exposé "La cohabitation entre l’homme et l’animal, est-ce possible et dans quelle dimension ?"

« La Faune sauvage : Question : La cohabitation entre l’homme et l’animal, est-ce possible et dans quelle dimension ? A- RECHERCHES COMPLÉMENTAIRES Recherches : - l’expansion du territoire humain réduit les espaces naturels. - les animaux augmentent considérablement leur activité nocturne (Ex => Ours brun passe de 33 % à 76 % de vie nocturne / sanglier : 50 % à 90%) - conséquences : affectent leur survie et reproduction parce que pas possible de se repérer / communiquer / chasser / se cacher des prédateurs correctement - étymologie du mot sauvage renvoie au monde de la forêt, des bois obscurs - Max et les maximonstres de Maurice Sendack => titre original = « Là où sont les choses sauvages » montre que notre monde est partagé en deux Le Un Hebdo, Le monde sauvage en nous 3.

Cohabiter, n°360, 2021 B- DICTIONNAIRE ÉTYMOLOGIQUE - Sauvage étymologie : silva : « relatif à la forêt, qui pousse naturellement » le mot s’est déformé en salavaticus, ce qui a donné salvage en ancien français puis sauvage (Orthodidacte) = > qui vit dans la nature, qui n’est pas domestiqué, qui ne s’apprivoise pas facilement (Centre National des Ressources Textuelles et Lexicales) état de nature : existence sans société qui ne serait pas modifiée par l’homme (ex : inné, génétique, instinct, réflexe, universel, biologique, hérédité = naturel) - Culture étymologie : cultura : « le soin qu’on donne à la terre et l’attention qu’on donne à l’esprit / l’action de cultiver la terre, l’ensemble des connaissances acquises par un individu » = > « cultura » vient lui même de « colo » , « colere » qui signifie « cultiver », « soigner » (EtymologieLatinGrec) état civilisé => vivre en société, organisé par des lois, des règles, des normes (ex : acquis, habitude, produit par l’éducation, particulier, héritage, social, créé par l’être humain = culturel) - révolution I.

Introduction = ● ● Présentation de la question et de l'importance de la cohabitation homme-animal dans notre société. Mise en contexte des problématiques liées à la cohabitation et des enjeux associés. >La cohabitation entre l'homme et l'animal est un enjeu complexe et multidimensionnel qui soulève des questions écologiques, spatiales, culturelles et philosophiques.

Les récents problèmes sanitaires ont révélé la disparition de la frontière physique entre les humains et les animaux, mettant en lumière la nécessité de repenser notre relation avec les autres espèces.

Cette coexistence forcée suscite à la fois des défis et des opportunités, notamment dans la lutte contre le changement climatique.

Toutefois, pour parvenir à une cohabitation harmonieuse, il est essentiel de prendre en compte les différentes dimensions de cette relation et de trouver un équilibre entre nos besoins et ceux des animaux.

Dans cette perspective, il est nécessaire d'explorer les liens entre l'homme et l'animal à travers des perspectives écologiques, spatiales, culturelles et philosophiques, afin de mieux comprendre les défis auxquels nous sommes confrontés et de trouver des solutions durables pour une coexistence pacifique et respectueuse de la nature sauvage. Explication question annonce plan II.

La cohabitation homme-animal : une dimension écologique et spatiale = noa ● ● ● Expansion territoriale humaine et réduction des espaces naturels. Conséquences de cette expansion sur la survie et la reproduction des animaux. Référence à l'étude de Kaitlyn Gaynor et al.

sur l'influence de la perturbation humaine sur le développement nocturne des animaux. ● Kaitlyn Gaynor et al., « The influence of human disturbance on wildlife nocturnality » (Catégorie Ethologie, Mammifères : la nuit est leur refuge, du magazine Sciences Humaines n°308, 2018, p.18) - Agroécologie : s’allient avec d’autres espèces pour se débarrasser des nuisibles (pour l’homme) au lieu de prendre de la chimie ( Ex=> coccinelles pour les pucerons, oiseaux des champs contre les insectes..), l’arrêt de cette pratique qui existe pourtant depuis bien longtemps est dû à la révolution industrielle, qui a apporté des connaissances très fine sur l’agriculture.

Le but actuel de l’agriculture est d’aller le plus vite possible avec le plus de production possible, écartant tous les moyens écologiques / respectueux de la nature car ils sont trop lents. - ne surtout pas rendre la prise de conscience de la nécessité de cette cohabitation politique : cela ne ferait que parure au lieu d’aller au centre du problème, d’aller vers le plus concret en ne se disant pas qu’on aime la nature car on la trouve belle, car alors tout ne se base que sur l’esthétique, mais se pencher d’avantage sur les espèces qui habitent cette nature, leur rôle. - Agroécologie : façon de concevoir des systèmes de production qui s’appuient sur les fonctionnalités offertes par les écosystèmes (définition du Ministère de l’Agriculture) >L'évolution récente des problèmes sanitaires met en évidence la disparition de la frontière physique entre les humains et les animaux.

Cette dissolution de la barrière nous confronte à la nécessité d'adapter notre mode de vie à la présence d'animaux qui perturbent notre quotidien et ne se soumettent pas à nos règles.

Cette coexistence forcée peut être perçue comme un défi, mais également comme une opportunité bénéfique, notamment dans la lutte contre le changement climatique. => il faut prévoir des espaces naturels non modifiés par l’homme, car malgré une volonté d’égalité, l’anthropomorphisme que projette l’homme sur l’animal, rend la cohabitation problématique.

Égalité sur la place des deux espèces sur Terre, ne signifie pas égalité dans la manière d’agir, de vivre.

Il faut donc cohabiter tout en étant séparés, afin d’être le plus respectueux possible vis à vis des différences de mode de vie.

Réf animaux nocturnes en ville. III.

La cohabitation homme-animal : une dimension culturelle et philosophique = A.

La vision traditionnelle de la frontière entre l'homme et l'animal.

- Étymologie du mot "sauvage" et analyse de sa signification.

- Référence à l'œuvre "Max et les maximonstres" de Maurice Sendak. => changement constant de la place de l’animal et de sa.... »