Lecture du roman : La Princesse de Clèves, Mme de La Fayette

« Devoir maison : Lecture du roman Note : La Princesse de Clèves, Mme de La Fayette Première partie 1.

Nous pouvons caractériser les relations entre nobles à la cour du roi Henri II par la phrase :" Il y avait tant d'intérêts et tant de cabales différentes".

Henri II était très proche des nobles de la cour. 2.

Le duc de Nemours est doté des qualités suivantes : - Une naissance glorieuse, dont il s'agit de se montrer digne par ses actions et ses qualités. - La beauté physique (« parfaitement bien fait » ; « beau » ; « le mieux fait et le plus beau »).

Il a un corps doué pour les exercices ; c'est ainsi que l'on interprète la phrase « une adresse extraordinaire dans tous les exercices ». - C'est aussi un homme qui apprécie les divertissements - Le courage physique et moral.

On sait que Nemours possède « une valeur incomparable » ; ce qui sous-entend qu'il a pu faire ses preuves, malgré sa jeunesse, au combat. - Il est doté de qualités intellectuelles. - il possède les qualités sociales.

L'art de plaire conjugue celui de soutenir son rang et de se faire valoir.

Il doit traiter autrui avec une politesse respectueuse.

Il est élégant « une manière de s'habiller qui était toujours suivie de tout le monde sans pouvoir être imitée ». - Il a une politesse de manières.

Il est galant mais surtout courtois. 3.

Les qualités qui sont mises en avant pour présenter la Princesse de Clèves sont : - La perfection de sa beauté physique et ses qualités morales.

« Il parut alors une beauté », « une beauté parfaite » avec l'emploi de l'adjectif hyperbolique « parfaite » soulignant sa grande beauté - Son éducation irréprochable.

Sa mère s’est retirée de la Cour pour se consacrer à l’éducation de sa fille « plusieurs années sans revenir à la cour », « Pendant cette absence ». 4.

Le sentiment principal est bien sûr l’amour mais il y’a aussi des sentiments de désir, passion et folie.

Ce fait changera la narration car le duc de Nemours ainsi que le Prince de Clèves vont tous deux essayer de conquérir la Princesse dans l’histoire : « M.

de Nemours fut tellement surpris de sa beauté, que lorsqu’il fut proche d’elle, et qu’elle lui fit la révérence, il ne put s’empêcher de donner des marques de son admiration » II) 1.

Madame de Chartres met en garde sa fille en l’effrayant.

Elle lui montre les dangers de cet amour qui peut la mener jusqu’au « précipice » et elle lui conseille de rester célibataire : " Je ne vous répondrai rien, lui dit-elle en rougissant, et je ne vous donnerai aucun lieu, par mes réponses, de diminuer ni de fortifier vos soupçons ; mais si vous essayez de les éclaircir en m’observant, vous me donnerez un embarras qui paraîtra aux yeux de tout le monde" Madame de Chartres ne cesse de mettre en garde la jeune princesse contre elle-même : elle mentionne que de "grands efforts " et "de grande violence " seront nécessaires pour la retenir et pour qu'elle demeure sur le droit chemin.

Elle mentionne également des solutions pour échapper à cette « inclination » comme par exemple demander au Prince son époux de l'éloigner de la cour et de l'emmener à la campagne, loin des mondanités où elle pourrait rencontrer le Duc. Les conseils de la mère reposent sur de nombreuses formules d'injonctions : "il faut nous quitter » « il faut de grands efforts » « songez ce que vous devez...ayez de la force et du courage ». 2.

Madame de Clèves ne voulait pas que son mari la quitte : "elle ne voulait point qu’il la quittât". Son mari n'a pas répondu à ses attentes car il partit à Paris et promis à sa femme qu’il sera de retour le lendemain : "M.

de Clèves vint à Paris pour faire sa cour, et promit à sa femme de s’en retourner le lendemain ; il ne revint néanmoins que le jour d’après." Seconde partie 1) En demandant à revenir en France le Duc de Nemours a renoncé à ses prétentions sur la couronne d'Angleterre pour Mme de Clèves :« Cependant cet amour est assez fort pour lui faire négliger, ou abandonner, pour mieux dire, les espérances d’une couronne.

» 2) M.

de Nemours parle de l'amour, surtout des dangers de l'amour.

Il a fait le point sur la jalousie excessive de certaines personnes, et la tromperie apparait parfois.

« Votre Majesté sait que les violentes jalousies qu’elle en eut la portèrent à les mettre l’un et l’autre en prison » 3) Mme de Clèves compare se discours à un poison.

Elle trouve que ce.... »