LA SAGESSE DU MONDE

« La sagesse du Monde Intro : Thalès contemplant les astres Problématique : Le monde poursuit-il un idéal ? (cet idéal est il atteignable?) I) Le monde poursuit un objectif A) Le monde est en état d’équilibre Un ordre inhérent - qui s’explique par l’objectif auquel il se dirige - INDépendance → Rémi brague B) Depuis la révolution copernicienne, le monde est bouleversé, idéal pas atteignable ? - la prudence aristote -Feuerbach II) la sagesse du monde est en fait une croyance A) Une croyance qui répond à un besoin (réconfort) → Pascal → peur de notre insignifiance → vertige, quel est notre place dans le monde. → forçage de la réalité B) → humaniste vs la seconde guerre mondiale (échec de l’humanisme, dans l’espoir que l’éducation et le progrès permettrait de rendre l’homme meilleur). → Niesche III) Peut-on pour autant vivre sans un modèle de Monde ? A) B) Proposition de corrigé : Intro : Le monde est rempli de violence, parfois insupportable, peu compatible avec l’idée de sagesse.

Car enfin la sagesse consiste à faire preuve de prudence et de tempérance : elle se caractérise comme modération des passions et refus des affects les plus violents.

De sorte que nous ne pouvons que nous étonner devant cette formulation : la sagesse du monde.

N’est ce pas un oxymore ? Et le monde ne se caractérise-t-il pas plutôt par sa folie, ses déraisons ou sa démesure, au point que l’être humain qui aspire à une vie de sérénité et de modération s’interroge sur sa place et son rÔle dans cet étrange univers plein de bruit et de fureur ? → On peut en déduire que le monde ne détient pas sagesse de lui même, et que cette sagesse proviendrait plutôt des aspirations de l’homme.

L’homme projeterait alors ses aspirations sur le monde.

Ceci expliquerait des représentations du monde naturels, politiques qui tendent vers un certains ordre, harmonie.

Cette harmonie proviendrait d’une divine providence ou de la croyance que l’homme serait le meilleur des artisans pour créer un monde mesuré et contrôlé. → Néanmoins à vouloir porjeter ainsi un idéal de sagesse sur le monde, on court le risque de concevoir un monde inateignable, irréel.

Un monde qui ne supporterait pas aucun défaut. N’y a-t-il pas de la folie à rechercher la sagesse du monde ? I) Une formulation oxymorique ? A) La physique présente l’univers comme un lieu de constante luttes, pas compatible avec l’idée d’harmonie -ex :-→ les mondes enflent et attirent les autres mondes ce qui conduit à une confrontation B) Une sagesse du monde ne semble pas possible - sagesse =.... »