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Le désir est-il l'expression de la faiblesse de l'homme ou de sa puissance ?

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          Nous passons toute notre vie à désirer, le sens de notre existence semble dépendre exclusivement de l'accomplissement de nos désirs. Mais ce désir est-il l'expression de la faiblesse de l'homme ou de sa puissance ? Nous allons nous interroger sur cette question. L'origine étymologique du mot désir vient des verbes latins « considerare » et  « desiderare » ces deux verbes appartient au langage des augures, des présages inspirés par l'observation du ciel et des ses étoiles « sidus »;« Considerare » c'est contempler un astre, alors que « desiderare » c'est regretter son absence. Ce qui donna « desiderium », le regret d'un astre disparu ; la nostalgie d'une étoile. Le désir est donc ambigu. Il est à la fois d'un côté, le cruel constat d'une absence, d'un manque, d'une privation et de l'autre, le pressentiment et le voeu d'un bien susceptible de nous combler. Par exemple lorsque que nous désirons avoir une ``bonne note'' à un devoir. Notre désir est un voeu insatisfait, le voeu d'avoir cette bonne note. Celui-ci nous motive à travailler vers ce but. Car on pense qu'il nous apportera satisfaction. Mais il nous emprisonne dans une situation où la ``bonne note'' est un but et non une fin en soi. Le désir est donc l'évocation d'un manque mais non nécessaire, le désir est alors contingent, il ne peut ne pas être. L'expression du désir est donc sa manifestation à travers l'homme ici étant vu comme sujet à part entière. De par ses actes, ses pensées, ses sentiments... tous ceux-ci étant employés afin d'exprimer le désir lui-même. Cette expression du désir par exemple celui de la gourmandise par exemple lorsque que l'on désir une glace. Ce désir peut être traduit sous différentes formes, tout abord mentale  nous allons nous représenter cette glace. Par exemple une glace goût chocolat-vanille avec un supplément chantilly. Ensuite notre désir va exprimer sous une forme physique en déclenchant nos glandes salivaires, nous indiquant ainsi que le désir se fait plus pressant. Toutes ces actions qu'elles soient mentales ou physiques sont l'expression de notre désir.

« Le désir est-il l'expression de la faiblesse de l'homme ou de sa puissance ? Nous passons toute notre vie à désirer, le sens de notre existence semble dépendre exclusivement de l'accomplissement de nos désirs.

Mais ce désir est-il l'expression de la faiblesse de l'homme ou de sa puissance ? Nous allons nous interroger sur cette question.

L'origine étymologique du mot désir vient des verbes latins « considerare » et « desiderare » ces deux verbes appartient au langage des augures, des présages inspirés par l'observation du ciel et des ses étoiles « sidus »;« Considerare » c'est contempler un astre, alors que « desiderare » c'est regretter son absence.

Ce qui donna « desiderium », le regret d'un astre disparu ; la nostalgie d'une étoile.

Le désir est donc ambigu.

Il est à la fois d'un côté, le cruel constat d'une absence, d'un manque, d'une privation et de l'autre, le pressentiment et le vœu d'un bien susceptible de nous combler.

Par exemple lorsque que nous désirons avoir une ‘‘bonne note'' à un devoir.

Notre désir est un vœu insatisfait, le vœu d'avoir cette bonne note.

Celui-ci nous motive à travailler vers ce but.

Car on pense qu'il nous apportera satisfaction.

Mais il nous emprisonne dans une situation où la ‘‘bonne note'' est un but et non une fin en soi.

Le désir est donc l'évocation d'un manque mais non nécessaire, le désir est alors contingent, il ne peut ne pas être.

L'expression du désir est donc sa manifestation à travers l'homme ici étant vu comme sujet à part entière.

De par ses actes, ses pensées, ses sentiments… tous ceux-ci étant employés afin d'exprimer le désir lui-même.

Cette expression du désir par exemple celui de la gourmandise par exemple lorsque que l'on désir une glace.

Ce désir peut être traduit sous différentes formes, tout abord mentale nous allons nous représenter cette glace.

Par exemple une glace goût chocolat-vanille avec un supplément chantilly.

Ensuite notre désir va exprimer sous une forme physique en déclenchant nos glandes salivaires, nous indiquant ainsi que le désir se fait plus pressant.

Toutes ces actions qu'elles soient mentales ou physiques sont l'expression de notre désir. Cette expression du désir est-elle la faiblesse de l'homme ou sa puissance ? La faiblesse définie-t-elle un caractère de l'homme ayant des insuffisances quelconques le rendant faible d'un point de vue purement physiquement ? Tel un bâtiment qui montrerait des signes faiblesses.

C'est à dire, l'homme est-il physiquement au service de ces désirs ? Doit-il leurs obéir ou peut-il les contrôler ? Ou signifie-t-elle plutôt une défaillance de l'homme d'un point de vu moral.

Celui-ci ne pouvant plus répondre de lui face à ses désirs.

Comme par exemple lors d'un désir de meurtre, l'homme étant aveuglé par ce désir, bafoue toutes les règles de la morale pour atteindre son but.

L'homme peut-il encore faire la par des choses entre ses désirs malveillants et ses désirs positifs? Cette question en entraîne d'autres.

Nos désirs peuvent-il allait à l'encontre de notre libre-arbitre? Les désirs sont-ils que négatifs? Désirer n'est-ce pas être l'esclave de nos appétits? Le terme puissance quant à lui exprime à la fois le pouvoir qu'a homme à influencer le monde réel par ses désirs.

Et au contraire, il désigne l'homme comme ayant un potentiel d'actions de par ses désirs.

L'homme serait donc un être en puissance et non en acte.

Ce qui pose une double question.

L'homme peut-il changer le monde réel de part ses désirs ? Les désirs de l'homme sont-ils des moteurs pour lui? Le désir est-il naturellement bon ou mauvais? C'est à dire le désir est-il une production ou un manque? Tout d'abord nous nous interrogerons en quoi le désir est-il une production de l'homme? Puis nous étudierons en quoi le sentiment de manque, d'où naît le désir peut être une faiblesse pour l'homme? Nous nous attarderons sur le fait que le désir en lui-même n'est ni bon ni mauvais.

Nous verrons que cette prise de position est du à son interprétation. Le désir est tout d'abord une production de la part de l'homme.

Car l'homme en désirant un bien va se donner les moyens d'atteindre ce bien.

Effectivement, c'est en contrôlant et en maîtrisant ses désirs que l'homme va apprendre à les canaliser.

Ce qui va lui fournir une force motrice.

Prenant l'exemple de deux hommes étudiant encore.

Le premier n'ayant aucune d'idée de son avenir professionnel.

Contrairement au deuxième qui lui travail déjà en vue d'intégrer telles ou telles formations afin de se préparer au métier qu'il a choisit.

Ce dernier en choisissant ce métier désire en faire sa profession.

C'est ce désir qui va lui permettre de tenir un rythme de travail constant sans se décourager.

En aucune circonstance, il ne va quitter le but qu'il convoite.

S'il s'en désintéresse c'est son désir qu'il le lui rappellera pour quel but il doit surmonter ces épreuves.

C'est ce désir qui va lui permet de surmonter les épreuves et les difficultés.

Contrairement au premier homme qui dés les premières difficultés va se décourager n'ayant pas la force motrice pour poursuivre.

Cette force ne pouvant être procurée par son désir de réussite puisqu'il est dans l'ignorance de son avenir professionnel.

Il ne sait pas ce qu'il désirs réellement.

De plus cette force motrice est récompensée lorsque que le désir est satisfait par le bonheur.

Ce qui entraîne le désir de désirer puisque à chaque désir l'homme sera satisfait par une joie d'accomplissement. Ce désir ne produit pas qu'une force motrice.

Il est aussi producteur de valeurs positives.

« Nous ne désirons aucune chose parce que nous la jugeons bonne, mais au contraire, nous jugeons qu'une chose est bonne parce que nous la désirons.

» Tel que le déclare Spinoza.

En effet l'objet ou l'être aimé se part de qualités qui ne lui sont normalement pas attribuées.

Ces qualités sont du à notre désir pour ce bien qui a le pouvoir d'enjolivé la réalité.

On peut considérer comme le fait Spinoza, que le désir est producteur.

L'objet n'a pas de valeur avant d'être désiré, c'est le désir qui lui attribue une valeur jusqu'alors inaperçue.

Le désir est donc ici une puissance positive, facteur. »

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