Les philosophes du 18eme siècle : empirisme, Lumières et kantisme.

« Étudier Spinoza à coté car le prof n'a pas fini de bosser dessus il l'a dit lui-même.

On peut comparer les philosophes entre eux sur la béatitude par exemple. IV.

Les philosophes du 18eme siècle : empirisme, Lumières et kantisme. On assiste à une inflexion doctrinale : la raison n'est plus considérée dans sa souveraineté, comme principe permettant une connaissance absolue, mais elle est considérée dans ses opérations, elle est constamment rapportée au sujet.

Le rôle d'unité des théories , ce n'est plus le monde , l'objet dans sa totalité, mais les sujets dans leur diversité.

C'est l'initiative rationnelle, la raison dans son déploiement qui est valorisée.

L'ordre n'est plus considéré comme donné, il est à construire.

Le projet moderne d'amélioration de notre condition par usage de notre réflexion rationnelle se trouve amendé : il est diversifié ( à travers le déploiement des sciences et des méthodes) Principes mathématiques de philosophie naturelle (1687) : à partir d'une observation des faits pour en inférer ( sans soute en induire) des lois.

Le 18eme va trouver sa philosophie dans l'Essay concerning understanding (1690)de Locke. → pluralité des méthodes/ pluralité des connaissances. Pluralisation de la raison : diversification des sciences, empirisme, disposition critique. Critique : remise en cause ; comparaison des positions → mises en tensions. On parle français en Europe au 18ème et on parle Locke en philosophie. Empirisme : doctrine qui affirme que toutes les connaissances viennent de la perception → empiri : fait que l'expérience s'impose, expérience en tant qu'elle s'impose clairement. Le conflit est pour les idées et l'universel.

Les empiristes disent qu'il n' y a pas de création idéelle → pas de monde suprasensible/ les idées ne produisent pas par elles-mêmes.

Soit Dieu n'existe pas soit il passe par le corps.

Les Idées viennent du corps, y compris celle de Dieu.

TOUTES sont le produits des sensations. Le conceptualisme dit que les principes viennent de la réalité ?? L'infini est donc égal à l'indéfini du point de vue empiriste = le prolongement perpétuel. Le nominalisme est une forme radicale de l'empirisme. Empirisme : toutes les connaissances viennent de l'expérience, c'est-à-dire des sensations. Ou bien je trouve dans mon savoir les règles d'une correspondance avec le monde extérieur, auquel cas j'aurai un savoir empirique et fondé, mais limité dans sa portée, ou bien l'empirisme doit recourir, pour témoigner de sa correspondance avec le monde extérieur, à une construction théorique, auquel cas il accède à la généralisation mais risque de se contredire. L'origine de l'empirisme Aristote → perception des communs.

Il est le lointain ancêtre de l'empirisme qui n'existaient pas encore à l'époque. 1°) La théorie de la connaissance empiriste. »