Travail final le cannabis Une légalisation controversée
Publié le 05/12/2022
Extrait du document
«
Science humaine, Psychologie
Groupe 01
Une légalisation controversée
Une légalisation controversée
Depuis le 17 octobre 2018, le Canada est le deuxième pays au monde à légaliser
et à encadrer la vente d’une substance psychoactive : le cannabis.
Ce dernier est une
plante grandement utilisée tant au niveau médical que récréatif puisqu’elle est, en effet,
la deuxième substance la plus consommée après l’alcool au Canada.
La consommation
de cette drogue peut être faite sous plusieurs formes.
Elle est souvent inhalée ou
consommée.
Autrement dit, elle se trouve souvent sous forme de joint à fumer ou sous
forme comestible, que l’on appelle couramment les « edibles ».
Un mécanisme courant
associé à la consommation de substances telles que le cannabis est le circuit de
récompense.
La vidéo intitulée « Nugget » représente bien ce circuit en mettant de
l’avant un oiseau découvrant une substance et en devient vite dépendant.
Au début,
l’oiseau évite la substance jaune.
Puis, sa curiosité le pousse à l’ingérer.
Le volatile vit
de façon immédiate un sentiment d’euphorie.
Puis, durant le sketch, il est évident que
Nugget, l’oiseau, développe une dépendance à cette substance, car pour la même
quantité de cette substance jaune, il n’a plus des moments d’extase aussi forts et
lorsqu’il arrête de consommer, il arrive à peine à marcher.
Ce circuit est sain lorsqu’il est
jumelé avec une activité saine.
Cependant, lorsqu’il est question de drogues, par
exemple, puisque ces dernières sont beaucoup plus puissantes et affectent beaucoup
plus le cerveau d’un individu, le circuit n’est plus balancé.
Cette substance de plus en plus consommée est populaire pour ses propriétés
calmantes.
Beaucoup de d’adeptes tentent de retrouver un état de détente et
d’inhibition.
Ils cherchent une autre sorte de « high » que la substance amène.
Bien que
certains y retrouvent du calme, d’autres peuvent ressentir de l’anxiété, voire un
sentiment de panique.
Plusieurs effets à court terme atteignent les capacités
neurologiques
du
cerveau
d’un
concentration,
l’apprentissage,
la
individu.
Par
mémoire
exemple,
ainsi
que
la
le
cannabis
prise
de
affecte
décision
la
du
consommateur.
Bien que ces effets soient assez minimes, plusieurs recherches relèvent
des effets à long terme assez conséquentes.
En effet, cette substance peut mener à des
troubles d’anxiété, des troubles dépressifs et bien sûr, une dépendance.
Également, les
adeptes étant prédisposés aux maladies mentales sont plus à risque de développer un
trouble de schizophrénie ou même de psychose.
Bien que la consommation de cette
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substance ait beaucoup d’effets nocifs pour la santé, elle est aussi efficace pour plusieurs
individus qui l’utilisent de façon encadrée et pour soulager des problèmes de santé.
Depuis la légalisation, comme mentionné, se procurer cette substance est très
facile, également dû aux « dealer » sur les nombreux réseaux sociaux tels que
Snapchat.
En effet, beaucoup d’individus de 21 ans et plus achètent une grande quantité
de produits à base de cannabis et les revendent au grand public, et ce, sur leurs
plateformes en ligne.
Depuis plusieurs années, le cannabis ainsi que la nicotine ont été
grandement banalisés par les jeunes mineurs.
Il est maintenant facile de percevoir des
jeunes en milieux secondaire et collégial fumer et vapoter sur les heures de cours bien
qu’il y ait une interdiction de fumer.
Également, dans les contextes sociaux, il se fait
rare de ne pas y retrouver du cannabis puisque cette drogue permet de ressentir un
« high » sans pour autant avoir une gueule de bois le lendemain.
Au fil des années, il y a
pratiquement toujours des modes qui arrivent et repartent.
Le tabac a longtemps été à
la mode, et voilà qu’arrive le cannabis.
Aussi, au Québec, le cannabis a un des prix les
plus bas au Canada avec 7,64$/gramme alors qu’en Ontario, pour la même quantité, le
prix est de 10,64$.
Beaucoup de personnes savent que la consommation du cannabis n’est pas sans
effets, mais ce n’est pas tout le monde qui sait que certains sont beaucoup plus à risque
que d’autres.
Comme mentionné plus haut, un individu ayant des antécédents familiaux
de troubles mentaux est beaucoup plus à risque de développer ce même trouble.
Effectivement, puisque le cannabis joue directement avec le cerveau, cela peut
augmenter les risques.
Aussi, tout ce qui entoure la loi de l’effet peut être un facteur de
risque.
D’abord, la loi de l’effet touche l’individu.
Que ce soit son âge, son sexe, son
poids ou son état, ces variables jouent un grand rôle dans la consommation de cannabis
et des effets qui suivront.
Ensuite, le contexte peut mettre à risque l’individu.
Par
exemple, l’ambiance autour de lui affecte la consommation.
Puis, bien sûr, la substance
elle-même joue un grand rôle.
Par exemple.
Un individu qui consomme plusieurs
grammes de cannabis ou qui mélange le cannabis avec une autre substance.
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Bien que beaucoup de facteurs peuvent mettre à risque un individu, plusieurs
facteurs peuvent le protéger.
Par exemple, un individu ayant un entourage nonconsommateur et sans antécédents familiaux de troubles mentaux est un facteur de
protection puisque ce même individu n’est pas en contact constant avec la substance.
Ensuite, un enfant ayant une bonne confiance en lui est moins....
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