189 résultats pour "volontes"
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Vie et oeuvre d'Arthur SCHOPENHAUER
— I — Vie. Né à Dantzig en 1788, d'une famille bourgeoise, Arthur Schopenhauer a eu une existence simple de célibataire retiré du monde, marquée par une période d'enseignement (Berlin 1820-1833) et par des publications qui ne connurent pas le succès à leur époque. Après sa thèse La quadruple racine du principe de raison suffisante (1813), il publia en 1818 son œuvre la plus marquante : Die Welt als Wille und Vorstellung (Le Monde comme "Volonté et comme Représentation). D'autres traités suiviren...
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HEGEL: «L'État, comme réalité en
acte de la volonté substantielle, [...] est le rationnel en soi et pour
soi [...] dans lequel la liberté obtient sa valeur suprême.»
Thème 375 HEGEL: «L'État, comme réalité en acte de la volonté substantielle, [...] est le rationnel en soi et pour soi [...] dans lequel la liberté obtient sa valeur suprême.» Il n'y a de liberté véritable que dans et par l'État. «L'État, comme réalité en acte de la volonté substantielle, [...] est le rationnel en soi et pour soi [...] dans lequel la liberté obtient sa valeur suprême. » Hegel, Principes de la philosophie du droit (1821). • Hegel se situe ici dans la lignée d'Aristote, pour qui l...
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Arthur SCHOPENHAUER (1788-1860)
Si on situe généralement la naissance de la philosophie dans l’antiquité, à travers l’existence de Socrate et de Platon, l’origine même du sentiment philosophique reste un problème. On reconnaît certes que l’homme est un être qui fait exception dans la nature, de par sa conscience. Il est vrai que seuls, les hommes ont réellement bâti des civilisations et la philosophie apparaît souvent comme une haute forme de culture. Pourtant, qu’est-ce qui nous pousse à philosopher ? Schopenhauer, dans ce te...
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DESCARTES: «II n'y a que la volonté,
ou liberté de décision, que j'expérimente si grande en moi que je
n'ai idée d'aucune autre plus grande.»
Thème 353 DESCARTES: «Il n'y a que la volonté, ou liberté de décision, que j'expérimente si grande en moi que je n'ai idée d'aucune autre plus grande.» Être sujet, c'est être maître de soi—même (philosophie du sujet). «Il n'y a que la volonté, ou liberté de décision, que j'expérimente si grande en moi que je n'ai idée d'aucune autre plus grande» Descartes, Méditations métaphysiques (1641), IV. • L'idée qu'il faut croire ou faire quelque chose sans chercher à comprendre pourquoi («argument d'auto...
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La morale peut-elle rendre immoral ?
Analyse du sujet : - - - Il s'agit de s'interroger sur un paradoxe : comment la morale entraînerait-elle l'immoralité, c'est-à-dire sa propre négation ? Pour donner sens au sujet, il convient de remarquer que la morale n'est pas une simple qualité, ne se réduit pas au fait d'être moral. Dès lors, une disjonction peut s'instaurer entre morale et moralité, entre un ensemble constitué de normes et de valeurs (pensable à part des individus qui s'y conforment) et la qualité des actions rapportable...
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Karl Heinrich MARX (1818-1883)
Le travail est de prime abord un acte qui se passe entre l’homme et la nature. L’homme y joue lui-même vis-à-vis de la nature le rôle d’une puissance naturelle. Les forces dont son corps est doué, bras et jambes, tête et mains, il les met en mouvement, afin de s’assimiler des matières en leur donnant une forme utile à sa vie. En même temps qu’il agit par ce mouvement sur la nature extérieure et la modifie, il modifie sa propre nature, et développe les facultés qui y sommeillent. Nous ne nous arr...
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Qu'est ce qu'être soi-même ?
Demande d'échange de corrigé de desegaulx laure ([email protected]). Sujet déposé : Qu'est ce qu'être soi même ? Etre soi-même : c'est l'attitude prônée par le sens commun, qui veut dire par là « être naturel », « faire ce que l'on veut » (ce que ce même sens commun appelle « être libre »).Pourtant, si être soi-même revenait à s'abstenir, à se laisser aller à nos désirs, à faire ce que l'on veut, on n'éprouverait pas tant d'inquiétude. Or, l'inquiétude, la recherche d'un équilibre et du bonheu...
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Karl Heinrich MARX: L'usage ou l'emploi de la force de travail
L'usage ou l'emploi de la force de travail, c'est le travail. L'acheteur de cette force la consomme en faisant travailler le vendeur. Pour que celui-ci produise des marchandises, son travail doit être utile, c'est-à-dire se réaliser en valeurs d'usage. C'est donc une valeur d'usage particulière, un article spécial que le capitaliste fait produire par son ouvrier. De ce que la production de valeurs d'usage s'exécute pour le compte du capitaliste et sous sa direction, il ne s'ensuit pas, bien ente...
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Karl Heinrich MARX (1818-1883)
L'usage ou l'emploi de la force de travail, c'est le travail. L'acheteur de cette force la consomme en faisant travailler le vendeur. Pour que celui-ci produise des marchandises, son travail doit être utile, c'est-à-dire se réaliser en valeurs d'usage. C'est donc une valeur d'usage particulière, un article spécial que le capitaliste fait produire par son ouvrier. De ce que la production de valeurs d'usage s'exécute pour le compte du capitaliste et sous sa direction, il ne s'ensuit pas, bien ente...
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Saint Augustin et le Connais-toi toi-même
Cette phrase qu'elle entend : « Connais-toi toi-même », comment l'âme s'en souciera-t-elle, si elle ne sait ni ce qu'est « connais » ni ce qu'est « toi-même » ? Mais si elle sait ces deux choses, elle se connaît aussi elle-même. Car on ne dit pas à l'âme : « Connais-toi toi-même », comme on dit : « Connais la volonté de cet homme » ; cette volonté ne nous est présente, pour être saisie et comprise, que par des signes corporels qu'il donne ; et encore de telle manière que nous y croyons plus...
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Expliquez et discutez cette formule de Gide : « Envier le bonheur d'autrui c'est folie; on ne saurait pas s'en servir. Le bonheur ne se veut pas tout fait mais sur mesure. » ?
Sujet : Expliquez et discutez cette formule de Gide : « Envier le bonheur d'autrui c'est folie; on ne saurait pas s'en servir. Le bonheur ne se veut pas tout fait mais sur mesure. » Corrigé rédigé « Il ne suffit pas d'être heureux, il faut encore que les autres ne le soient pas », disait, avec humour, Jules Renard, stigmatisant ainsi l'attitude de ceux dont les plus grandes joies résident dans, la possibilité de dépasser ou d'écraser autrui, qui confondent la volonté de bonheur avec la volo...
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Karl Heinrich MARX (1818-1883)
Notre point de départ, c'est le travail sous une forme qui appartient exclusivement à l'homme. Une araignée fait des opérations qui ressemblent à celles du tisserand, et l'abeille confond par la structure de ses cellules l'habileté de plus d'un architecte. Mais ce qui distingue dès l'abord le plus mauvais architecte de l'abeille la plus experte, c'est qu'il a construit la cellule dans sa tête avant de la construire dans la ruche. Le résultat auquel le travail aboutit préexiste idéalement dans l'...
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Santiago Ramón y Cajal
Santiago Ramón y Cajal 1852-1934 Ramón y Cajal édifia sur des faits observés et sut défendre la doctrine du neurone : là est son Oeuvre. His et Forel (1886-1887) avaient lancé l'hypothèse de la libre terminaison des cylindres-axes et des dendrites, face au réticularisme de Gerlach et Golgi. Ramón y C ajal, à partir de 1888, démontra l'exactitude de cette hypothèse et affirma énergiquement que les cellules nerveuses ne se rattachent pas entre elles par continuité, mais par contiguïté. Waldeyer (1...
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A la fin de son ouvrage, La Préciosité et les précieux, de Thibaut de Champagne à J. Giraudoux, René Bray, cherchant à définir une « éthique de la préciosité », note (page 395) : « Ne pourrait-on dire que, dans la préciosité, le poète, au fond, est toujo
A la fin de son ouvrage, La Préciosité et les précieux, de Thibaut de Champagne à J. Giraudoux, (1948), René Bray, cherchant à définir une « éthique de la préciosité », note (page 395) : « Ne pourrait-on dire que, dans la préciosité, le poète, au fond, est toujours seul devant soi ? Qu'il quête ou non l'applaudissement, il cherche d'abord sa propre approbation. Se distinguer des autres, c'est se donner du prix à soi et pour soi : le juge suprême, c'est toujours soi. La préciosité est une « danse...
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NIETZSCHE: Amour et musique
Il faut apprendre à aimer. – Voici ce qui nous arrive dans le domaine musical : il faut avant tout apprendre à entendre une figure, une mélodie, savoir la discerner par l'ouïe, la distinguer, l'isoler et la délimiter en tant qu'une vie en soi : ensuite il faut de l'effort et de la bonne volonté pour la supporter, en dépit de son étrangeté, user de patience pour son regard et pour son expression, de tendresse pour ce qu'elle a de singulier ;- vient enfin le moment où nous y sommes habitués, où no...
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Un critique contemporain définit l'esprit du XVIIIe siècle en ces termes: "Il fallait édifier une politique sans droit divin, une religion sans mystère, une morale sans dogme." Dans quelle mesure et avec quelles nuances ce jugement se trouve-t-il vérifié
Introduction Quand on considère l'œuvre du XVIIIe siècle dans son ensemble, elle apparaît comme diverse, contradictoire, voire chaotique. Il semble presque impossible de lui trouver une unité, autrement dit de définir l'esprit du « siècle philosophique ». N'y aurait-il pas moyen, en se plaçant à la source créatrice de ses exigences intellectuelles, de saisir cette unité, cet esprit dans une volonté de reconstruire les valeurs humaines, sans jamais les rattacher à quelque chose qui les dépasserai...
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L'artiste travaille-t-il quand il crée ?
Un artiste est un individu qui pratique cette activité singulière qu'est l'art. Jusqu'au dix-huitième siècle, le terme « art » désignait l'ensemble des techniques de production d'artefacts : tel était encore le cas dans le Discours sur les sciences et les arts (1750) de Jean-Jacques Rousseau. Aujourd'hui, par art nous entendons plutôt une activité créatrice gratuite, mais sérieuse, qui représente dans des œuvres un état de la sensibilité et de la pensée d'une époque, en s'opposant à la fois...
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Le bonheur est-il idéal de l'imagination ou réalité ?
Analyse du sujet - - - - - - Etymologiquement, le bonheur vient du latin bonum agurium, « chance, bonne fortune ». Au sens général, il s'agit d'un état de satisfaction complète, caractérisé par sa plénitude et sa stabilité. Chez Aristote, le bonheur est la fin que tout homme poursuit (même si les hommes ne s'entendent pas sur sa nature), doit être rapporté à la réussite de l'activité. Or l'activité la plus élevée est celle de l'intelligence : penser vrai procure donc le plus grand bonheur....
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Est-ce la volonté du plus grand nombre qui fonde le droit ?
[En démocratie, la volonté du plus grand nombre n'est qu'une autre version de la loi du plus fort. Ce n'est pas, en effet, parce qu'elles sont plus justes, mais parce qu'elles sont plus nombreuses, que les voix de la majorité s'imposent.] Les plus nombreux sont les plus forts - Les faibles asservissent les forces En règle générale, la loi et la nature se contredisent. D'un point de vue naturel, le plus grand des maux est de subir l'injustice et non pas de la commettre. Pour la loi, il ne faut p...
- Nietzsche: Le temps est-il un obstacle à la liberté ?
- Nietzsche
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Epictète: bonheur et dépendance
Ce qui dépend de nous et ce qui ne dépend pas de nous C'est la règle à comprendre. Tout le malheur des hommes vient de ce qu'ils confondent ce qui est en leur pouvoir et ce qui n'est pas en leur pouvoir. Ils désirent ainsi ce qui ne dépend pas d'eux (envie, jalousie), s'affligent de ce qui leur échappe (deuil...) et sont ainsi esclaves des événements, des autres, du jugement des autres : du monde extérieur. Le but est donc de redevenir maître de soi, d'exercer sa maîtrise sur les seules ch...
- Nietzsche
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Arthur SCHOPENHAUER (1788-1860)
Schopenhauer, « La volonté est l'essence du monde » « La volonté, que nous trouvons au-dedans de nous, ne résulte pas avant tout, comme l'admettait jusqu'ici la philosophie, de la connaissance, elle n'en est même pas une pure modification, c'est-à-dire un élément secondaire dérivé et régi par le cerveau comme la connaissance elle-même; mais elle est le Prius de la connaissance, le noyau de notre être et cette propre force originelle qui crée et entretient le corps animal, en en remplissant toute...
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- Hegel: L'État représente-t-il l'aboutissement historique de la vie en société ?
- Kant: Suffit-il d'être indépendant pour être libre ?
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Rousseau: liberté, société et droit
"Le seul qui fait sa volonté est celui qui n'a pas besoin pour la faire de mettre les bras d'un autre au bout des siens(1) : d'où il suit que le premier de tous les biens n'est pas l'autorité mais la liberté. L'homme vraiment libre ne veut que ce qu'il peut et fait ce qu'il lui plaît. (...) La société a fait l'homme plus faible, non seulement en lui ôtant le droit qu'il avait sur ses propres forces, mais surtout en les lui rendant insuffisantes. Voilà pourquoi ses désirs se multiplient avec sa f...
- « Vouloir » et « pouvoir » ?
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Le gouvernement pour le peuple engendre-t-il spontanément la liberté ?
Introduction : Le gouvernement est l'ensemble des institutions qui ont pour but de conduire l'Etat. Le gouvernement pour et par le peuple désigne la démocratie (étymologiquement le pouvoir du peuple). La liberté se laisse comprendre en son sens le plus général comme le pouvoir de faire ce que l'on veut et dans son acception spécifiquement politique, comme le fait d'être gouverné par des lois que l'on a soi-même choisi. Dans la mesure où le peuple ne peut vouloir servir que son intérêt, il s...
- KANT
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Epictète: Ce voleur, cet adultère
Quoi ! Ce voleur, cet adultère ne devraient pas être mis à mort ! — Ne parle pas ainsi, dis plutôt : "Cet homme qui est dans l'erreur et qui se trompe sur les sujets les plus importants, qui a perdu la vue, non point la vue capable de distinguer le blanc et le noir, mais la pensée qui distingue le bien du mal, ne devrait-il pas périr ?" Et si tu parles ainsi, tu verras combien tes paroles sont inhumaines ; c'est comme si tu disais : "Cet aveugle, ce sourd ne doit-il pas périr ?" S'il n'y a p...
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LOCKE: lois et bien général des hommes
Une loi, suivant sa véritable notion, n'est pas tant faite pour limiter, que pour faire agir un agent intelligent et libre conformément à ses propres intérêts : elle ne prescrit rien que par rapport au bien général de ceux qui y sont soumis. Peuvent-ils être plus heureux sans cette loi-là ? Dès lors cette sorte de loi s'évanouit d'elle-même, comme une chose inutile ; et ce qui nous conduit dans des précipices et dans des abîmes, mérite sans doute d'être rejeté. Quoi qu'il en soit, il est cert...
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KANT: la nature et les moyens
PRESENTATION DE "FONDEMENTS DE LA METAPHYSIQUE DES MOEURS" DE KANT Dans ce premier grand ouvrage consacré à la morale, Kant (1724-1804) se donne pour tâche « la recherche et l'établissement du principe suprême de la moralité » (Préface). Son objectif n'est pas seulement spéculatif mais surtout pratique : il est nécessaire de trouver le critère permettant à chacun d'apprécier clairement la valeur morale de ses actions, car la moralité est sujette à corruption, souvent confondue avec le calcu...
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Baruch SPINOZA
"Si dans une Cité les sujets ne prennent pas les armes parce qu'ils sont sous l'empire de la terreur, on doit dire, non que la paix y règne, mais plutôt que la guerre n'y règne pas. La paix en effet n'est pas la simple absence de guerre, elle est une vertu qui a son origine dans la force d'âme car l'obéissance est une volonté constante de faire ce qui, suivant le droit de la Cité, doit être fait. Une Cité [...] où la paix est un effet de l'inertie des sujets conduits comme un troupeau et formés...
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Jean-Paul SARTRE: motifs et mobiles
En fait, motifs et mobiles n'ont que le poids que mon projet, c'est-à-dire la libre production de la fin et de l'acte connu à réaliser, leur confère. Quand je délibère, les jeux sont faits. Et si je dois en venir à délibérer, c'est simplement parce qu'il entre dans mon projet originel de me rendre compte des mobiles par la délibération plutôt que par telle ou telle autre forme de découverte (par la passion, par exemple, ou tout simplement par l'action, qui révèle l'ensemble organisé des mo...
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KANT
« Il arrive parfois sans doute qu'avec le plus scrupuleux examen de nous-mêmes nous ne trouvons absolument rien qui, en dehors du principe moral du devoir, ait pu être assez puissant pour nous pousser à telle ou telle bonne action et à tel grand sacrifice; mais de là on ne peut nullement conclure avec certitude que réellement ce ne soit point une secrète impulsion de l'amour-propre qui, sous le simple mirage de cette idée, ait été la vraie cause déterminante de la volonté; c'est que nous nous fl...
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LEIBNIZ: Libre(arbitre et indifférence
Etre indifférent, c'est n'être tenté ni par un côté ni par un autre, c'est risquer de mourir de faim et de soif, à l'image de l'âne de Buridan. Celui-ci meurt, en effet, parce qu'il n'a pas su si il fallait commencer par manger ou par boire. Autant dire que l'on ne saurait être réellement libre quand on est indifférent. D'ailleurs, c'est même impossible que d'être indifférent, la fable de l'âne de Buridan ne fait pas preuve et ne saurait représenter le paradigme de la détermination de notre volo...
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Arthur SCHOPENHAUER (1788-1860)
La satisfaction, le bonheur, comme l'appellent les hommes, n'est au propre et dans son essence rien que de négatif ; en elle, rien de positif. Il n'y a pas de satisfaction qui, d'elle-même et comme de son propre mouvement, vienne à nous ; il faut qu'elle soit la satisfaction d'un désir. Le désir, en effet, la privation, est la condition préliminaire de toute jouissance. Or, avec la satisfaction cesse le désir, et par conséquent la jouissance aussi. Donc la satisfaction, le contentement, ne saura...
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LES GRANDS COURANTS : LE MOYEN ÂGE, L’EPOQUE MODERNE ET L’EPOQUE CONTEMPORAINE
Grands Courants II UCAO-Licence II 2021-2022 Père Hippolyte YOMAFOU, scj. LES GRANDS COURANTS : LE MOYEN ÂGE, L’EPOQUE MODERNE ET L’EPOQUE CONTEMPORAINE AVANT-PROPOS Que la philosophie antique ait été conçue non seulement comme une théorie, mais comme un mode de vie, c'est ce que nous avons vu l’année dernière, avec l’unité grécoromaine. Vers le Ve siècle, cette unité gréco-romaine, ou méditerranéenne, est brisée en même temps que l’unité politique. Avec la destruction des grande...