Hggsp: L’atlas de l’anthropocène (résumé et analyse)

« SOMMAIRE : • Présentation de l’ouvrage • Présentation des auteurs • Métamorphose des paysages terrestres • Le continent de plastique • Conclusion • Lien avec les thèmes étudier I/ Présentation de l’ouvrage L’atlas de l’anthropocène réunit l’ensemble des données sur la crise écologique de notre planète, écrit par François Gemene membre du GIEC, spécialiste en Géo.Politique de l’environnement.

Ainsi que Aleksandar Rankovic docteur en écologie et chercheur à l’IDDRI, enseignant tout deux à sciencesPo les presses. Les développements textuels sont accompagné des construction visuelle c’est à dire, carte et graphique sont élaborés pars l’Atelier de cartographie sciencesPo, par Thomas Ansart, Benoit Martin, Patrice Mitrano et Antoine Rio. L’Anthropocène décrite durant les 150 pages n’incite en aucun cas à l’optimisation.

Mais le temps presse et il s’agit de dresser un état des lieux permettant de prendre en compte la mesure de cette rupture entre la planète et l’humanité qui lui l’occupe et l’exploite.

En parallèle l’Atlas souligne les réflexion et les politiques engagés pour faire face au défis immense de notre époque.

Par ailleurs le chapitre 1 de l’atlas Notre époque / l’Anthropocène illustre parfaitement c’est deux approche puisqu’il inscrit la rupture dans le temps long car les transformations de la terre sous l’influence humaine sont anciennes et il souligne la prise de conscience récentes des bouleversement et de leurs accélérations au XX siècles. On y retrouve également l’émergence du concept de développement durable fin des années 80, c’est a dire davoir la capacité de répondre au besoins présents d’un individu sans compromettre la capacité de vie des générations futurs à subvenir a leurs besoins, qui relève de la prise de consciences mais encore d’une nécessité à lier développement et environnement. II/ Présentation des auteurs et des cartographes François Gemenne est un chercheur de FNRS à l’université de liège ou il dirige l’observatoire Hugo.

Également membre du GIEC, il est spécialiste des questions de géopolitique de l’environnement, qu’il enseigne à Science Po et à l’université libre de Bruxelles.

Il codirige l’observatoire sur le climat et la défense mis en place par le ministère des armées et il est le coauteur de l’Atlas des migrations environnementale. Aleksandar Rankovic est docteur en écologie et diplômé en affaires internationales.

Ses travaux portent sur le développement et la mise en œuvre des politiques internationales sur la biodiversité et le climat, et sur la mobilisations des sciences sur ces sujets.

En 2015, il a été chercheur invité au programme Science, technologie et société de la Harvard Kennedy School.

Il est chercheur à l’institut du développement durable et des relations internationales et enseigne lui aussi à sciences Po. Cartograpches : Thomas Ansart – Benoît Martin – Patrice Mitrano -Atoine Rio → Cartographes à l’ateliers de carthographies de SciencePo depuis 2010. III/ La métamorphose des paysages terrestres Dans le chapitre « biodiversité » pages 66, nous allons nous intéressé a l’anthropisation que connais le monde depuis 1700. On observe en 1700 beaucoup de zones semi naturelle ou encore des terres sauvages, il y a seulement en Europe et en inde que l’on peut observer des zones urbaines ou densément peuplées comme des villages ou prairie /pâturages.

On nous explique que en l’espace de 300 ans nous sommes passer de 95 % de terres libre à seulement 45 % en 2000.

On remarque alors un forte influence de l’humain et de ces pratique.

Le moteur principale de ce développement est l’usage massif de l’élevage , les surfaces des pâturages se multiplie par six entre.... »