430 résultats pour "sociétés"
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AMC bac oral: Thématique 1 : « Faire société » Axe numéro 3 : Égalités et inégalités Problématique: Can you still believe in the American Dream?
Thématique 1 : « Faire société » Axe numéro 3 : Égalités et inégalités Problématique: Can you still believe in the American Dream? Good afternoon everyone, today I am here to talk about the American dream. Many of us grew up with the belief that America was the land of opportunity, where anyone could achieve success through hard work and determination. However, recent data and trends show that this is maybe no longer the case. Let’s begin by defining what the American Dream is. The Americ...
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On a cru longtemps que la société des Quatre amis, que La Fontaine met en scène au début de sa Psyché, comprenait Boileau et Racine. Mais il est à peu près certain qu'il ne s'agit ni de Racine ni de Boileau (ni de Molière). L'erreur venait en partie de c
On a cru longtemps que la société des Quatre amis, que La Fontaine met en scène au début de sa Psyché, comprenait Boileau et Racine. Mais il est à peu près certain qu'il ne s'agit ni de Racine ni de Boileau (ni de Molière). L'erreur venait en partie de ce que Boileau apparaissait comme le conseiller nécessaire des grands classiques. Dans quelle mesure peut-on dire que la « doctrine » de Boileau a été créée par lui et a exercé une influence plus ou moins grande sur les grands écrivains classiques...
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Baruch SPINOZA
Ce n'est pas seulement parce qu'elle protège contre les ennemis que la Société est très utile et même nécessaire au plus haut point, c'est aussi parce qu'elle permet de réunir un grand nombre de commodités, car, si les hommes ne voulaient pas s'entraider, l'habileté technique et le temps leur feraient également défaut pour entretenir leur vie et la conserver autant qu'il est possible. Nul n'aurait, dis-je, le temps ni les forces s'il lui fallait labourer, semer, moissonner, moudre, cuire, tisser...
- Marx: Autrui favorise-t-il ma liberté ?
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Nietzsche
Dans la glorification du "travail", dans les infatigables discours sur la "bénédiction du travail", je vois la même arrière-pensée que dans les louanges adressées aux actes impersonnels et utiles à tous : à savoir la peur de tout ce qui est individuel. Au fond, on sent aujourd'hui, à la vue du travail - on vise toujours sous ce nom le dur labeur du matin au soir -, qu'un tel travail constitue la meilleure des polices, qu'il tient chacun en bride et s'entend à entraver puissamment le développemen...
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Est -on libre d'échanger ?
L'échange peut s'entendre d'abord en un s e n s économique comme une c e s s i o n réciproque de biens ou des services, considérés de valeur équivalente. M ais on emploie également le terme d'échange au sens large pour désigner l'action de communiquer autour d'idées, de sentiments, à la faveur de vecteurs de communication aussi variés que l'écriture, la parole ou le geste. O n constate donc que dans les deux acceptions du terme demeurent les idées de réciprocité et d'égalité des personnes engagé...
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LOCKE et l'état de nature de l'homme
Si l'homme, dans l'état de nature, est aussi libre que j'ai dit, s'il est le seigneur absolu de sa personne et de ses possessions, égal au plus grand et sujet à personne; pourquoi se dépouille-t-il de sa liberté et de cet empire, pourquoi se soumet-il à la domination et à l'inspection de quelque autre pouvoir? Il est aisé de répondre, qu'encore que, dans l'état de nature, l'homme ait un droit, tel que nous avons posé, la jouissance de ce droit est pourtant fort incertaine et exposée sans ces...
- Karl Heinrich MARX (1818-1883)
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Le travail: aliénation ou émancipation ?
Introduction : Le travail est une activité essentiellement humaine qui permet aux individus de prendre une place dans la société et de se situer dans le maillage social. En tant qu'elle est une activité économique dans sa forme la plus répandue, il faut bien voir que le travail par sa disposition sociétale au sein d'une division du travail social et son apport économique permet l'émancipation des travailleurs. Pour s'en convaincre, on peut voir l'état de dépendance dans lequel vit le non-travai...
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Karl Heinrich MARX & l'histoire des luttes de classes
L'histoire de toute société jusqu'à nos jours n'a été que l'histoire des luttes de classes... A l'occasion de l'édition de 1883 du Manifeste du parti communiste, Friedrich Engels souligne, pour en attribuer d'ailleurs la paternité à Marx, ce qui avait été l'idée maîtresse de cet ouvrage. Puisque « la production économique et la structure sociale qui en résulte nécessairement forment, à chaque époque, la base de l'histoire politique et intellectuelle de l'époque », le Manifeste affirme que...
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Saint-Simon
Saint-Simon (1760-1825) Le prophète de l'ère industrielle. L'œuvre de Saint-Simon est riche et multiple. Au-delà des développements que lui apportèrent ses disciples, elle inspire les théoriciens socialistes et donne une nouvelle impulsion au capitalisme. Né en 1760, Saint-Simon, grand aristocrate, a une existence chaotique. Il embrasse la carrière des armes et l'abandonne après avoir participé à la Révolution américaine aux côtés des insurgés. Il voyage, entreprend des affaires industrielle...
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Marx: Capitalisme et lutte des classes
1. L'histoire et la lutte des classes Cependant, l'organisation sociale se transforme au cours de l'histoire. Les modes de production changent (techniques et ressources utilisées), ainsi que les rapports entre les hommes qui en résultent, les classes qu'ils forment : maîtres et esclaves dans l'Antiquité, seigneurs et serfs au Moyen Âge, enfin bourgeois et prolétaires au XIXe siècle. Les luttes pour le pouvoir politique expriment un antagonisme fondamental entre ceux qui possèdent les moyens de p...
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Alain
La liberté des opinions ne peut être sans limites. Je vois qu'on la revendique comme un droit tantôt pour une propagande, tantôt pour une autre. O r, on comprend pourtant bien qu'il n'y a pas de droit sans limites; cela n'est pas possible, à moins que l'on ne se place dans l'état de liberté et de guerre, où l'on peut bien dire que l'on se donne tous les droits, mais où, aussi, l'on ne possède que ceux que l'on peut maintenir par sa propre force. M ais dès que l'on fait société avec d'autres, les...
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L'homme peut il vivre heureux sans spiritualité ?
Ce sujet peut faire penser à l'ouvrage relativement récent de Gilles Châtelet Vivre et penser comme des porcs qui dénonce en partie l'individualisme contemporain, la pensée unique lénifiante de la modernité. Une pensée unique liée à notre société de consommation de masse qui a laissé au second plan nombre de forme de spiritualité pour laisser place à une temporalité rapide qui ne laisse aucune place à la contemplation pourtant nécessaire à la réflexion. Aussi, faut-il se demander si le bonheur e...
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Lecture analytique sur Victor Hugo, Les Contemplations, A propos d’Horace Poème Vers 173 à 201
Lecture analytique sur Victor Hugo, Les Contemplations, A propos d’Horace Poème Vers 173 à 201 De là mes cris. Un jour, quand l'homme sera sage, Lorsqu'on n’instruira plus les oiseaux par la cage, Quand les sociétés difformes sentiront Dans l'enfant mieux compris se redresser leur front, Que, des libres essors ayant sondé les règles, On connaîtra la loi de croissance des aigles, Et que le plein midi rayonnera pour tous, Savoir étant sublime, apprendre sera doux. Alors, tout en laiss...
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Les oeuvres d'art nous font-elles oublier le réel ?
L'expression « le monde de l'art » semble faire de l'ensemble des œuvres et des individus s'y intéressant une communauté à part entière, comme constituant une réalité en marge de celle du commun. Pourtant, les œuvres dites engagées ne sont pas choses rares : les artistes prouvent régulièrement qu'ils sont sensibles aux évènements du monde. Dès lors, se demander si l'art nous fait oublier la réalité, c'est s'interroger sur ses rapports avec une objectivité supposée. Cet « oubli » n'est-il qu'un t...
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« Un livre est une fenêtre par laquelle on s'évade », observe Julien Green dans son Journal. Vous essaierez d'expliquer cette réflexion tout en précisant si elle correspond à votre propre définition du livre. Votre développement sera illustré par des exe
« Un livre est une fenêtre par laquelle on s'évade », observe Julien Green dans son Journal. Vous essaierez d'expliquer cette réflexion tout en précisant si elle correspond à votre propre définition du livre. Votre développement sera illustré par des exemples empruntés à vos lectures. Green refuse le livre fonctionnel, utilitaire et il le précise bien dans sa « définition » : « une fenêtre par laquelle on s'évade ». Le lecteur ne doit donc pas retrouver la grise et morne réalité quotidienne, ma...
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Les « nouveaux christianismes » et la question sociale au XIXe
Les « nouveaux christianismes » et la question sociale Pour réunir des auteurs tels que Fourier, Saint-Simon, Auguste Comte, l'appellation de « philosophie sociale» est manifeste ment trop vague : elle devrait englober le traditionalisme. Celle de « socialisme utopique», qui n'a guère de sens que par référence au « socialisme scientifique » de Marx, comporte un jugement de valeur ajouté à l'anachronisme et à l'inexactitude du mot socialisme. L'expression de « nouveau christianisme», t...
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La violence est-elle l'échec de la justice ?
Un enfant qui en maltraiterait un autre dans la cour de l'école en exerçant sur lui une violence physique serait sans doute immédiatement puni par une institutrice attentive aux événements de la récréation. Dès lors, nous pouvons nous demander en quoi la violence peut être l'échec de la justice ou si elle est au contraire ce qui engendre la nécessité d'avoir recours à cette dernière. Nous tenterons tout d'abord de dégager une définition des termes du sujet et à en déterminer les enjeux, puis nou...
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HOBBES
L'état de nature, cette guerre de tous contre tous a pour conséquence que rien ne peut être injuste. Les notions de droit et de tort, de justice et d'injustice n'ont dans cette situation aucune place. Là où il n'y a pas de Pouvoir commun il n'y a pas de loi ; là où il n'y a pas de loi il n'y a pas d'injustice: Force et ruse sont à la guerre les vertus cardinales. Justice et injustice n'appartiennent pas à la liste des facultés naturelles de l'Esprit ou du Corps ; car dans ce cas elles pourraient...
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Bergson
Le souvenir du fruit défendu est ce qu'il y a de plus ancien dans la mémoire de chacun de nous, comme dans celle de l'humanité. Nous nous en apercevrions si ce souvenir n'était recouvert par d'autres, auxquels nous préférons nous reporter. Que n'eût pas été notre enfance si l'on nous avait laissé faire ! Nous aurions volé de plaisirs en plaisirs. Mais voici qu'un obstacle surgissait, ni visible ni tangible : une interdiction. Pourquoi obéissons-nous ? La question ne se posait guère ; nous avions...
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Nietzsche
Je considère la mauvaise conscience comme le profond état morbide où l'homme devait tomber sous l'influence de cette transformation, la plus radicale qu'il ait jamais subie – de cette transformation qui se produisit lorsqu'il se trouva définitive- ment enchaîné dans le carcan de la société et de la paix. (... ) Tous les instincts qui n'ont pas de débouché, que quelque force répressive empêche d'éclater au-dehors, retourne en dedans – c'est là ce que j'appelle l'intériorisation de l'homme : de ce...
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Baruch SPINOZA
Une société, garantie par les lois et par le pouvoir de se conserver, s'appelle cité, et ceux qu'elle défend de son droit, citoyens; par où l'on comprend aisément qu'il n'y a dans l'état naturel rien qui soit bien ou mal de l'avis unanime; puisque chacun, dans l'état naturel, ne veille qu'à son utilité, et décide du bien et du mal selon son tempérament et en n'ayant pour règle que son utilité, et que personne ne l'oblige à obéir à une loi, que lui seul. Et, par suite, dans l'état naturel le péch...
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Commentaire : ZOLA - L'Assommoir - l'Oie - extrait du chapitre VII
Commentaire : ZOLA - L'Assommoir - l'Oie - extrait du chapitre VII Par exemple, il y eut là un fameux coup de fourchette ; c'est-à-dire que personne de la société ne se souvenait de s'être jamais collé une pareille indigestion sur la conscience. Gervaise, énorme, tassé sur les coudes, mangeait de gros morceaux de blanc, ne parlant pas, de peur de perdre une bouchée ; et elle était seulement un peu honteuse devant Goujet, ennuyée de se montrer ainsi, gloutonne comme une chatte. Goujet, d'ailleur...
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Quelles sont, selon vous, les préoccupations et les perspectives d'avenir de la jeunesse en
France aujourd'hui ?
Préparation aux épreuves Rédaction Sujets de concours commentés Sujet 6 Quelles sont, selon vous, les préoccupations et les perspectives d’avenir de la jeunesse en France aujourd’hui ? Évoquez à ce sujet les problèmes de société rencontrés par la jeunesse dans notre pays et dites quelles solutions peuvent être envisagées. Nous sommes en présence d’un sujet complexe qui demande que l’on mette en pratique le premier conseil donné dans la première partie de ce chapitre : « comprendre le sujet ». I...
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Comment concevoir la pensée religieuse à l'heure de la science ?
ANALYSE ET PROBLEMATISATION DU SUJET. § Le sujet invite à confronter science et religion, et notamment à l'heure de l'avancée scientifique et de ses progrès fulgurants. En effet, comment croire et laisser place à l'irrationnel à l'heure où la science nous montre la raison dans toute sa puissance : la raison est la rationalité apparaissent alors comme ce qui est omniprésent dans la société moderne, ce qui semble ne pas laisser de place à la foi, qui quant à elle, semble se définir comme ce qui d...
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L'esclavage dans l'Antiquité grecque et romaine
Dans le monde antique d'Athènes et de Rome, l'esclavage est une pratique répandue, moralement et économiquement justifiée. Par exemple, la société grecque, dans laquelle vit Aristote, est esclavagiste. Pour lui comme pour la plupart de ses contemporains, l'esclavage va de soi. Il explique ici que la différence de statut entre les hommes libres et les esclaves tient à une différence de nature entre les hommes. Le rôle économique Dans l'Antiquité, l'esclavage est considéré comme un phénomène natur...
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Qui était Cornélius CASTORIADIS ?
Cornélius Castoriadis, d'origine grecque, a bénéficié d'une triple formation : droit, économie et philosophie. Fortement engagé à gauche, il doit en 1945 fuir Athènes pour la France où, trois ans plus tard, il fonde avec Claude Lefort le groupe « Socialisme ou Barbarie», qui publia de 1948 à 1966 une revue du même nom. C'est au sein de ce groupe que se sont ébauchés les premiers discours antistaliniens, antitotalitaires et antibureaucratiques. L'URSS y est en effet décrite comme un nouveau régim...
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COMMENTAIRE DE LA PRÉFACE ET DU LIVRE l DE L'ÉMILE OU DE L 'ÉDUCATION DE JEAN-JACQUES ROUSSEAU
UNIVERSlTÉ DU QUÉBEC MÉMOIRE PRÉSENTÉ À L' UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À TROIS-RIVIÈRES COMME EXIGENCE PARTIELLE DU PROGRAMME DE MAÎTRISE EN PHILOSOPHIE PAR VALÉRIE HÉBERT COMMENTAIRE DE LA PRÉFACE ET DU LIVRE l DE L 'ÉMILE OU DE L 'ÉDUCATION DE JEAN-JACQUES ROUSSEAU MARS 2011
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Le droit a t-il besoin d'un fondement ?
Introduction Le droit a-t-il besoin d'un fondement ? Le droit peut être défini comme l'ensemble des règles à caractère contraignant régissant les rapports des hommes en société et impliquant une répartition équitable des biens, des prérogatives et des libertés. C 'est le sens que l'on donne au mot droit quand on dit : « faire des études de droit », pour signifier l'étude des textes de loi et de l'appareil législatif des États. M ais le terme droit désigne également un droit en particulier : « j...