Est-ce que l'homme est en symbiose avec la nature?
Publié le 29/05/2022
Extrait du document
«
À une époque où l'homme mène une vie heureuse en civilisation , il se trouve rarement en réflexion à
propos du déséquilibre dans sa relation avec la nature.
J'ai reçu trois documents liés par le même thème - la nature et l'homme.
Le premier est un poème écrit
par Victor Hugo au XIXème siècle intitulé « Soleils couchants».
Ce poème appartenant au romantisme
décrit la nature idéaliste et toutes ses merveilles étonnantes et des gens qui l´habitent - tout en
fonction du temps.
Le deuxième document est un article publié par Gilles Delcuse en 2004, qui fait partie du blog « Troubles
de temps» en ligne.
L'article traite la notion de la « nature», qu’elle est définie par notre perception.
En
plus l’article parle du fait que la nature possède une beauté apparente indéniable, ce qui influence bien
notre esprit.
Le troisième document est une photographie prise en Victoria – en Australie.
Il est évident qu'il s'agit de
la nature et de l'homme car sur l'image il n'y a qu'une personne centrée au milieu entourée par une
forêt immense.
La photo évoque un sentiment d'inquiétude et son apparence est telle que le naturel est
supérieur à l'homme.
Le sujet qui est partagé par ces documents est le lien entre l’humain et la nature.
Donc je me suis posé la question: « L'interaction entre l'homme et la nature, est-elle "omni-bénéfique"
?» Pour répondre à cette question en complexité, je vais utiliser le plan argumentatif comparatif.
Je
vais successivement introduire des points de vue différents en mettant en comparaison le côté de la
Nature et celui de l'humanité.
Tout d'abord, il est important d'indiquer le fait que seulement grâce à la nature l'homme civilisé a tous
ses pouvoirs et des compétences qu'il développe des caractères innées qu’il avait reçu de la nature
quand il était né.
Le philosophe français Philippe Malrieu exprime dans sa publication de 1996 que
comme on vit la Nature dès notre plus jeune âge, nous pouvons nous expérimenter et nous pouvons
apprendre à travers d’elle, elle devient ce partenaire d’existence, cet Autre qui
permet d’évoluer.
On remercie la Nature pour tout ce qu'on a achevé.
Même que l’évolution, la survie simple du genre humain était toujours en condition de son
environnement naturel.
Aux premiers étapes de l'humanité l'homme préhistorique vivait dans la nature,
de la nature et pour la nature - on était des vrais naturistes.
La population terrestre était toujours
dépendante des ressources territoires pour survivre et en plus pour assurer une la bonne qualité de
cette vie.
Au contraire, la nature est un élément omniprésent et non vieillissant qui est aussi complètement
dissocié des êtres humains en question d’existence.
On peut l'illustrer par le poème Soleils couchants où l'auteur décrit la majesté de la création qui n’est
pas influencée par le passage du temps, ni plus par l’homme qui l’admire.
Dans ce poème il y a une distinction évidente entre la permanence de la nature et l'incertitude de la vie
humaine ondoyante.
Le poème parle du destin du narrateur, qui vieillit en opposition à la nature qui est
immortelle.
Il y constate qu’il peut mourir sans que rien manquerait au monde entier, pour expliquer
dans un premier temps la différence grave entre la durée de vie d’une personne et celle du monde et
dans un deuxième temps il illustre ainsi l’indépendance de la nature.
Ensuite, avec les affaires de survie assurées, l'homme cherche de la beauté que la nature lui présente.
La.
»
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