Les aventures de Sherlock Sir Artur Conan Doyle : « Un scandale en Bohême »
Publié le 06/05/2022
Extrait du document
«
Dans la première nouvelle des 56 aventures de Sherlock Holmes, écrit par Sir
Artur Conan Doyle et titré : « Un scandale en Bohême », un brillant
détective : Sherlock Holmes, connue par plusieurs personnes grâce à ses
nombreux services de qualité particulièrement celui réussi à l’une des cours
d’Europe est un bon observateur.
En effet, la feuille de papier à lettres qu’il
reçoit à son dernier courrier, n’a ni signature ni adresse de l’expéditeur.
Juste
en l’observant, il arrive à déterminer la source : « Ce n’est pas un papier
fabriqué en Angleterre.
Regarde-le en transparence » (ligne 101).
On
remarque, que sa façon de voir les choses est différente de ce qui passe
habituellement.
De plus, il a une bonne façon de raisonner.
Il est intelligent
et interprète facilement les situations.
Ce que je veux dire par là, c’est
qu’avec les 5 lettres en filigranes dans le papier : E, g, P, G et t, qui peuvent
dire diverses significations pour tout le monde, il parvient à trouver la bonne
définition « Le G avec le petit t signifie Gesellschaft, qui est la traduction
allemande de « compagnie ».
C’est l’abréviation courante, qui correspond à
notre “Cie”.
P, bien sûr, veut dire “Papier”.
Maintenant voici Eg » (ligne 106107).
Et c’est avec cela qu’il trouve le lieu de fabrication de ce genre de
papier : « Le papier donc est fabriqué en Bohême » (ligne 114).
Il ne néglige
rien, chaque petit détail représente un indice, pour lui.
Bref, rien ne lui
échappe, malgré qu’il n’ait aucune information sur la lettre il parvient a
trouvé la source grâce à ses compétences.
D’autre part, Sherlock est une personne digne de confiance avec de
nombreux succès dans ce qu’il entreprend.
Il réussit a deviné qui est son
client avant même que celui-ci se présente.
« Votre Majesté n’a pas encore
prononcé une parole que je savais que j’avais en face de moi Wilhelm
Gottsreich Sigismond von Ormstein, grand-duc de Cassel-Falstein, et roi
héréditaire de Bohême » (Ligne 178-180).
Il analyse les situations depuis le
début jusqu’à leurs arrivés à chevaux, c’est comme ça qu’il se confirme
l’identité de son client.
Par la suite, le moment ou le roi lui confie une mission
dans laquelle il doit récupérer une photographie en la possession de madame
Irene Adler, il a déjà des renseignements sur cette personne en question
mais il se renseigne encore plus auprès de ses cochers de sa confidence.
Après avoir rassembler de nouvelle information, avec l’aide de son
compagnon le docteur ainsi que ses complices passent à l’action.
Une
bagarre qui éclate sur la façade de la villa de madame Irène, le détective sort
une de ses vielles farce dans l’intention de s’introduire chez elle en toute
discrétion.
Quelque instant après qu’il soit dans le salon il donne le signal au
docteur de lancer la fusée fumigène et de crier au feu.
« Quand une croit
que le feu est à sa maison, son instinct lui commande de courir vers l’objet
auquel elle attache la plus grande valeur pour le poser des flammes.
On voit,
qu’il agit avec précautions son plan à pousser Irene à lui montrer l’endroit
« La photographie se trouve dans un renforcement du mur derrière un
panneau a glissières juste au-dessus de la sonnette ».
(Ligne 556-557) et il a
accompli sa mission « Pratiquement, notre enquête est terminée.
» (Ligne.
»
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