le role du jeu chez l'enfant
Publié le 04/11/2022
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Virginie Fichepain (K4814616)
KE5.0518
Question de cours
1-Ce que l’on observe au sujet de la propreté chez les parents au sujet de la propreté de
leurs enfants de nos jours est un plus grand laxisme.
En effet, de nos jours, nous sommes
plus sur laisser le temps aux enfants.
L’acquisition de la propreté est une phase où l'enfant
va se sentir lui et une personne différente de ses parents.
Ne pas mettre d’enjeu sur
l’acquisition de la propreté lui permettra d’évoluer à son rythme.
2- L'énurésie est le fait d’une miction incontrôlée alors que l’enfant a les capacités
neurologiques de contrôler son sphincter.
Deux types d'énurésie existent: la diurne
(journée), la nocturne (nuit).
L'énurésie nocturne touche environ 10% des enfants, principalement les garçons.
A
contrario, l'énurésie diurne concerne principalement les filles.
C’est un trouble de l’enfance
qui est indépendant de facteurs physiologiques, il serait plus psychologique.
3- 3 difficultés pouvant expliquer l'apparition d’un régression dans l’apprentissage de la
propreté :
- l’arrivée du petit frère/petite soeur
- changement de nounou
- problèmes des parents (séparation, changement de garde etc…)
4- Les étapes pour qu’un enfant apprenne à gérer ses émotions sont :
- reconnaître les indices relatif aux émotions c’est à dire le ton de la voix, les
expressions du visage
- réussir à exprimer son émotion
- reconnaître à quel situation est reliée l’émotion
- réussir à faire des liens entre les causes et les conséquences.
5- Si un enfant pique une grosse colère dans un magasin il y a plusieurs possibilités :
- Si il est possible de sortir du magasin, d'aller dans la voiture ou dans un endroit plus
calme à l’écart afin qu’il puisse évacuer ses émotions, je peux lui proposer de jeter
mes clés par terre si elles ne sont pas fragiles par exemple afin qu’il extériorise.
Cela lui permettra d’être plus au calme, d’être en sécurité, mais aussi de ne pas
sentir le regard des gens autour de lui et ne pas nuire à son estime de soi.
- Si je ne peux pas sortir du magasin, je vais le prendre dans mes bras en lui parlant
(si il l’accepte, dans le cas contraire rester toujours près de lui afin qu’il ne sente pas
seul face à ses émotions), très doucement et calmement, bien qu’il se peut qu’il ne
m’entende pas dans son débordement il se sentira ainsi accompagner dans la
gestion des émotion et non seul face à ce feu d’artifice à l’intérieur de son petit corps.
Je peux aussi essayer de lui changer les idées en chantant doucement ou essayer
de le faire rigoler.
Je peux aussi lui demander de m’aider dans mes achats si je suis
au supermarché par exemple, en lui demandant de quoi j’ai besoin, ou bien de
mettre les courses dans le caddie si cela n’est pas fragile.
Que je puisse sortir du magasin ou non l’important est d’agir dans la bienveillance et le
calme en accompagnant l’enfant dans son émotion.
Une fois sa colère passée, je pourrais revenir avec lui sur ce qu’il s’est passé, et comment il
aurait pu agir autrement.
C'est-à-dire, lorsqu’il a ressenti l’émotion qui a déclenché sa crise
un exercice de respiration par exemple.
Quand il sent l’émotion arriver, il essaye de penser à
un papillon qui ouvre et ferme ses ailes doucement et y relie sa respiration.
Je peux faire
l’exercice avec lui maintenant qu’il est calme.
Il est important de lui dire qu’il est normal de
ressentir de la colère, de la tristesse, de la frustration, ne pas banaliser ses émotions.
Elles
sont présentes , réelles et normales.
Je peux aussi le féliciter d’avoir arrêté sa crise avec
des mots et non avec un cadeau.
Travail de réflexion
Le jeu a un rôle très important dans le développement et dans l’épanouissement d’un enfant,
en effet avec le jeu l’enfant va imaginer, apprendre, se détendre, s’amuser.
L’attitude de Pierre, traduit très probablement un mal-être qu’il ne sait dire avec des mots,
aussi à travers cet exposé je commencerais par mettre en avant ce que le jeu apporte à un
enfant à chaque moment de sa vie.
Ensuite, j’étudierais les raisons pour lesquelles un
enfant peut refuser de jouer, ainsi que les risques.
Puis je proposerais quelques solutions à
apporter aux parents de Pierre.
Je finirai cet exposé par ma conclusion ou j’exposerai mon
avis en tant que professionnel.
Le jeu fait partie de la vie quotidienne d’un enfant.
Il lui permet de découvrir le monde à
travers lui.
Jouer lui permet de devenir autonome, d’apprendre, mais aussi de libérer ses
émotions, car son vocabulaire n'est pas encore assez élaboré pour cela.
De 0 à 1 ans, le bébé va s’éveiller au monde qui l’entoure, évoluer dans sa motricité.
Vers 3
mois il va commencer à attraper ses jouets et les découvrir avec sa bouche, puis vers 5
mois découvrir ses pieds en les attrapant et même les porter à sa bouche.
A partir d’1 an, le bébé commence à être autonome grâce à l’acquisition de la marche.
Vers 18-24 mois, l’enfant aura un meilleur contrôle de son corps, ce qui lui permettra de
pousser, tirer, faire du tricycle.
A cet âge, il va commencer les jeux d'imitation (jouer à la
cuisine, poupon par exemple).
A partir de 2 ans, il développe son langage mais aussi son imaginaire, un carton peut se
transformer en avion....
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