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MUSSET-4-ADAPTE-ACTE-III-SCENE-8-EXPLICATION

Publié le 28/03/2025

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« [Bac] - ADAPTE - Explication – On ne badine pas avec l’amour - Acte III, 8 - 2ème partie 1 De : « Insensés que nous sommes ! ...

» à fin Introduction Bio simplifiée : Alfred de Musset, poète et dramaturge français, né en 1810 et mort en 1857 à Paris.

Son œuvre est représentative du courant romantique avec des drames célèbres comme Lorenzaccio.

Dandy, sa vie et son œuvre sont marquées par sa liaison avec George Sand. Le texte : introduction & problématique - Ce dénouement met en scène un double coup de théâtre : aveu d’un amour réciproque entre Perdican et Camille et la mort de Rosette dans un paroxysme de sentiments. Problématique : En quoi la dernière partie de la scène fait de cette pièce un parfait drame romantique ? Mouvements - Les didascalies sont mettent en valeur les mouvements : 1) 1er mvt : Les deux 1ères didascalies (« Il la prend dans ses bras » et « Il l'embrasse ») marquent le lien am entre Camille et Perdican. ème 2) 2 mvt : Du cri à la f : La didascalie (« on entend un grand cri derrière l'autel ») provoque le basc de la scène : de l’a vers le dr : le cri signifie la m de R . la culp ou le « retour de la morale » (Perdican du côté de Dieu) 1) 1er mvt : l’amour réciproque enfin atteint • La tirade de P.

commence par une ex = aussi une auto-accusation : « Ins que n s ! » qui renvoie à une folie commune.

Le champ lexical de la déraison est repris peu après dans l’expression « mis f ». • L’absence de raison est mise en évidence pour avoir refusé d’admettre la vérité : « nous n ous a imons.

» ♥1 C’est un coup de théâtre car le spectateur s’attendait à une séparation imminente. • La reprise rhétorique des adjectifs interrogatifs (« quel songe », « quelles vaines paroles », « quelles misérables folies ») produit un effet de martèlement. • Les termes dépréciatifs : « vai pa », « mi fo » renvoient aux fautes morales : « Leq de n a v tr l’a ?» • 2 qu rh , scandées par l’ana phore de « Quel », accumulent de violents reproches : → « Quel son avons-nous f , Cam ? Quelles vain par , quelles m f ont p comme un v fun entre nous d ? » ♥2 • Le « badinage » devient une faute puisque l’orgueil en est la cause : → à la question, « Le de n av tr l’a ? », de la réponse les unit dans un même aveuglement : « Hélas ! c v est elle-m un si pén r ! pour en y m les n ? » ; → valeur forte du déterminant possessif (les nôtres) • La vie, selon Perdican, est métaphoriquement comparée à un « pén r », c’est-à-dire une illusion, à prendre au sens métaphysique, où s’accumulent erreurs et folies humaines. • Suit une nouvelle série de mét empruntées.... »

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