Vaut-il mieux savoir ou rester ignorant ?

« DM de philo Dans un roman de Daniel Keyes : Des fleurs pour Algernon , le personnage principal Charles Gordon est l’objet d’une expérience scientifique qui vise à décupler son intelligence mais alors que son intelligence augmente ils commencent à prendre compte de tout ce qu’il avait ignoré jusqu'à alors. a) La problématique qui est donc soulevée suite à ce texte est: Quelle existence est la plus souhaitable entre celle de Charlie avant l'opération vivant la réalité qui l’entoure, ou celle après son opération. Mais commençons par définir cette problématique, elle nous parle d’existence synonime des traces de notre vie, le contraire de l'oubli nous existons.

Cette idée de souhait ressort ensuite, un mot souvent utilisé dans les lettres au père noël il parle d’un désir profond une envie durable.

L'ignorance est aussi a relevé en effet le fait de ne pas savoir, de ne pas être courant est un mot central de cette question et enfin la réalité synonyme de la vérité symbolique du vrai qui le restera a jamais. John Stuart Mill a émis un avis sur la question dans son livre L’utilitarisme dans laquelle ils défend la thèse que l’humain ne peut se rabaisser à l'ignorance nous comparant à des animaux, il est contre l'idée d’un bonheur dans l’ignorance et est pour le besoin de savoir. Afin de répondre au mieux à la problématique nous allons donc étudier les deux côtés de la question celui que nous pourrions trouver le bonheur dans l’ignorance de la réalité et dans un deuxième temps étudier le bonheur dans le savoir. Tout d’abord le bonheur se trouve t’il dans l’ignorance, nous vivons dans un monde où nous préférons souvent nous mêler de nos oignons que de s’impliquer dans le monde qui nous entoure pour de nombreuses raisons. Mais alors quels sont les avantages de vivre dans l’ignorance, nous vivons dans une société ou nous pouvons très facilement ignorer une réalité qui nous déplait et qui pourrait nuire à notre bonheur.

En effet apprendre des mauvaises nouvelles n’est jamais très satisfaisant et ne correspond pas vraiment à la définition du bonheur soit un état de satisfaction intense et durable. Par exemple dans le cas de Charlie, le fait d’ignorer que ces collègues n'étaient en effet pas ses amis était préférable car il pouvait vivre dans un monde même illusionnaire dans un monde de bonheur. Par contre, vivant dans l'ignorance comment pouvons nous garantir la durabilité du bonheur. Car nous avons définis le bonheur comme un état de satisfaction durable et intense mais vivant dans l’ignorance la vérité peut refaire surface à tout moment.

Il est dit que pour être un bon menteur il fallait avoir le double d’une mémoire normale car il faut retenir la vérité du mensonge et le mensonge lui-même.

Or je doute que beaucoup de personnes dispose d’une mémoire satisfaisante pour être un bon menteur ce qui nous permet d’arriver à la conclusion que la vérité peu importe ce qu’elle est finira toujours par être révélée. L'ignorance permettrait donc de vivre dans un bonheur non durable ce qui ne serait donc pas le bonheur mais alors est ce que vivre dans la connaissance serait mieux. L’inverse de l’ignorance et donc la connaissance, dans cette deuxième parti étudirons si le fait de connaître la réalité permettrait de vivre dans le bonheur; Tout d’abord affronter la vérité n’est pas sans douleur nous le savons tous, le fait de s'échapper ou se cacher et toujours plus simple que d' affronter la réalité d'où l'expression “la dure réalité de la vie” mais comme disait Jean-Jacques-Rousseau “il n’y a point de bonheur sans courage”. Donc si nous connaissons la réalité nous allons souffrir ce qui ne correspond pas à la définition du bonheur (je ne la récite pas, vous commencez à la connaître ). DM de philo Si vous avez besoin d'exemple, nous pouvons notamment parler de quelque chose que nous avons tous probablement vécu: la rupture amoureuse.

La réalité de la raison de cette rupture peut souvent être douloureuse: je t’aime plus, je t’ai trompé, j’en aime un autre, tu était “un bouch-trou”.

Cette réalité peut souvent être douloureuse on pourrait donc conclure que le bonheur ne se.... »