Être libre, est-ce faire tout ce qui me plaît?

« DISSERTATION PHILO: ÊTRE LIBRE EST-CE FAIRE TOUT CE QUI ME PLAÎT? La liberté se définit comme le pouvoir d’agir sans contrainte, de ne dépendre d’aucune influence externe.

Il s’agit d’un concepte fondamental dans la quête d’une vie pleine, et qui a une signification sociale différente à sa vrai signification, car dans les démocraties c’est un “droit garanti”, ce qui souvent est suffisant pour les individus, qui se conforment d’avoir cette possibilité théorique à une distance pas si grande, ce qui ne veut pas dire qu’ils ont atteint véritablement l’état de liberté, et c’est même trompeur, car dans une société capitaliste les personnes ont souvent l’impression d’être libres parce qu’ils peuvent faire leurs propres décisions, mais ils ignorent que la liberté ne s’achève pas quand on est pas obligé à choisir, mais quand on connaît les motivations que nous avons pour agir, et que nous essayons de les contrôler. L’idée du plaisir se laisse donc voire.

La nature humaine c’est d’agir par plaisir, ceci a toujours été vrai et il sera vrai toujours.

Dans les dictionnaires on retrouve une définition qui me plaît : il est une sensation ou émotion agréable, liée à la satisfaction d’un désir, d’un besoin matériel ou mental.

On voit apparaître les idées de « satisfaction », « désir » et « besoin ».

Il est nécessaire de faire une distinction entre ces deux derniers concepts, puisque les deux peuvent êtres « satisfaits » et la satisfaction des deux apportera du plaisir, mais quand on parle de « désir » il n’y a que le plaisir qui nous pousse à agir, tandis que en ne satisfaisant pas les besoins une vie n’est pas possible.

Il y a donc des plaisirs qui sont plus nécessaires que d’autres ? Est-il rentable de faire tout ce qui me plaît? Est-il vraiment possible de se sentir satisfait? La vraie question est: pour être libre, dois je contrôler mon désir ou chercher à le satisfaire? Pour répondre à la problématique il sera nécessaire d’approfondir les deux thèses.

De nombreux arguments paraissent suggérer qu’en effet la liberté se trouve dans la quête des plaisirs, mais cette thèse peut bien être contestée.

La solution pourrait-t-elle donc se trouver entre les deux?. »