Les limites de la conscience

« Il est bien vrai que la conscience dote des pouvoirs aux humains.

En effet les humains, grâce à leur conscience, acquièrent la notion de responsabilité avec le libre arbitre, de jugement avec leur conscience morale.

Et en fin la transparence et la souveraineté intérieure, transmises toujours par la conscience. Mais cette même conscience à aussi ses limites.

Et les capacités de celle-ci, elles, sont aussi à nuancer. LA CONSCIENCE NE DÉLIVRE PAS TOUJOURS UN SAVOIR AUTHENTIQUE. La conscience n’est pas toute à fait véridique. On pourrait se poser les questions suivantes : Suis-je réellement ce que je pense être? Suis-je réellement ce que je laisse paraitre? De plus plusieurs erreurs, tel que l’utilisation des sens comme nous dit Descartes, peuvent tromper notre conscience.

Et donc atténuer sa véracité. La conscience ne permet pas aux êtres humains de se connaitre. En effet selon les philosophes Nietzsche et Schopenhauer l’introspection de/sur soi, et donc de sa conscience, ne permet pas de se connaitre véritablement. L’Humain n’est pas conscient de ce qu’il fait. En effet Spinozas et Freud, à l’aide des actions et pensées qui hantent subitement les humains, avancent qu’un moment où un autre nous n’arrivons pas à contrôler nos pensées.

Nous ne serons donc pas toujours à l’origine de ce qu’il se passe en nous. Nous ne sommes pas entièrement souverains de nous même. La transparence remise en question. La conscience ne serait pas ici transparente mais influencée par la société, s’effectuerait en nous l’effet du déterminisme social.

Donc la conscience ne peut pas être transparente puisqu’elle est en partie un produit de la société.

C’est une pensée que Karl Marx et Emile Durkheim partage également. .L’INCONSCIENCE. En effet le point majeur qui détourne la suprématie de la conscience est l’inconscience. Partie (ça) de nous qui influencerait la conscience (moi) en plus de l’éducation de l’individu (sur moi), l’empêchant ainsi de régner, nous dit Freud.. »