Comment ce texte rend-il compte de l’entreprise de deshumanisation menée par les SS dans les camps ?
Publié le 08/04/2022
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Comment ce texte rend-il compte de
l’entreprise de deshumanisation
menée par les SS dans les camps ?
Rien ne serait mieux convenir que ce texte pour monter l’immarcescible cruauté de
la machine nazies.
En effet dans cet extrait de « l’espèce humaine »,1947 de robert
Antelme, il est question d’une inique violence et de déshumanisation des
pensionnaires des camps.
Nous nous
demandons donc comment ce texte rend compte de la déshumanisation des
prisonniers menez par les SS.
Afin de répondre a cette interrogation nous allons analyser
les divers procéder littéraires, figure de styles et chan lexicaux de ce texte, texte
que j’ai découper en 3 parties.
La première
de la ligne 1 a la ligne 7, que j’ai nommé : « Animalisation véritable ».
Puis la dixième partie de la fin de la ligne 7 a la ligne 16 que j’ai nommé « toujours
des hommes »
Et la dernière partie de la fin de la
ligne 16 a la ligne 27 que j’ai intitulé « tous les mêmes
Dans la partie une, nous avons des les première ligne un champs lexical de la
bestialité prédominant, en effet nous avons la répétitions du mot bête 4 fois ainsi
que la métonymie une autre espèce pour désigner les animaux .
On a également
cette phrase, probablement un métaphore hyperbolique : ligne 1 « si ressemblants
aux bêtes tout bête nous est devenue somptueuse » on voit ici que la
deshumanisation va au-delà de l’animalisation, la suite de la phrase « le destin de
cette plante nous parait aussi luxueux que celui qui s’acheve dans sont lit » cette
expression qui peut a première vu nous sembler ironique est en faute vu le
contexte, littéral ce qui montre donc l’incommensurable exécrabilité des condition
de vie ainsi que la déshumanisation vécu, car la mort sur un lit en est meme
devenu luxueuses.
Malgré toute, l’homme reste homme, il ne peut changer d’espèce.
Dans cette deuxième partie du texte il est question du fantasme nazie de la
supériorité des races et de son absurdité.
En effet on voit bien avec l’utilisation a
mainte reprise du mot homme de la phrase : « mais il n’y a pas d’ambiguïté, nous
restons des hommes, nous ne finirons qu’en homme ».
On a ensuite on a cette.
»
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