Marcuse (Herbert)
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Sujet : Commentaire de texte : Descartes.
Analyse.
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Le sujet qui nous est proposé ici nous permet (enfin !) de répondre à la
question de l’utilité de la philosophie.
En effet, tout humour mis de coté,
Descartes entame ici un discours construit sur l’utilité de faire de la philosophie
et d’être philosophe.
·
Ce discours s’articule sous une problématique qui, aujourd’hui encore, est
actuelle : A quoi peut bien servir la philosophie ? Qu’est ce que cela produit
réellement, à part de la pensée ?
·
Pour aller plus avant dans notre questionnement, cherchons à savoir quelles
définitions sont, en général, donnés à la philosophie.
o
La philosophie est, étymologiquement, l’amour de la sagesse.
Elle traduit un
savoir désiré, mais pas nécessairement possédé.
La philosophie est un
questionnement sans cesses renouvelé, une recherche du savoir.
A proprement
parler, on ne peut réellement définir la philosophie, sans commencer alors à
philosopher.
·
On voit, par cette tentative de définition, que la philosophie est un concept
de pensée assez ardue.
Ce que nous en retiendrons est l’image de solitude et
d’éloignement du monde que le philosophe nous renvoie bien souvent.
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Et c’est justement là qu’intervient Descartes.
Dans sa définition de la philosophie, Descartes postule que
chaque homme soit philosophe.
Qu’il le soit en acte.
Mieux encore, que la philosophie est le seul acte qui vaille
finalement la peine que l’on vive.
·
Aussi, devrons comprendre les causes de cette définition de la philosophie par le philosophe.
Pourquoi
semble-t-il être obligé de défendre ce qu’il est ? Quel choix fait-il pour dire ce qu’est la philosophie ? Nous
devons nous poser ces questions face à ce texte si virulent pour poser la philosophie comme essentielle à
l’homme.
Problématisation.
La philosophie, A quoi ca sert ? Voilà une question qui reste, aujourd’hui encore d’actualité.
Nous avons avec nous un
texte de Descartes qui nous permet justement de répondre à cette question : quelle utilité y a-t-il à philosopher ? Pour
un état, face aux autres contrées, les philosophes servent-ils à quelque chose ? De plus, s’il existe des philosophes, à
quoi cela peut-il servir, pour les autres, de philosopher ? Finalement, que fait, pour nous, la philosophie ?.
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