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Le désir de la Justice

Publié le 27/09/2022

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« Le désir de la justice: Introduction: désir: D'abord, le désir se définit en philosophie, bien qu'il etait consideré longtemps comme un probleme car sa nature est contradictoire, ou, en tout cas, ambiguë.

Le désir est, en effet, la recherche de quelque chose que l'on imagine ou dont on a conscience sous forme d'idéal et de concept qu'on sait etre source de satisfaction.

Le désir est une satisfaction en puissance, cependant cette chose accomplie (donc en acte) n'est plus un désir.

Le désir ne peut résider dans autre chose que lui même, à l'inverse que d'autres choses et concepts. justice: Et la justice est au cœur des débats depuis l'aube de la philosophie.

Platon, déjà, plaçait la justice au centre de la République, son ouvrage majeur. Pour les philosophes, la justice est le but de toute politique, dans la mesure où elle vise à établir une égalité véritable et anonyme, qui ne tient compte ni de la situation sociale ni de la personnalité des individus.

La justice désigne avant tout une valeur, un idéal moral et un concept philosophique.

elle est à la fois instinctive (le sentiment d'injustice ou de justice s'impose à nous) et complexe (il est impossible de définir abstraitement les critères du juste).

Elle se divise egalement en deux types de justice: premièrement come une justice distrubutive qui considère ce qui est dû en fonction des merites, puis nous avons la justice commutative qui, elle, considère les choses dû à chacun comme etre strictement équivalent, c'est-à-dire interchangeables. problématique (contradiction): Seulement, la justice chez l'homme n'est-il pas un besoin ? Car cette justice et la maniere qu'a l'homme de s'infliger devant les injustices relève d'un reflexe et d'une evidence selon lui.

Alors, justement ce désir de justice a-t-elle vraiment lieu d'etre? De plus si nous désirions réellement une justice cela voudrait dire que nous sommes donc dans une société anarchique, or ne c'est pas le cas.

Alors, cette existence de ce désir chez l'homme qu'affirme ce sujet ne serait-il pas nuancé ? Seulement à des echelles differentes ou bien juste inegales selon certains contextes et criteres? Le désir disparait lorsqu'il est satisfait ainsi, en consequence il n'interesse plus l'homme alors dès l'hors que la justice serait établie elle ne serait plus aussi désirable, necessaire.

Le désir ne releve pas d'une volonté ou bien d'un besoin, à par chez les stoïciens qui établissent une hierarchie dans leurs désirs qui ne sont donc plus des désirs mais des besoins car ils sont classés selon leur necessité. Ainsi, nous pouvons dire que cela serait un désir de justice injustifé et ilégitimme; ou bien cela serait le désir d'une justice plutot subjective dite injuste ou juste selon l'individu; en fait ce désir qu'importe sa provenance est positif et rend, établit une meilleure justice au sein d'un Etat. I) Un désir de justice injustifié et illegitime: - la justice découle de la raison de l'homme qui elle-meme provient de la conscience de l'homme étant l'essence de celui-ci.

En effet, lorsque nous nous revoltons contre des injustices, cela ne provient pas forcément d'une quelquonque éducation mais bien d'un fonctionnement du cerveau de l'homme qui l'associe avec son potentiel vécu.

L'homme fait preuve d'empathie par peur de vivre lui-même quelque chose d'injuste, alors lorsqu'il assiste à un evenement jugé injuste il agit de façon à ce que cet evenement ne se reproduise plus pour se proteger avant tout.

Il est vrai que nous pouvons dire que cette justice dite "innée" , bien que l'homme n'est pas vraimenr de chose innée ou d'instinct, découle d'une sorte d'égoisme.

Cependant, si cette justice est présente naturellement chez l'homme, alors ce désir n'a pas vraiment de motif d'exister dans l'esprit des hommes. - De plus, nous vivons dans un monde dans lequel les differents Etats exerce une justice communautaire qui établit ce qui est dû en fonction de ce qui devrait etre et ce qui est interchangeable, c'est à dire qu'en tant qu'etre humain nous avons des droits qui determine notre place et une certaine équité entre tous.

Ainsi, nous voyons une nouvelle fois que la justice est effectivement présente au sein de nos syteme judiciaire et au sein des systemes d'Etats.

C'est donc un désir aveuglé par ce que nous possédons deja, l'homme a peut etre deja ce qu'il a besoin mais surement pas ce qu'il souhaite et considère comme un besoin.

Nous ne sommes pas toujours satisfait de ce que nous avons, nous n'evaluons pas objectivement ce qui releve du besoin et du voeux.

L'homme est un eternel insatisfait, alors il blame cette certaine "injustice" pour cuaser son mal être. Cependant, peut on desirer quelque chose qui nous appartient deja ? Car, le désir de l'homme ne se manifeste pas si nous avons deja cette chose, ou alors ce que nous possédons deja n'est pas ce que nous attendions l'hors de la premiere manifestation de ce désir de justice.

Ou bien la justice du systeme (de la société) convient-elle à tous les hommes ? II) Le désir d'une justice (subjective) dite injuste ou juste - Mais, bien que nous ayons une justice, elle n'est pas forcement adaptée à tous, pour tous.

En effet, ce qui est juste pour.... »

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