Sciences et opinions
Publié le 20/05/2022
Extrait du document
«
Cours du 27/09
Philosophie
C) Le relativisme
On ne doit pas confondre ce terme avec la relativité scientifique.
Le relativisme est une attitude
intellectuelle qui a était promu par un sophiste appelé Protagoras dans l’Antiquité .
Cette attitude a
encore beaucoup de succès aujourd’hui.
Il nous dit: toutes les opinions comme tout les points de
vues sont d’égale valeur a cette nuance près qui peuvent être plus ou moins persuasif.
Autrement
dit, chacun subjectivement peut prétendre avoir raison c’est-à-dire détenir une part de vérité.
Si il y
a une confrontation entre un dogmatique et un septique et bien le relativiste les renvoi chacun dos à
dos
Mais derrière ces aires de tolérance et d’apologie de peut être une menace pour la démocratie parce
que le relativisme est obligé d’accepter et de reconnaître les idées qui sont contre la démocratie ce
qui à était vérifier dans l’histoire par exemple l’empereur Napoléon à était plébiscité tout comme le
fait que Hitler à était élu démocratiquement.Finalement, seul le scepticisme est une attitude
recevable en philosophie alors que les deux autres peuvent rendre veine c’est-à-dire prétentieuse et
inutile la recherche de la vérité.
III- Les soi disant «critères de vérité» de l’opinion.
Ici nous allons particulièrement nous intéresser au méthode qu’emploi l’opinion pour établir la
vérité.
a) L’argument d’autorité
Si chaque opinion se comprend, s’exprime et s’approuve à titre personnelle un examen attentif de
ses sources nous permet de dire qu’elle nous viennent de l’extérieur, et ceci depuis notre enfance.
L’argument d’autorité consiste a tenir pour vrai la parole d’une autre personne qui est supposé au
savoir, par exemple celle des parents, d’un religieux charismatique, d’un politique influent, d’un
professeur, d’un scientifique reconnu…
La logique de méthode: «C’est vrai parce qu’il l’a dit...»
Par exemple, Spinoza un grand philosophe hollandais avait une correspondance avec un étudiant
appeler Boxel qui voulais le convaincre de l’existence des fantômes et des spectres, il dit: «Une
chose est certaine les anciens y ont cru» Spinoza lui répondit le désir qu’éprouve les Hommes a
raconter les choses non telles qu’elle sont mais telle qu’ils voudrais qu’elle soient est
particulièrement reconnaissable dans les récits des fantômes et des spectres
Autrement dit,l’argument d’autorité est complètement inefficace pour tenter de convaincre le
philosophe qui par contre en réponse souligne que fondamentalement l’autorité dans tout les cas
repose sur le désir de croire c’est-à-dire une certaine crédulité.
Mais il y a plus grave c’est lorsque
l’opinion se transforme en conviction.
Une distinction conceptuelle est une conviction personnelle,
elle est différente que la conviction rationnelle qui d’ailleurs est potentiellement universelle.
Hegel: «dans le système de l’opinion et du préjugé, s’attacher a l’autorité des autres ou à sa
conviction propre diffère par la vanité inhérente à la seconde manière.» Pour Hegel, l’opinion est le
préjugé sont à mettre sur le même plan et n’ont pas de véritable différence de nature.
Par contre, audelà de l’argument de l’autorité la conviction propre est d’autant plus inutile et prétentieuse que le
premier argument, parce que la conviction propre est une certitude dogmatique que nous pensons
personnelle précisément car nous avons oublier ses sources et son origine.
La conviction propre est
d’autant plus redoutable que lorsqu’elle est réfuter ou seulement contrarié, elle est radicalement
susceptible.
De nombreuses idéologie politiques reposent sur des convictions propres.
Il en va de
même pour certains dogmes religieux.
Par contre, la conviction rationnelle qui peut avoir une valeur
universelle correspond à notre degrés de capacité intellectuelle de comprendre certaine
connaissance théorique.
Par exemple, à partir du moment où nous avons compris le calcul décimal,
nous avons tous la conviction rationnelle que 1+1=2..
»
↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓
Liens utiles
- Grand Oral Sciences de l'Ingénieur
- l'âge de L 'ENCYCLOPÉDIE :Buffon et les sciences de la nature
- Toutes les opinions sont-elles recevables ?
- Comte: La classification des sciences
- ARISTOTE: «Comme la politique utilise les autres sciences pratiques, qu'elle légifère sur ce qu'il faut faire et éviter, la fin qu'elle poursuit peut embrasser la fin des autres sciences, au point d'être le bien suprême de l'homme.»