exposé sur la periode moderne

« SOMMAIRE INTRODUCTION……………………………………………………………………..2 I- PRESENTATION DE RENE DESCARTES……………………………….3 1- La position de l’auteur …………………………………………………..4 II- DEFINITION DES NOTIONS CLEES……………………………………4 1- La raison…………………………………………………...………………4 2- Aüfklarüng…………………………………………………………………4 3- Aüfhebüng…………………………………………………………………5 III- LA PHILOSOPHIE MODERNE…………………………………………...5 1234- Le siècle de lumière……………………………………………………...5 Le scepticisme…………………………………………………………...6 Cogito, ergo sum et Cogito, ergo Deus………………………………….6 Les grands philosophes de la période moderne………………………….6 CONCLUSION………………………………………………………………………..7 1 INTRODUCTION La période moderne ou la philosophie des Lumières.

Il s'agit de la lumière naturelle de la raison guidant les hommes, leur apportant la majorité et l'autonomie.

C'est ainsi que dans l'Europe du XVIIIe siècle une métaphore suggère l'idée que seul le tribunal de la raison peut guider les hommes vers le progrès.

Désormais se forge une méthode s'appuyant sur les faits et s'attachant davantage au comment des phénomènes qu'au pourquoi.

La période moderne s’étend du XVIème siècle au XVIIIème siècle.

Les réflexions des philosophes de cette époque portent sur la recherche de la source ou du fondement de la connaissance Dans le cadre de notre exposé le sujet soumis à notre attention s’intitule la période moderne. Ce thème suscite des interrogations à savoir : C’est quoi la période moderne ? Qui est le père de cette philosophie ? Quel est son point de vue quant à la philosophie moderne ? 2 I- PRESENTATION DE RENE DESCARTES René Descartes (1596- 1650) est un philosophe français.

En 1616, il obtient à la fois le baccalauréat et la licence en droit. A partir de 1628, il vit fréquemment en Hollande, y mène une vie tranquille, s’adonne à la méditation et y écrit ses principales œuvres. En dehors des mathématiques, il n’est pas satisfait de l’enseignement reçu qu’il juge stérile. Il a écrit :  Les Règles pour la direction de l’esprit  Les Règles pour la direction de l’esprit ;  Le Discours de la méthode ;  Les Méditations Métaphysiques ;  Les Principes de Philosophie ;  Les Passions de l’âme 3 1- la position de l’auteur La philosophie moderne commence indiscutablement avec Descartes qui en est le père fondateur ; et ce qui la caractérise par rapport à la philosophie antérieure, par exemple la philosophie scolastique, c'est ce que l'on pourrait appeler le choix d'une voie qui est celle des idées. Dès son premier travail, Les Règles pour la direction de l'esprit – dont le titre est significatif – (1628), Descartes assigne à la philosophie une tâche dont on peut dire qu'elle est nouvelle : la connaissance de l'esprit humain, de son étendue et de ses limites, c'est-à-dire de son pouvoir de connaissance.

On peut avancer sans risque que ce programme cartésien sera celui de toute la philosophie moderne au moins jusqu'à Kant, qui lui donnera une forme différente et sans doute définitive. Pour Descartes les idées du mouvement et des figures sont naturellement en nous : et à plus forte raison les idées de la douleur, des couleurs, des sons, et de toutes les choses semblables, nous doivent-elles être naturelles, afin que notre esprit, à l’occasion de certains mouvements naturels corporels avec lesquels elles n’ont aucune ressemblance, puisse se les représenter II- DEFINITION DES NOTIONS CLEES 1- La raison Le mot raison vient du latin « ratio », qui désigne, en premier lieu, une « mesure », un « calcul », la « faculté de compter ou de raisonner », La raison, c’est-à-dire le bon sens est la faculté de bien juger et de découvrir 2- Aüfklarüng L'Aüfklarüng est le nom donné au siècle des Lumières en Allemagne, qui s'étend approximativement des années 1720 – 1730 aux années 1775 – 1785, durant lesquelles se développera le Sturm und Drang. 4 C’est la sortie de l’homme hors de l’état de minorité où il se maintient par sa propre faute. 3- Aüfhebüng Le mot caractérise le processus de « dépassement » d`une contradiction dialectique où les éléments opposés sont à la fois affirmés et éliminés et ainsi maintenus, non hypostasiés,.... »