Burkina Faso; histoire de l'indépendance à aujourd'hui

« Burkina Faso Après être devenue une République au sein de la Communauté française, en 1958, la Haute-Volta accède à l'indépendance en 1960. intro : - Le 4 septembre 1947, la Haute-Volta est reconstituée dans ses limites de 1932.

Le 11 décembre 1958, elle devient la république de Haute-Volta, une république membre de la Communauté française, et elle accède à l'indépendance le 5 août 1960.

Le nom Burkina Faso est adopté le 4 août 1984. La vie politique est dominée par le président Maurice Yaméogo et l'Union démocratique voltaïque, le parti unique, jusqu'à ce que la contestation n'entraîne un coup d'État, en 1966 A partir de 1987-2014 Porté au pouvoir par un coup d'État, en 1983, le capitaine Thomas Sankara exprime la volonté de réformer le pays dont il fait changer le nom de Son assassinat, en 1987, est suivi par l'accession au pouvoir de Blaise CompaoréHauteVolta à Burkina Faso - - - Le capitaine Blaise Compaoré prend le pouvoir lors d'un coup deta le 15 octobre 1987.

Au cours de ces événements, il aurait fait assassiner son prédécesseur Thomas Sankara.

La période suivante , le coup d'État est baptisée « Rectification » par Blaise Compaoré. Une nouvelle constitution est adoptée par référendum et le 1er décembre 1991, Blaise Compaoré est élu président de la République (taux d'abstention : 74 %).

Il est réélu en 1998, 2005 et en 2010. l'adoption d'une Constitution.

Elle pave la voie à des élections multipartites, mais leur légitimité est remise en cause par les opposants au régime qui qualifient celui-ci d’autoritaire. À la suite des émeutes et plusieurs conflits qui se passe après 2011 Blaise Compaoré quitte le pouvoir Un virage vers le libéralisme économique est également amorcé au cours de la décennie, avec l'espoir d'insuffler une nouvelle vigueur à un des pays les plus pauvres du continent africain.

Un mouvement de contestation amène le départ de Comparé en 2014, après 27 années de pouvoir. Depuis 2014 - - - Le chef d'état-major des armées Honoré Traoré annonce le 31 octobre la création d'un « organe de transition », chargé des pouvoirs exécutif et législatif, dont l'objectif est un retour à l'ordre constitutionnel « dans un délai de douze mois » Le 1er novembre 2014 L'armée publie un communiqué qui affirme son soutien à Isaac Zida comme président de transition mais par contre le 17 novembre 2014 c'est le diplomate Michel Kafando qui est nommé.... »