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lecture linéaire 7 germinal

Publié le 15/04/2024

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« Lecture linéaire numéro 7 Germinal fait partie des 20 titres intituler les Rougon-Macquart écrit par Emile Zola. Dans germinal Zola s’intéresse au monde ouvrier, tout en analysant et en critiquant la société.

Le passage que nous étudions est l’excipit alors qu’Etienne Lantier quitte la mine du Voreux, une cités minière fictive du nord de la France.

Après que la grève qu’il a lancée se soit terminer la nature et l’environnement semble porter les germes d’une espérance à venir.

Ce texte en focalisation interne va décrire de façon dynamique et symbolique la nature PBMQ : Comment l fin de ce roman présente t’il l’espoir d’un renouveau après avoir connu la destruction ? Comment passe t’on de la destruction à un promesse positive de reconstruction ? 1er mouvement : les pensées de l’entier « et il songeait…jamais vue » 2eme mouvement : description géographique du paysage « mais Etienne…jeunes arbres » 3eme mouvement : la description du paysage devient symbolique « maintenant… éclater la terre » 1er mouvement : les pensées de l’entier « et il songeait…jamais vue » -Le verbe « songeait » montre que nous somme dans le discourt indirect libre tout comme l’utilisation excessive de phrase exclamative il s’agit bien des pensées du personnage -l’expression « quelle inutile besogne » ainsi que la phrase sarcastique « cela valait bien la peine de galoper à trois mille, en une bande dévastatrice » témoignent de la colère et de la tristesse d’Etienne Lantier. -On a une négation totale qui est cependant amoindris par l’utilisation de l’adverbe « peut-être » « que la violence peut être ne hâtait pas les chose » -L’énumération « des câbles coupes, des rails arrachés, des lampes cassées » est faite dans un rythme chaque élément compte 5 syllabes et chaque élément de l’énumération a la même sonorité final.

Ce rythme répétitif traduis l’agacement d’Etienne. -La phrase « sa raison mûrissait, il avait jeté la gourme de ses rancunes » marque une nouvelle étape.

Lantier se présente comme un être de raison et non plus comme un être de colère -L’utilisation du plus que parfait « il avait jeté » marque une époque qui est révolu -Un projet politique est présenter dans une énumération « s’enrégimenter tranquillement, se connaître, se réunir en syndicats, lorsque les lois le permettraient » -Zola insiste sur l’aspect lent et prudent de cet engagement politique -On a ensuite une phrase assez longue qui porte une critique sur D.ieu, c’est une métaphore dans laquelle D.ieu est réduit à une idole et à un monstre.

Critiquant ainsi l’utilisation des bourgeois en d’où la personnification de D.ieu comme un monstre qui se nourrit de chaire humaine 2eme mouvement : description géographique du paysage « mais Etienne…jeunes arbres » - Le paysage décrit est géographique marquée par des termes comme « à droite, en face » mais aussi des noms de lieux « Vandamme, Beaulieu, la victoire sainte homas » ainsi que des terme tel que « au nord 6 km » - Le mouvement commence par une conjonction de coordination « mais » que l’on retrouve dans le participe présent « qui tend le chemin » - Mais ce paysage est menaçant comme le montre l’expression « les décombre du véreux » sachant qu’il s’agit de la mine ou travaillait Etienne est que ce terme ressemble à dévorer comme si la mine dévorait les mineures.

Cette idée étant renforcé par la métaphore personnification « le trou maudit que 3 ponts épuisait sans relâche » - - La description d’une mine dans le nord de la France est là pour encadrer le départ précipite de Etienne il quitte « le chemin de Vandamme »il devait « se hâter ». - Cette dernière phrase du deuxième mouvement traduit une focalisation interne le discours indirect libre révélant les pensées du personnage. - Cette description précise et géographique est.... »

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