Question d’interprétation philosophique Problématique : D’après Durkheim, quelles-sont les vertus de la discipline au sein de l’éducation des enfants ?

« Question d’interprétation philosophique Problématique : D’après Durkheim, quelles-sont les vertus de la discipline au sein de l’éducation des enfants ? Au cours des années, le processus mis en œuvre afin de porter la meilleure éducation a ses enfant, assurant leur bon développement, a beaucoup évolué.

En effet, la discipline, un ensemble de lois et règles, a été jugée comme traumatisante, elle a donc été régulée.

Un relâchement progressif des écrous que la discipline installait a eu lieu.

Par ailleurs, la discipline est nécessaire au bon développement de l’enfant et possède de nombreuses vertus : d’où le fait qu'elle n'ai jamais disparu.

Par son texte L’éducation morale, Durkheim, ancien fondateur de la sociologie, nous éclaire sur les vertus de la discipline.

On se demandera donc, D’après Durkheim, quelles-sont les vertus de la discipline au sein de l’éducation des enfants ? Afin de répondre a cette problématique, nous établirons trois parties distinctes : dans une première partie, nous nous intéresserons au fait qu'elle nous apprenne à maîtriser nos affects, dans une seconde partie, nous développerons le fait qu'elle nous apprenne a agir avec effort et volonté.

La troisième et dernière partie nous montrera la contribu° de la D dans la format° du caractère et de la personnalité . La D nous apprend a maîtriser nos affects.

En effet, nos affects nous sont néfastes, ce sont des instinct, des tendance, des désirs intenses, qui sont spontanés et passagers.

Ceux-ci nous rendent passifs et nous font papillonner.

Si nous vivons en fonction d'eux, nous irons dans tout les sens sans aller nul part.

En outre, le principe même de la D est de réguler cette dimension de notre existence avec pour but de pouvoir guider celle-ci, non pas par nos affects, passions, mais par notre raison.

C'est pourquoi, dans son texte, Durkheim met l'accent sur l'importance de la discipline pour apprendre a maîtriser ses affects. L'auteur compare les affects a des impulsion intérieures papillonnantes « nous apprend à agir autrement que sous la poussée d'impulsions intérieures » l.15 « perpétuelles sautes de vent, de brusques à-coup (…) en la dispersant à tout les vents du caprice » l.10 que la maîtrise de soi réussit a réguler.

Ainsi, l'auteur porte une forte attention a l'importance du contrôle sur soi en faisant apparaître a de nombreuses reprises des mots du champ lexical de la maîtrise : « maîtriser »l.4, « faculté d’arrêt »l.4, « inhibition »l.4, « contenir »l.5, « leur faire la loi »l.5, « contraignions »l.17, « fassions taire »l.17, et « modérions »l.18. En nous apprenant à maîtriser nos affects, la discipline nous met face a la restriction et a la frustration.

Cette action, nous faisant aller a l'encontre de nos désirs, nous demande de l'effort et de la volonté. La D nous apprend a agir avec effort et volonté.

En effet, le fait de contraindre nos affects demande un grand effort et de la volonté. L'humain a tendance à vouloir céder a ses affects, mais, comme nous l'avons évoqué dans la partie prétendante : ceci lui est néfaste.

Il va donc devoir aller contre son gré, fournir des efforts, et avoir de la volonté, afin de réguler ses instinct, ses tendance, et ses désirs.

C'est pourquoi, dans son texte, Durkheim met l'accent sur l'importance de la discipline pour apprendre a agir avec effort et volonté .

En effet, l'auteur le dit lui même, « elle nous apprend à agir avec effort »l.16 « à l'école du devoir que se forme la volonté » l.22.

Et, a l'aide d'un rythme ternaire, « qui n'implique pas que nous contraignions quelque penchant, que nous fassions taire quelque appétits, que nous.... »