1713 résultats pour "philo 0 les passions sont elles toutes condamnables"
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« Suis-je l'auteur de mes pensées ? »
« Suis-je l'auteur de mes pensées ? » COMPRENDRE LA DEMANDE du libellé : jeter des notes au brouillon 1 - chercher la définition précise de 'auteur ' ( l'étymologie du terme parfois est parlante : je lis dans un dictionnaire que l'auctor des latins est l'instigateur et le garant d'une chose ; il fonde et établit ) 2 - tenter de se donner une caractérisation de départ pour le tenue de 'pensées' ( originalité humaine à préciser ) 3 - ce faisant ne pas perdre de vue qu'il s'agit en ce sujet non de...
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Peut-on vivre sans foi ni loi ?
ANALYSE DU SUJET Remarquer qu'il s'agit aussi bien ici des êtres humains (en général ?) que de tel ou tel être humain. Se rappeler que « peut-on ? » peut aussi bien signifier « est-il possible de » que « a-t-on le droit de ». S'interroger sur ce qu'on peut penser sous le terme « foi » ici, et sur le fait que les deux termes « foi » et « loi » sont employés. (Signifient-ils la « même chose »?) Que peut-on penser sous le terme « loi » ici ? (Distinguer les sens qui auront été reconnus comme a...
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FREUD et la tendance à l'agression
PRESENTATION DU "MALAISE DANS LA CIVILISATION" DE FREUD Freud (1856-1939) propose ici une réflexion sur la dimension tragique de la condition humaine. Pour cerner l'origine du « malaise » de l'homme civilisé, il s'appuie sur l'hypothèse, introduite dans Au-delà du principe de plaisir (1920), d'un dualisme fondamental du psychisme humain, divisé entre les pulsions de vie (pulsions sexuelles et d'autoconservation) et les pulsions de mort (pulsions d'autodestruction et d'agressivité). L'inter...
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Blaise PASCAL: Le divertissement
PRESENTATION DES "PENSEES" DE PASCAL Pascal (1623-1662) rédige les Pensées durant les dernières années de sa vie ; il collectionne sur de petits papiers les éléments d'une oeuvre à visée apologétique. Le texte sera publié une première fois de manière posthume par ses proches de l'abbaye de Port Royal, foyer de la pensée janséniste, et ne cessera d'être remanié par des éditions successives (nous choisissons ici le classement établi par Lafuma). L'oeuvre est originale tant par les aléas édito...
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Les « nouveaux christianismes » et la question sociale au XIXe
Les « nouveaux christianismes » et la question sociale Pour réunir des auteurs tels que Fourier, Saint-Simon, Auguste Comte, l'appellation de « philosophie sociale» est manifeste ment trop vague : elle devrait englober le traditionalisme. Celle de « socialisme utopique», qui n'a guère de sens que par référence au « socialisme scientifique » de Marx, comporte un jugement de valeur ajouté à l'anachronisme et à l'inexactitude du mot socialisme. L'expression de « nouveau christianisme», t...
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MOURIR POUR UNE CAUSE PLAIDE-T-IL EN FAVEUR DE CETTE CAUSE ?
Problématique: C'est l'argument dit "du sacrifice". On peut se sacrifier pour une cause juste, mais on peut se tromper sur sa légitimité. Dire que des hommes ou des femmes se sont sacrifiés ne prouve rien, et peut même cacher le secret sentiment de l'inutilité profonde de leur propre vie. de sorte que la "cause" n'est qu'un prétexte. [La valeur d'une cause que l'on défend au risque de sa vie est au-delà de toute critique. Par sa mort, le héros prouve que cette cause était juste. Sa mort prouve...
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Peut-on vivre sans foi ni loi ?
ANALYSE DU SUJET Remarquer qu'il s'agit aussi bien ici des êtres humains (en général ?) que de tel ou tel être humain. Se rappeler que « peut-on ? » peut aussi bien signifier « est-il possible de » que « a-t-on le droit de ». S'interroger sur ce qu'on peut penser sous le terme « foi » ici, et sur le fait que les deux termes « foi » et « loi » sont employés. (Signifient-ils la « même chose »?) Que peut-on penser sous le terme « loi » ici ? (Distinguer les sens qui auront été reconnus comme...
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MALEBRANCHE et la connaissance par conjecture
PRESENTATION DE L'OUVRAGE "DE LA RECHERCHE DE LA VERITE" DE MALEBRANCHE Cette première oeuvre de Malebranche (1638-1715), imposante, et qu'il ne cessera de compléter et de parfaire au point qu'on ne puisse la lire sans ses nombreux Éclaircissements, est de dix années postérieure à son ordination et à sa découverte simultanée et enflammée de la philosophie de Descartes. Sa vocation uniment religieuse et philosophique va consister à compléter et à corriger l'un par l'autre Saint Augustin et l'...
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HOBBES ET LA FELICITE
HEGEL: La double existence de l'homme Les choses de la nature n'existent qu'immédiatement et d'une seule façon, tandis que l'homme, parce qu'il est esprit, a une double existence ; il existe d'une part au même titre que les choses de la nature, mais d'autre part, il existe aussi pour soi. Il se contemple, se représente à lui-même, se pense et n'est esprit que par cette activité qui constitue un être pour soi. Cette conscience de soi, l'homme l'acquiert de deux manières : primo, théoriquement, pa...
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KANT: un usage pratique de la raison
Introduction: Ce texte est un extrait de la préface à la seconde édition de la Critique de la raison pure. Dans cette préface, Kant explicite ce qu'est la démarche critique et en montre tous les enjeux. La critique consiste, non pas à étendre plus loin notre savoir, mais au contraire à adopter un point de vue réflexif sur la production de ce savoir et ses conditions de légitimité. Il s'agit pour la raison de se retourner sur elle-même et de déterminer les bornes de son pouvoir, les limites de so...
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l'historien peut-il être objectif ?
Beaucoup de penseurs d'aujourd'hui ne croient plus que l'idéal d'objectivité impassible dont les positivistes avaient rêvé, que Fénelon lui-même prônait jadis (« Le bon historien n'est d'aucun temps ni d'aucun pays ») soit réalisable. Dans toute la masse des faits du passé que nous pouvons reconstruire à partir de leurs traces, il nous faut faire un choix. Mais comment distinguer le fait historique, le fait important du fait non historique insignifiant ? Seignobos disait que l'on juge de l'impor...
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L'historien est-il objectif?
Beaucoup de penseurs d'aujourd'hui ne croient plus que l'idéal d'objectivité impassible dont les positivistes avaient rêvé, que Fénelon lui-même prônait jadis (« Le bon historien n'est d'aucun temps ni d'aucun pays ») soit réalisable. Dans toute la masse des faits du passé que nous pouvons reconstruire à partir de leurs traces, il nous faut faire un choix. Mais comment distinguer le fait historique, le fait important du fait non historique insignifiant ? Seignobos disait que l'on juge de l'impor...
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L'histoire peut elle être objective?
Beaucoup de penseurs d'aujourd'hui ne croient plus que l'idéal d'objectivité impassible dont les positivistes avaient rêvé, que Fénelon lui-même prônait jadis (« Le bon historien n'est d'aucun temps ni d'aucun pays ») soit réalisable. Dans toute la masse des faits du passé que nous pouvons reconstruire à partir de leurs traces, il nous faut faire un choix. Mais comment distinguer le fait historique, le fait important du fait non historique insignifiant ? Seignobos disait que l'on juge de l'impor...
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L'objectivité en histoire a-t-elle des limites ?
Beaucoup de penseurs d'aujourd'hui ne croient plus que l'idéal d'objectivité impassible dont les positivistes avaient rêvé, que Fénelon lui-même prônait jadis (« Le bon historien n'est d'aucun temps ni d'aucun pays ») soit réalisable. Dans toute la masse des faits du passé que nous pouvons reconstruire à partir de leurs traces, il nous faut faire un choix. Mais comment distinguer le fait historique, le fait important du fait non historique insignifiant ? Seignobos disait que l'on juge de l'impor...
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L'historien peut-il être objectif ?
Beaucoup de penseurs d'aujourd'hui ne croient plus que l'idéal d'objectivité impassible dont les positivistes avaient rêvé, que Fénelon lui-même prônait jadis (« Le bon historien n'est d'aucun temps ni d'aucun pays ») soit réalisable. Dans toute la masse des faits du passé que nous pouvons reconstruire à partir de leurs traces, il nous faut faire un choix. Mais comment distinguer le fait historique, le fait important du fait non historique insignifiant ? Seignobos disait que l'on juge de l'impor...
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Hobbes: L'état de nature
Hobbes: L'état de nature 1. L'égalité naturelle entre les hommes Tous les hommes sont égaux par leur force et leur intelligence : si je suis moins fort, je puis m allier avec d'autres faibles, ou bien ruser pour l'emporter contre celui qui est apparemment plus fort que moi ; je suis également persuadé d'être plus malin que mon voisin, mais lui aussi est persuadé de la même chose. Or il n'y a pas de meilleur signe d'égalité que lorsque chacun est satisfait de sa part. 2. Les conséquences néfaste...
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Hobbes: L'état de nature
Thème 444 Hobbes: L'état de nature 1. L'égalité naturelle entre les hommes Tous les hommes sont égaux par leur force et leur intelligence : si je suis moins fort, je puis m allier avec d'autres faibles, ou bien ruser pour l'emporter contre celui qui est apparemment plus fort que moi ; je suis également persuadé d'être plus malin que mon voisin, mais lui aussi est persuadé de la même chose. O r il n'y a pas de meilleur signe d'égalité que lorsque chacun est satisfait de sa part. 2. Les conséquen...
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Le bonheur est-il inaccessible à l'homme ?
Termes du sujet: HOMME: Le plus évolué des êtres vivants, appartenant à la famille des hominidés et à l'espèce Homo sapiens (« homme sage »). • Traditionnellement défini comme « animal doué de raison », l'homme est aussi, selon Aristote, un « animal politique ». Ce serait en effet pour qu'il puisse s'entendre avec ses semblables sur le bon, l'utile et le juste que la nature l'aurait pourvu du langage. BONHEUR: De bon et heur (terme dérivé du latin augurium, présage, chance). État de complète sat...
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Sartre: La responsabilité limite-t-
elle la liberté ?
VOCABULAIRE SARTRIEN: Liberté : ce n'est pas une propriété parmi d'autres de l'homme, c'est l'étoffe même de son existence, qui renvoie à cette indétermination (« l'existence précède l'essence ») et à cette ouverture aux possibles qui caractérisent la réalité humaine. Selon une formule récurrente de Sartre, « l'homme est condamné à être libre ». De cette liberté découle sa responsabilité. Elle s'éprouve dans l'angoisse. Responsabilité : découle de la liberté humaine et est aussi radicale que cel...
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La libération passe t-elle par le refus de l'inconscience?
Introduction Depuis la naissance de la psychanalyse, il est courant de penser que l'inconscient détermine nos actions de part à part. Ce n'est pas ce que Freud pensait ; mais cette opinion commune pose tout de même le problème suivant : comment utiliser les ressources de l'inconscience pour favoriser la libération de l'être humain ? Faut-il refuser l'inconscience pour promouvoir une suprématie de la conscience comme condition de toute liberté ? Mais comment la conscience pourrait s'affranchir d'...
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« Il y a du peintre chez Victor Hugo, de l'orateur chez A. de Musset, du philosophe chez Alfred de Vigny, Lamartine est un pur poète. Il ne suit pas de là qu'il soit le premier de tous, mais à coup sûr, il est unique. » Expliquer et discuter ces lignes d
« Il y a du peintre chez Victor Hugo, de l'orateur chez A. de Musset, du philosophe chez Alfred de Vigny, Lamartine est un pur poète. Il ne suit pas de là qu'il soit le premier de tous, mais à coup sûr, il est unique. » Expliquer et discuter ces lignes de Paul Bourget. PLAN Début. — Lamartine occupe une place à part parmi les poètes romantiques. Non seulement il domine notre histoire poétique parce qu'il est le premier en date dans cet essor lyrique du XIXe siècle, mais parce qu'il incarne l'idé...
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Punir, est-ce la même chose que se venger?
Termes du sujet: CHOSE (n. f.) 1. — Désigne la réalité (res en latin : chose) en gén. ; cf. DESCARTES : « chose pensante » (âme), « chose étendue » (matière). 2. — Désigne la réalité, envisagée comme déterminée et statique, existant hors de la représentation ; en ce sens, KANT utilise l'expression « chose en soi ». 3. — (Par ext.) À partir du sens 2, désigne la réalité inanimée, hors de son rapport à la pensée (le monde des choses). Rem. : la chose se distingue de l'objet en ce que ce dernier es...
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La fin de l'éthique est-elle le bonheur terrestre ?
La fin de l'éthique c'est le bonheur Il va de soi, pour un Grec du IVe siècle avant J.-C, que le but que nous poursuivons tous dans la vie, c'est le bonheur. C'est sur un éloge du bonheur que s'ouvre, sans autre préambule, l'Éthique à Eudème: «Celui qui a fait graver l'inscription du temple de Léto sépare des choses qui, à ses yeux, ne sauraient se trouver toutes à la fois chez un seul homme: le bien, le beau et le plaisant. (...) Pour nous, nous ne saurions tomber d'accord avec lui; car le bonh...
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Peut-on légitimement parler de la neutralité de la technique ?
Pour démarrer L'Idée d'une technique - ensemble de procédés par lesquels on applique des connaissances scientifiques, pour obtenir un résultat déterminé — neutre, à savoir dépourvue de significations et valeurs morales, métaphysiques, ontologiques, en bref parfaitement objective, est-elle réellement valable ? Conseils pratiques Ne prenez pas la technique au sens étroit du terme. Conduisez votre analyse de manière très synthétique. vous remarquerez que la technique est une activité vitale grosse...
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Mort, Souffrance, Injustice : est-ce le dernier mot de la condition humaine ?
Analyse du sujet : · Il s'agit de s'interroger sur l'imperfection humaine. · « Mort, souffrance, injustice » sont des maux : Ø le 1 er désigne le mal métaphysique, la finitude : la mort est la marque de notre inscription dans le temps (en tant qu'êtres mortels, nous sommes engendrés et corruptibles). Ø le 2nd désigne le mal physique, la douleur : la souffrance est la marque de notre nature sensible, de notre corporéité. Ø le 3 ème renvoie au mal commis, à la faute. Injustice est un mal, particip...
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L'objectivité de la science est-elle moralement neutre ?
Il s'agit d'évaluer l'objectivité scientifique au point de vue de la morale. Cela suppose évidemment que l'on ait une idée assez claire et complète de ce qu'il faut entendre par objectivité de la science. Analysez la neutralité de la science vis-à-vis de la morale - ou au contraire son engagement - ne sera possible qu'à partir de données concrètes fournies par l'histoire des connaissances et découvertes scientifiques, ainsi que des cas où un conflit (ou au contraire une alliance) se sont effecti...
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Alain
"L'inconscient est une méprise sur le Moi, c'est une idolâtrie du corps. On a peur de l'inconscient: là se trouve logée la faute capitale. Un autre Moi me conduit qui me connaît et que je connais mal. L'hérédité est un fantôme du même genre. "Voilà mon père qui se réveille ; voilà celui qui me conduit. Je suis par lui possédé". Tel est le texte des affreux remords de l'enfance: de l'enfance qui ne peut porter ce fardeau : de l'enfance. qui ne peut jurer ni promettre; de l'enfance, qui n'a pas fo...
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Réfréner ses désirs est-ce renoncer au bonheur ?
VOCABULAIRE: DÉSIR : Tension vers un objet que l'on se représente comme source possible de satisfaction ou de plaisir. Comme objet, c'est ce à quoi nous aspirons; comme acte, c'est cette aspiration même. Le désir se distingue de la volonté, qui n'est pas un simple mouvement mais une organisation réfléchie de moyens en vue d'une fin. Le désir peut aller sans ou contre la volonté (un désir, par exemple, que je sais interdit et que je ne veux pas réaliser); la volonté peut aller sans le désir (la v...
- MALEBRANCHE: les desseins et les volontes de Dieu
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Notes de cours: LA JUSTICE.
L'idée de justice (justitia) est inséparable de celle de droit (jus). Etre juste, c'est agir selon le droit. De là deux sens possibles du mot justice: la justice pourra consister à savoir une conduite conforme au droit légal, ou conforme au droit moral: dans le premier cas, l'homme juste sera celui qui obéira aux lois, dans le second celui dont la conduite sera conforme à l'idéal moral. La vertu de justice a donc trait, non aux intentions, mais aux actes; elle réside dans une conduite confor...
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Méda: Peut-on parler d'un droit au travail ?
Le travail peut-il être élevé au rang d'une valeur? Encore faudrait-il savoir si cette valeur, il la possède en lui-même, ou si elle ne lui serait pas plutôt conférée de l'extérieur. On peut ainsi penser qu'un travail n'a de valeur que relativement à l'intention qui l'anime ou au sens qu'on lui donne. Ainsi en va-t-il pour le travail comme vecteur d'intégration sociale : est-ce par simple souci d'efficacité, ou afin de pouvoir contribuer à la société ? Pour soi ou pour les autres ? Mais pour que...
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David HUME
Hume Enquête sur l’entendement humain Section 12 : De la philosophie académique ou sceptique (3ème partie) Texte : Tout ce qui est peut ne pas être. Il n'y a pas de fait dont la négation implique contradiction. L'inexistence d'un être, sans exception, est une idée aussi claire et aussi distincte que son existence. La proposition, qui affirme qu'il n'existe pas, même si elle est fausse, ne se conçoit et ne s'entend pas moins que celle qui affirme qu'il existe. Le cas est différent pour les scien...
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l'égoïsme et l'altruisme.
Lorsqu'il est évident que quelqu'un a agi égoïstement aux dépends d'un autre ou d'autres, son acte est quasiment systématiquement condamné par l'opinion commune, l'acte égoïste est connoté extrêmement péjorativement la plupart du temps. Mais qu'est-ce, exactement, que l'égoïsme ? Ce terme est un dérivé d' « ego », substantif inventé par Port-Royal et lui-même issu du latin « ego » qui est le pronom personnel de la première personne du singulier ; il signifie « je », « moi ». Dans l'antiquité, ég...
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Commentaire composé : Le Rouge et le noir, II, 24 « Strasbourg » - stendhal
Commentaire composé : Le Rouge et le noir, II, 24 « Strasbourg » Le siège de Kehl, opposant les forces françaises, dirigées par le général Desaix, à celles du Saint Empire germanique, commandées par le général Baillet-Latour, s’est déroulé d’octobre 1797 à janvier 1797. Elle se soldera par la perte de la ville au profit de l’Empire germanique malgré un nombre de soldats français bien supérieurs aux troupes germaniques. Dans le livre Second, au chapitre 24 de l’œuvre de Stendhal : Le Roug...
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L'IDÉE VRAIE, EST-CE L'IDÉE QUI RÉUSSIT ?
Termes du sujet: RÉUSSIR / RÉUSSITE: Qui connaît le succès, ce qui est efficace, ce qui marche. VRAI: * Se dit d'une affirmation conforme à la réalité ou qui n'implique pas contradiction et à laquelle l'esprit ne peut que souscrire : Il n'y a pas grand-chose de vrai dans son récit. * Qui appartient à la réalité et n'est pas une création de l'esprit : Rechercher les vraies causes d'un phénomène. * Qui est bien conforme à son apparence : Une vraie rousse. * Se dit, dans le domaine artistique et li...
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L'histoire : questions de méthode ?
La question de l'objectivité en histoire Fénelon, dans une définition célèbre, a proposé un idéal évidemment inaccessible : «le bon historien, disait-il, n'est d'aucun temps ni d'aucun pays» (Lettre à l'Académie, 1714). Il est assurément certain que l'historien est toujours tributaire, peu ou prou, des préoccupations de son époque, voire des préjugés propres à son milieu. Lorsque nous lisons les historiens romains de l'époque impériale (Tacite, notamment), nous sommes tenus de nous souvenir que...
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« La conscience enferme un refus de soi : on ne connaît de soi que ce Qu'on change. » Quelles réflexions vous suggère cette pensée d'Alain ?
« La conscience enferme un refus de soi : on ne connaît de soi que ce qu'on change. » Quelles réflexions vous suggère cette pensée d'Alain ? plan indicatif Remarque : Dans le but d'éclairer la pensée d'un auteur au programme, nous analyserons ici cette phrase d'Alain en nous plaçant du point de vue de ce dernier, dans le cadre de sa philosophie. Cependant il n'est aucunement nécessaire pour bien traiter ce sujet de connaître cette philosophie, puisque son libellé ne demande pas ce qu'Alain enten...
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LA VALEUR MORALE DU TRAVAIL ET LE PROBLÈME DU LOISIR ?
LA VALEUR MORALE DU TRAVAIL ET LE PROBLÈME DU LOISIR Préambule. Notions élémentaires concernant la production Karl MARX a montré que le premier objet — et peut-être le seul objet — de l'économie politique est la production. Il ne peut y avoir distribution ni consommation avant que les choses utiles ne soient produites. Et il est historiquement certain que les modes de production ont déterminé les modes de répartition des richesses sans que jamais l'inverse se produise. Mais la notion de producti...
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Kant: le jugement de gout et le jugement d'agrément
En ce qui concerne l'agréable, chacun consent à ce que son jugement fondé sur un sentiment particulier et par lequel il affirme qu'un objet lui plaît, soit restreint à une seule personne. Il admet donc quand il dit: le vin des Canaries est agréable, qu'un autre corrige l'expression et lui rappelle qu'il doit dire : il m'est agréable ; il en est ainsi non seulement pour le goût de la langue, du palais et du gosier, mais aussi pour ce qui plaît aux yeux et aux oreilles de chacun (...). Il en...
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Le langage nous éloigne-t-il des choses ?
Comment les mots portent-ils sur les choses ? De prime abord, nous pourrions dire que le langage, comme faculté proprement humaine, désigne la réalité, le donné immédiatement sensible perçu par les sens. D'une part, les mots cernent certains types de réalité dans leurs caractéristiques ; d'autre part, ils les distinguent des autres choses. Nommer une chaise ‘chaise', c'est à la fois rassembler sous une même appellation tout ce qui s'apparente à l'objet en question et le différencier de la table,...
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La raison peut-elle vouloir la violence ?
Termes du sujet: VOLONTÉ / VOULOIR: Du latin voluntas, «volonté», «désir», «intention». 1. Faculté de vouloir, pouvoir de se déterminer pour des motifs raisonnables. 2. Acte particulier de la faculté de vouloir (exemple: ses «dernières volontés»), volition. 3. Chez Schopenhauer, vouloir-vivre universel, «poussée aveugle et irrésistible» qui vise, en tout être vivant, la survie de l'espèce. Un acte est volontaire quand il trouve son principe dans une libre décision du sujet. À la différence du dé...
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La philosophie nous éloigne-t-elle du monde ?
La philosophie nous éloigne-t-elle du monde ? Intro : La philosophie, ou amour de la sagesse en grec, a deux visées principales : la connaissance, permettant d’éviter des erreurs dues à notre ignorance ou à l’emprise d’une illusion ; et le Salut dans son sens strict, consistant en une conduite de vie bonne et droite. L’emploi de la philosophie pour atteindre ces objectifs présuppose donc une volonté de nous éloigner de notre nature, et de ne pas se laisser conduire aveuglément par notre pe...
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Peut-on échapper aux exigences de la conscience ?
La conscience a-t-elle des "exigences" à proprement parler ? La conscience consiste d'abord en une mise à distance du monde et de soi-même : je vois cette table mais je sais que je vois, je ne m'identifie pas purement et simplement à la table, j'agis mais je sais que j'agis, etc. Pour donner un premier sens à ce terme d'exigence, il faut penser "la mise à distance" qu'implique la conscience comme une exigence de pensée : j'agis mais je sais que j'agis en agissant, c'est qu'on appelle la conscien...
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Le progrès est-il garanti par le triomphe de la raison ?
Alain Touraine 1992 Critique de la modernité Le progrès est-il g ranti par le triomphe de la raison? ~ La raison assure le confort matériel et garantit nos droits fondamentaux. ~ La raison seule, tant s'en faut, ne suffit pas à assurer le bonheur des hommes.
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Au terme de l'Avant-propos placé en tête de son livre Matière et Lumière, Louis de Broglie écrit : « On peut légitimement aimer la science pour ses applications, pour les soulagements et les commodités qu'elle a apportés à la vie humaine, sans oublier to
Au terme de l'Avant-propos placé en tête de son livre Matière et Lumière, Louis de Broglie écrit : « On peut légitimement aimer la science pour ses applications, pour les soulagements et les commodités qu'elle a apportés à la vie humaine, sans oublier toutefois que la vie humaine restera toujours, de par sa nature même, précaire et misérable. Mais on peut, pensons-nous, trouver une autre raison d'aimer l'effort scientifique, en appréciant la valeur de ce qu'il représente. En effet, comme toutes...
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Comment préserver les hommes des nuisances possibles de leurs savoirs ?
Analyse du sujet - - - Le sujet met en relation deux éléments (nuisance et savoir). Il nous engage à réfléchir sur cette relation en envisageant une méthode ou un moyen de la maîtriser. Le présupposé est ici qu'un savoir est une nuisance possible. Une nuisance : quelque chose qui peut nuire. Soit à l'existence de l'homme : il est alors question du développement technique du va de pair avec le développement de la science. Soit à son essence : la question est alors morale. Les savoirs humains p...
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Doit-on souhaiter la dictature de la raison ?
Doit- o n s ou ha ite r l a d ictatu re d e l a ra i so n ? � C'est en se soumettant aux décrets absolus de la raison que l'humanité pourra enfin suivre un droit chemin. � La raison est loin d'avoir toujours raison. L'homme ne doit jamais oublier qu'il a également un cœur.
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Communication sociale pour la promotion des manifestations culturelles en Côte d'Ivoire : cas du mory-sawarila de Marabadjassa
UNIVERSITÉ ALASSANE OUATTARA DE BOUAKÉ UFR : Communication, Milieu et Société Département des sciences du langage et de la communication MÉMOIRE DE MASTER 2 MENTION : Sciences de la communication OPTION : Communication pour le développement SUJET : COMMUNICATION SOCIALE POUR LA PROMOTION DES MANIFESTATIONS CULTURELLES EN CÔTE D’IVOIRE : CAS DU MORI-SABARILA DE MARABADJASSA Présenté par : M. SANGARÉ Souleymane Encadré par : M. KAUL Guy (Maître de conférences) Sous la di...
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Les oeuvres d'arts nous font elles oublier le réel ?
L'expression « le monde de l'art » semble faire de l'ensemble des œuvres et des individus s'y intéressant une communauté à part entière, comme constituant une réalité en marge de celle du commun. Pourtant, les œuvres dites engagées ne sont pas choses rares : les artistes prouvent régulièrement qu'ils sont sensibles aux évènements du monde. Dès lors, se demander si l'art nous fait oublier la réalité, c'est s'interroger sur ses rapports avec une objectivité supposée. Cet « oubli » n'est-il qu'un t...
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FREUD et l'agressivité humaine
"L'homme n'est point cet être débonnaire, au coeur assoiffé d'amour, dont on dit qu'il se défend quand on l'attaque, mais un être, au contraire, qui doit porter au compte de ses données instinctives une bonne somme d'agressivité. Pour lui, par conséquent, le prochain n'est pas seulement un auxiliaire et un objet sexuel possibles, mais aussi un objet de tentation. L'homme est, en effet, tenté de satisfaire son besoin d'agression aux dépens de son prochain, d'exploiter son travail sans dédom...