Être libre, est-ce réaliser tous ses désirs?

« Sujet 1 : Être libre, est-ce faire tout ce que je désire ? Nous pouvons penser que, pour être libre ont doit faire tout ce que je désire.

Que c’est une obligation de les réaliser si on veut être libre.

On peut avoir l’impression que si on ne les réalise pas, un par un, on n’est pas libre, mais esclaves et malheureux.

Toutefois, il y existe des limites à ce que le sujet « je » peut désirer.

Certains de nos désirs sont irréalisables, tell comme avoir des ailes, c’est simplement impossible.

De plus, certains de nos désirs peuvent ne pas « être » de nature bonne mais mauvaises : ils vont et peuvent nuire et blesser à autrui. Cependant, si quand même ont désire d’être « libre » en tant que sujet « je », il faut trier ces désirs, méditer et reconnaître ceux qui sont réalisables de ceux qui ne le sont pas.

Ainsi, il y existe d’autres moyens d’être libre, sans être esclave de ces propres désirs et ni blesser à autrui. Sommes-nous, contraints ou obligés de faire tout ce que « je » désire pour, en tant qu’être Humain, être libre ? À première vue, pour être libre, oui, on doit réaliser tous nos désirs quelques soient leur nature et conséquences.

Cependant, comme les lois de la nature et de la physique possèdent des limites, il viendra un moment ou nos désirs non seulement ne pourront pas faire face aux limites, que la vie nous impose.

Mais aussi, ils peuvent nous rendre tout sauf libres: les désirs, s’ils ne sont pas contrôlés, possèdent aussi une nature de rendre l’Homme esclave de soi-même.

Dès lors, pour Être libre, doit-on assouvir tous nos désirs ? Premièrement, le désir peut nous amener à la liberté, nous donner l’impression d’être en plein exercice de sa liberté.

En contrepartie, le désir peut nous tromper, et nous faire tomber dans une illusion d’être libre.

Mais qu’en réalité, les désirs font de nous esclaves de nous-mêmes.

Cependant, il existe d’autres moyens d’y accéder à la liberté et d’éviter de se faire esclave de nos propres désirs. Nous pourrons penser que le désir peut nous amener à la liberté, et nous donner l’impression d’être en plein exercice de sa liberté, donc libre. Le désir nous définit en tant qu’être, réaliser nos désirs parait, à première vue, tout à fait légitime.

Ils peuvent nous emmener à la liberté.

D’autant plus qu’en les réalisant, les désirs peuvent réfléchir une image de nous-même.

l’Homme est « auto » « nomos », il est autonome de réaliser tous ces désirs et il est libre de les réaliser.

Car c’est lui-même qui impose ces propres lois et propres moyens de les assouvir.

Il peut finalement, dans son autonomie, réaliser ces propres désirs.

L’idée que l’essence de l’Homme vient du désir, est une notion développée par Spinoza.

Comme par exemple, l’Homme a un désir de manger ou de courir, il est tout à fait libre de réaliser ces désirs, de plus que rien ne l’empêche de manger son plat préféré, ni de courir au bord de la plage.

Réaliser ces désirs, lui amènerai non seulement une sensation d’accomplissement mais de liberté.

Il est libre d’assouvir son désir de manger et de courir. Ainsi, il est tout à fait légitime et « naturel » de désirer et de réaliser ces désirs. Pour nuancer les propos, même s’il est « naturel et légitime » de réaliser ces désirs, cela ne veut pas forcement dire qu’on est dans le chemin de la liberté.

Tout dépend de nous et de comment nous le gérons.

Comme par exemple, le personnage Calliclès.

Il réalise tous ces désirs, il ne possède pas de limites qui lui empêchent de « remplir son âme », ainsi il emploi toute ces facultés pour remplir son âme trouée.

En théorie, puisqu’il réalise ces désirs, et rien ne lui empêche de le faire, il est libre n’est-ce pas ? Ainsi, nous pourrons dire, comme il est dit dans Mowgli : le garçon de la jungle ( film Disney), nous dévons désirer seulement le nécessaire, plus que cela s’est trop, ont sera dans l’excès. Certains philosophes diront que Calliclès n’est pas libre, et il ne le sera jamais : Calliclès est esclave de ces désirs, il n’est pas libre. Au contraire de nous rendre libres, le désir peut nous faire esclaves de nous-mêmes, donc emprisonnée et pas libres. Le désir mimétique, est une notion qui nous donne l’impression que notre désir est légitime, a nous propre.

Cependant, non seulement le désir a eu lieux que car nous avons vu d’autres personnes l’exerçant, mais il nous ne mettra jamais dans la voie de la liberté.

Plus-tôt, il nous rendra malheureux, car nous ne l’avons pas et nous ne le pourrons pas le réaliser.

De plus, si on ne réalise pas que notre.... »