Platon, L'apologie de Socrate, paragraphe XXa
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La mort est-elle le pire des maux. Où il y a-t-il des choses qui valent que l’on risque sa vie pour elles. La thèse de Socrate c’est que la mort n’est pas le pire des maux et que l’on ne doit pas la craindre. Explication : affirmation catégorique, refus de l’ignorance de la mort pour tout le monde. Elle n’est pas justifié mais est évidente. La suite formule une superposition étonnante et si la mort était la meilleure des choses. Cette superposition est d’abord purement logique car ne sachant rien sur la mort, on ne peut rien prouver contre cette hypothèse. Socrate mentionne cette hypothèse pour prendre le contrepied de la croyance habituelle faisant de la mort un mal. On peut penser qu’il y a un sous-entendu religieux avec l’affirmation d’une vie après la mort dans l’au-delà. Le débat devient alors c’est après mort est elle heureuse ou malheureuse car il n’y a pas de jugement dernier dans le polythéisme. Mais on est pas obligé d’adopter le point de vue de l’époque car on peut toujours se demander philosophiquement si la vie vaux mieux avec ou sans la mort.
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Introduction
Pour comprendre ce texte, il fallait être attentif au paragraphe 19 où Socrate met une objection populaire : a-t-il eu raison de se livrer à des actes qui était
visiblement risqué ? N'était-il pas plus sage de craindre la mort et de s'abstenir.
Socrate a répondu au contraire que la mort ne doit jamais être pris en
considération quand il faut choisir entre le bien et le mal : dans notre texte il va essayer de montrer que craindre la mort n'a jamais sage.
Plan
Partie un : phrase un jusqu'à les plus grand bien
Titre Ignorance générale sur la mort
Partie deux : phase un fin et phrase deux
C rainte générale de la mort, incompatible avec l'incompatible avec l'ignorance
Partie trois : phrase trois
Exception de Socrate concernant sa lucidité sur la mort
Partie Q uatre : phrase quatre
A ffirmation du savoir sur l'injustice
Partie C inq : P hrase C inq
C onclusion du raisonnement
Plan plus simple en 3 parties
Partie 1 phrase 1 et 2
Partie 2 phrase 3
Partie 3 phrase 4 et 5
Explication
Partie 1
La mort est-elle le pire des maux.
Où il y a-t-il des choses qui valent que l'on risque sa vie pour elles.
La thèse de Socrate c'est que la mort n'est pas le pire
des maux et que l'on ne doit pas la craindre.
Explication : affirmation catégorique, refus de l'ignorance de la mort pour tout le monde.
Elle n'est pas justifié mais est évidente.
La suite formule une
superposition étonnante et si la mort était la meilleure des choses.
C ette superposition est d'abord purement logique car ne sachant rien sur la mort, on ne peut rien prouver contre cette hypothèse.
Socrate mentionne cette hypothèse pour prendre le contrepied de la croyance habituelle faisant de la mort un mal.
On peut penser qu'il y a un sous-entendu
religieux avec l'affirmation d'une vie après la mort dans l'au-delà.
Le débat devient alors c'est après mort est elle heureuse ou malheureuse car il n'y a pas
de jugement dernier dans le polythéisme.
Mais on est pas obligé d'adopter le point de vue de l'époque car on peut toujours se demander philosophiquement
si la vie vaux mieux avec ou sans la mort
Partie deux
Socrate exprime le paradoxe de la mort, c'est pour tout le monde la plus grande des peurs cela signifie que pour les gens la mort est la pire des choses.
Mais pour qualifier la mort, il faut la connaître, ce qui est impossible.
Donc on ne devrait pas avoir peur de ce que l'on ignore : sur la mort on s'est juste
qu'elle existe mais on ne sait rien de ce qu'elle est.
A lors Socrate interprète ce paradoxe par une question rhétorique : Les hommes ont tendance à dire plus de ce qu'il en savent, ils ne savent pas reconnaitre
ses limites de leur savoir et on peut penser que c'est à cause de leur imagination (par exemple sur les mythes religieux, sur les enfers)
Partie trois
Socrate s'affirme comme distingué mais dans un style modeste car son savoir et à peine supérieur à celui des autres.
De ce savoir et à savoir de
conscience de ses limites : lorsque Socrate ne sait pas il assume son ignorance.
C e qui débouche sur un résultat positif : se poser des questions, à des
résultats bénéfiques et nous facilite la vie.
Partie Quatre
La partie quatre fait contraste avec la trois.
Puisqu'il est question de savoir Socrate n'est donc pas totalement ignorant puisqu'il connaît le sentiment de
justice et de l'injustice.
C e sentiment est bel et bien expérimental et vérifiable dans la vie humaine.
Socrate donne un exemple désobéir à meilleur que soit, dieu aux hommes.
C e
qui montre la nécessité d'une hiérarchie dans la lignée humaine.
Hiérarchie politique en société, et religieuses en religion.
D'où la partie numéro cinq ou
Socrate assume son avenir et son ignorance.
Partie cinq
Socrate établi une balance des mots d'un côté il n'y pas redouter la mort de l'autre, il a redouté de connaître la injustice.
En l'occurrence en refusant de
poursuivre son enquête philosophique donc il conclut qu'il ne renoncera pas à la philosophie sous prétexte que cela mis en danger sa vie.
C ommentaire
L'idée que ignorer la mort empêche de la craindre parait logique et pourtant tout le monde craint la mort à partir du moment où on y pense vraiment, que cet
événement est souvent associée à la souffrance.
Ensuite le phénomène de la mort est irréversible et nous sépare des joies de cette vie et surtout ceux de
nos proches.
Elle procure à nos proches une douleur.
Enfin l'inconnu suscite un minimum de méfiance, on souffre de ce que l'on ignore pas ce qu'on ne peut en mesurer la gravité éventuelle et que l'on fait
fonctionner son imagination sans limites.
Mais secteur de l'inconnu et contrôlable, elle a quelque chose de maladif.
Si on laisse fonctionner sont imagination
alors on aura un peu de tout sans cesse et l'on ne fera plus rien.
L'argument de Socrate et donc de contrôler son imagination puisque le pire n'est pas sûr et
de faire face à ce qui est certain.
M ieux vaut s'appuyer sur le certains qui nous donnent des raisons de vivre pour lequel il vaut la peine de mourir et
éventuellement.
Le monde n'est pas désirable mais on peut pas fondé sa vie sur elle.
Mais on peut à nouveau s'interroger sur des raisons de vivre qui conduisent directement à la mort.
Il y a des principes suffisamment valable pour affronter la
mort en leur nom et que l'on se sacrifie.
La vie n'est pas la valeur la plus précise que l'on doit défendre..
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