L'homme est-il un animal social

« L’homme est un animal social Introduction : quels sont les problèmes ? Parle-on de l’homme en tant qu’individu ? en tant qu’espèce humaine ? Le sujet renvoi au fait que l’homme un animal = son animalité étant ce qu’il y a de naturel en lui.

De ce fait, l’homme est-il social ou naturel ? On parle ici d’animal social : l’homme est-il social par nature ou non ? L’homme se socialise-t-il par nature ou en s’opposant à sa nature/ à ce qu’il y a de naturel en lui.

Doit-il s’opposer à cette nature ou bien la suivre ? Se socialiset-il en se déshumanisant ou bien se socialise-t-il en se dénaturalisant ? Problème : l’enjeu est le rapport entre société et nature : doit-on les opposer ou penser la possibilité d’une articulation positive ou non ? Plan : - Première partie hobbesienne : l’homme n’est pas un animal social - Seconde partie Aristotélicienne : l’homme est un animal social L’homme n’est pas un animal social Le citoyen, HobbesLes sociétés ne sont pas naturelles = sont artificielles.

Ces artifices sont produits pas les hommes, elles ne sont pas spontanées.

Selon Hobbes, le Citoyen, les sociétés humaines sont des sociétés civiles : elles sont gérées par des lois décidées par les hommes dont ils sont contenus de respecter §1 : expliquer en quoi consiste les sociétés humaines : elles sont plus que des combats d’animaux puisqu’elles sont conventionnées.

Les hommes ont la capacité morale de respecter ces règles. §2 : qu’est-ce que ces sociétés exigent des hommes d’autre que leur spontanéité naturelle ? La fidélité promise et la discipline/ l’éducation/ la formation.

Pour que l’homme devienne apte à la vie sociale, il faut qu’il s’y forme et de ce fait qu’il se déshumanise.

Les hommes ont la capacité de s’élever au-delà de leur condition animale par l’éducation. L’homme se transforme en profondeur pour devenir social, ce qui est contraire à a nature §3 : thématisation du sujet : Selon Hobbes, il y a une opposition entre nature et société.

Il ne nie pas qu’il y ait un besoin naturel de société mais il ajoute que la nature ne dispose pas l’homme en société : de ce fait, il n’est pas naturellement social.

La société ne peut exister pour répondre aux besoins naturels de l’homme qu’en s’opposant aux besoins. »