Chapitre 4- La liberté

« Chap 4: La Liberté. Doit-on considérer que la liberté est une illusion ou qu’au contraire elle consiste en la possibilité de se réaliser avec les autres ? La liberté semble se trouver comme un fait évident.

Les choses, ne s’impose pas simplement à nous mais nous les choisissons aussi.

Dans la mesure où nous exerçons des choses volontaire, nous sommes dotée de libre-arbitre.

Cependant nous nous sentons parfois contraint par le jugements des autre, par leur regard, par la loi.

On peut entendre des gens dire « la liberté des uns s’arrête là ou commence celle des autres ».

La liberté serait une sphère d’action qui serait plus ou moins étendue en fonction de la pression exercée par autrui.

Dans ces cas la on peut ce demander si on ne devrait pas vivre seul, en dehors des attentes et exigence d’autrui et être libre? Robinson est il libre? D’après le sens commun oui.

Il peut décider comme il le veut et n’est pas sous le regard d’autrui.

La robinsonnade serait donc la situation dans laquelle on peut réaliser la liberté dans sa plénitude.

En étant seul il ne peux pas faire grand-chose si ce n’est accomplir ses fonctions physiologique, il est déshumanisé par sa solitude.

La solitude nous réduit à l’animalité.

l’autre est à la fois une contrainte qui amoindrit la liberté mais aussi une condition de la liberté.

Sans l’autre il n’y a pas d’actions ou de projet possible.

La liberté est-elle une illusion ou consiste-elle en la réalisation avec autrui ? I.

Le sentiment de liberté ; a.

La liberté consiste en une capacité a se déterminé par soi-même sans influence extérieur ? On peut poser que la liberté semble s’imposer à nous comme un sentiment.

Le sentiments que les choses ne s’impose pas a nous mais que nous les choisissons.

En premier lieu la liberté c’est la capacité a ce exterminé par soi-même sans y être poussé par une force extérieur, sans y être contraint par qui que ce soit.

On se détermine a partir de notre libre arbitre.

On agit de manière volontaire.

Est libre toutes actions qui prend son origine dans l’acteur.

Mais cela ne suffit pas; i faut en plus que l’acteur sache ce qu’il fait.

Donc la liberté est comprise en fonction du choix.

Si être libre c’est choisir, examinons ce qu’est un choix.

Quand je choisit je me situe entre des antécédent et des conséquences.

Les possibles qu’on envisage sont contrains par ce que l’on a à disposition, notre milieu social etc.… On compare les possibles, on les écarte et on fait nos choix.

Le choix exprime une préférence découverte au fur et à mesure du choix.

Le choix n’est que la prise de conscience d’une préférence.

On ne se détermine pas de manière volontaire on ne fait que prendre conscience de ce que l’on aime.

Ici, le libre arbitre est semblable à un paravent. C’est cette situation qu’explore André Gide, Les caves du Vatican au travers du personnage de Lafcadio.

C’est un jeune homme bourgeois ( pas respectable la bourgeoisie), sa mère est une demie mondaine (sugar daddy) elle est cultivée et musicienne.

Il va passer le bac et il sait que son chemin est tout tracé.

Il est révolté du coup il fugue.

Il prend le train et réfléchit.

Il réalise que son existence est déterminé, il en déduit qu’il doit être libre.

Il faut que son action son indépendante de toute influences.

Il faut qu’il commette un acte gratuit.

Il défenestre un type en face de lui.

On pourrait dire que Lafcadio a commis un acte gratuit.

Si on contextualise on remarque que son questionnement est digne d’une adolescence tourmentée et il commet un crime.

En fait il a besoin de se prouver qu’il est libre. Pour être libre il faudrait être dans un situation d’indifférence, la volonté ne subit pas d’influence → Buridan = « L’âne de Buridan».

Un âne qui à faim et soif de la même façon.

Il est a égale distance d’une auge d’eau et de foin et qui sont également remplit.

Il va mourir de faim et de soif en même temps. Puisque l’humain est aussi guidé par la raison il sera capable de réfléchir et donc de faire un choix entre nourriture et boisson.

Il va donc trouver une stratégie pour déterminer son choix.

Il s’agit là d’une expérience de pensée.

Dans la réalité est-ce-que c’est possible d’imaginer une situation d’indifférence ?. »