se rend compte qu'il est lié au hasard, à la chance. En effet, le bonheur est "bon heur", qui vient du latin augurium qui signifie "augure", "chance". Le bonheur...
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Sartre: La responsabilité limite-t-
elle la liberté ?
VOCABULAIRE SARTRIEN: Liberté : ce n'est pas une propriété parmi d'autres de l'homme, c'est l'étoffe même de son existence, qui renvoie à cette indétermination (« l'existence précède l'essence ») et à cette ouverture aux possibles qui caractérisent la réalité humaine. Selon une formule récurrente de Sartre, « l'homme est condamné à être libre ». De cette liberté découle sa responsabilité. Elle s'éprouve dans l'angoisse. Responsabilité : découle de la liberté humaine et est aussi radicale que cel...
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Que pensez-vous de cette assertion dun philosophe contemporain : « Les opinions auxquelles nous tenons le plus sont celles dont nous pourrions le plus malaisément rendre compte, et les raisons mêmes par lesquelles nous les justifions sont rarement celles
Que pensez-vous de cette assertion d'un philosophe contemporain : « Les opinions auxquelles nous tenons le plus sont celles dont nous pourrions le plus malaisément rendre compte, et les raisons mêmes par lesquelles nous les justifions sont rarement celles qui nous ont déterminés à les adopter » Ce texte de Bergson se trouve dans le chapitre II des Données immédiates de la conscience (dans les anciennes éditions, p. 102). Ce chapitre a pour but de montrer que, à la différence de l'espace dans leq...
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Chapitre 1: Revient t-il à l’état de décider de ce qui est juste ?
Chapitre 1: Revient t-il à l’état de décider de ce qui est juste ? Au premier abords la question semble contenir sa propre réponse : si l’on définit l’état par ses branches, alors il revient à l’état de de décider de ce qui est juste. Mais, quand on affirme une telle chose, cela est dérangeant car nous avons tous une vision différente de ce qui est juste ou non. Peut-on considérer que l’état était juste lorsque la peine de mort était encore autorisé ? Peut t-on considérer que l’état étai...
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Sartre fait dire à un de ses personnages : « IL N'Y AVAIT QUE MOI : J'AI DÉCIDÉ SEUL DU MAL. SEUL J'AI INVENTÉ LE BIEN ». Pensez-vous que l'individu puisse créer librement ses valeurs ?
Dans Le Diable et le bon Dieu, Goetz, reître pillard et cruel, décide soudain, par un acte de pure liberté- de devenir un saint, un soldat de Dieu. Cet épisode illustre clairement la théorie sartrienne des valeurs : » Il n'y avait que moi : j'ai décidé seul du mal- seul j'ai inventé le bien ». Les valeurs, bien et mal, beau et laid, vrai et faux- seraient donc l'oeuvre de notre moi, une création de notre liberté. Qu'en devons-nous penser ? Il paraît incontestable que la philosophie des valeurs -...
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Alain
Le droit n'est pas le fait - ALAIN Nul ne peut légiférer seul sans tenir compte de la présence d'autrui. Le droit se distingue ainsi du fait par cette dimension de reconnaissance publique qui joue un rôle d'arbitrage. "Le droit est ce qui est reconnu comme droit. Reconnu, c'est-à-dire approuvé ou prononcé par un pouvoir arbitral, et toutes portes ouvertes. Faute de quoi il n'y a jamais qu'un état de fait, devant lequel le droit reste suspendu. Posséder une montre, l'avoir dans sa poche, y trouve...
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Mill: Le travail engendre-t-il l'inégalité entre les hommes ?
ill: Dans une société coopérative de production, est-il juste ou non que le talent ou l'habileté donnent droit à une rémunération plus élevée ? Ceux qui répondent négativement à la question font valoir l'argument suivant : celui qui fait ce qu'il peut a le même mérite et ne doit pas, en toute justice, être placé dans une position d'infériorité s'il n'y a pas faute de sa part ; les aptitudes supérieures constituent déjà des avantages plus que suffisants, par l'admiration qu'elles excitent, par l'...
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BERGSON: Liberté et déterminisme
Introduction : Dans le chapitre III de son Essai sur les données immédiates de la conscience, Bergson cherche à établir ce qu'est un acte libre. Un acte serait libre lorsqu'il émane du moi. Or des actes qui proviennent de notre moi peuvent nous apparaître après coup déterminés par les circonstances qui le précèdent. Si un ac te est déterminé, alors il n'est pas libre. Il s'agit donc pour Bergson de récuser la thèse du déterminisme qui nie la pos sibilité de l'acte libre en concevant tous nos act...
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Baruch SPINOZA
Une société, garantie par les lois et par le pouvoir de se conserver, s'appelle cité, et ceux qu'elle défend de son droit, citoyens; par où l'on comprend aisément qu'il n'y a dans l'état naturel rien qui soit bien ou mal de l'avis unanime; puisque chacun, dans l'état naturel, ne veille qu'à son utilité, et décide du bien et du mal selon son tempérament et en n'ayant pour règle que son utilité, et que personne ne l'oblige à obéir à une loi, que lui seul. Et, par suite, dans l'état naturel le péch...
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Baruch SPINOZA
Après que l'expérience m'eût appris que tout ce qui arrive communément dans la vie ordinaire est vain et futile, et que je vis que tout ce qui était pour moi objet de crainte ne contenait rien de bon ni de mauvais en soi, mais seulement en tant que l'âme en était mue, je me décidai finalement à rechercher s'il n'y avait pas quelque chose qui fût un bien véritable, capable de se communiquer, et tel que l'âme, rejetant tout le reste, pût être affectée, par lui seul ; bien plus, s'il n'y avait pas...
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Bergson: La liberté se confond-elle
avec la réalisation de soi-même ?
Si notre culture et notre éducation nous conditionnent et restreignent notre liberté, en même temps elles nous forment l'esprit en nous dispensant la connaissance et l'apprentissage de la rationalité. Elles apparaissent donc à la fois comme un obstacle et une condition de la liberté, ce qui constitue une problématique. Il peut arriver que la liberté se fonde sur l'ignorance, faisant ainsi l'économie du savoir. À travers le risque qu'elle implique, l'épreuve du doute et la notion de responsabilit...
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L'Etat restreint-il les libertés ?
L'Etat restreint-il les libertés ? Avant toute analyse du sujet, voici deux ou trois petites choses à savoir pour mûrir la réflexion : 1) L'Etat est une institution L'Etat est une entité créée par l'homme. Cette entité est politique : elle orchestre la manière dont les hommes vivent ensemble. Cette création est amenée à changer, à évoluer comme le montrent les révolutions ou les réformes de la Constitution de l'Etat, c'est-à-dire des lois qui définissent le fonctionnement du système politique...
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Résumé du Tartuffe de Molière ?
Résumé de Tartuffe, Molière Cette comédie en cinq actes et en vers de Molière a été créée au théâtre du Palais Royal à Paris le 5 février 1669 et a été publiée la même année chez Pierre Ribou. Acte I Acte I : La vieille et atrabilaire Madame Pernelle, rangée du côté de son fils Orgon, reproche à son entourage , ses petits enfants Damis et Marianne , sa bru Elmire et le frère de celle-ci, Cléante, ainsi qu 'à Dorine, la suivante , une attitude trop mondaine , en totale contradiction avec le...
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Sujet : « C'est plus fort que moi... » Que signifie cette formule ?
Sujet : « C'est plus fort que moi… » Que signifie cette formule ? Qui n'a jamais dit « je n'ai pas fait exprès, c'était plus fort que moi ! » ? L'expression retentit comme une formule récurrente, une excuse. Peut-être voulons nous nous cacher derrière une sorte de d'excuse pour braver la honte du geste. Mais peut-être est-ce seulement « plus fort que moi ». En effet, « plus fort » signifie déjà une sorte de limite indépassable, une puissance trop immense pour être surpassée et contrôlée. Notre d...
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La Politique et le droit
Cours 2: La politique et le droit Introduction: Qu’est-ce que la politique ? Qu’est-ce qui fait la spécificité de la politique ? Au sens moderne, la politique désigne l’art de gouverner, plus spécifiquement tout ce qui concerne l’Etat ou le gouvernement. Mais le terme avait un sens plus large au départ. Dans la conception antique, le terme de politique (du grec politikos= qui concerne les citoyens; polis= la cité) désigne ce qui concerne l’ensemble des citoyens ou la vie de la Cité. La po...