Journal de bord: Madame Bovary, Mœurs de province
Publié le 19/11/2022
Extrait du document
«
Français : Journal de Bord
Madame Bovary de son nom complet Madame Bovary, Mœurs de province, est un roman de
Gustave Flaubert.
Il eu d’abord une pré-parution dans la Revue de Paris en 1856, puis eu une vraie
publication un an après chez Michel Levy frères.
Son auteur, Gustave Flaubert, est né en 1821 à
Rouen et est mort en 1880 à Croisset.
Il est né dans une famille bourgeoise en tant que second fils
de la famille (après la mort d’une sœur et de deux frères morts jeunes).
Ses parents le délaisseront à
profit de son frère aîné qui était un brillant élève.
Il met un pas vers l’écriture dans son adolescence.
A l’âge de quinze ans, il fait la rencontre de son premier et unique amour qui est Élisa Schlésinger
qui était alors âgé de vingt-six ans.
Cet amour sera durable mais non-réciproque, elle sera prit
comme exemple pour plusieurs personnage féminin dans ses romans.
Ses romans les plus connus
sont Madame Bovary (1857), Salammbô (1862), L’Éducation sentimentale (1869) et le recueil de
nouvelles Trois Contes (1877).
16/02/21 Page 23 - 44 :
- Au début, nous nous trouvons dans une salle de classe où il y a des élèves de cinquième.
Le
proviseur de l’école entre dans la classe et dit au professeur nommer Roger qu’un nouvel élève
arrive.
Il est présenté comme ayant environ quinze ans, venant de la campagne, très grand, des
cheveux coupé comme un chantre.
Ça m’étonne un peu qu’il ait quinze ans mais qu’il ne soit que en
cinquième.
Il est un peu perdu et aussi peut être un peu timide car quand le professeur lui a
demandé son nom il a pris une certaine difficulté pour le dire.
En plus, ses nouveaux camarades de
classes se moquent un peu de lui (de mon point de vu en tout cas) ce qui me donne un peu de pitié.
- On apprend quelque page après que son père, nommer Charles-Denis-Bartholomé Bovary, était un
ancien aide-chirurgien-major.
Après avoir quitté son travail, il se mariât avec la fille d’un marchand
bonnetier.
Il passa ensuite deux ou trois ans en utilisant la fortune de sa femme.
Quand son beaupère mourut, il était indigné que sa mort ne laissa pas grand chose.
Je trouve ça méprisable.
De plus,
quand sa femme était en train de travailler dur tandis que lui ne faisait rien, il se permettait de faire
des remarques désobligeantes à sa femme.
- Quant à sa femme, après qu’elle l’ai énormément aimé pendant plusieurs années de souffrance.
Elle est se renferma sur elle à cause de la peine qu’elle endura pendant ces années.
Elle est devenu
stoïquement muet et le resta jusqu’à sa mort.
Elle a aussi une charge de travail monstrueuse pour
une personne seule car elle devait faire le travail de deux personnes à elle seule (elle et son mari) ce
qui est assez triste en soi.
Et je ne comprend pas vraiment pourquoi elle ne divorce pas.
- En apprend dans les pages qui suivent de comment Charles a été éduqué.
On nous apprend que
son père, comme à son habitude, était inutile et irresponsable.
Il laissait son fils dormir sans feu et
boire du rhum.
Franchement, si j’avais été son fils, je pense que je serais pas dans un très bon état…
Du côté de sa mère, elle essayait de faire son possible pour que son enfant puisse devenir quelqu’un
d’intelligent.
Elle engagea même une nourrice et le gâta de sucreries.
À douze ans, il commença
enfin a étudié par la demande de sa mère, et c’est le curé du village qui s’en chargea.
Cependant, ses
cours étaient jugés inutile car trop courtes et mal suivies.
Ce n’est que trois ans plus tard, avec
l’accord de son père fatiguer des demandes énergiques de sa femme, que Charles put aller au
collège de Rouen.
- Dans sa vie d’étudiant, Charles n’était ni mauvais ni excellent mais toujours dans le milieu.
Malheureusement, ses parents le retira du collège en fin de troisième pour lui faire étudier la
médecine.
Sa mère lui a ensuite choisit une chambre pour qu’il y vive avec des meubles et des
objets du quotidien pour qu’il vive seul.
J’avoue qu’au moment où j’ai lu le texte je me suis dit que
c’était peut-être un peu tôt pour lui, mais j’avais oublié qu’il avait à ce moment là dix-huit ans.
Par
contre, ce qui m’a fait rire c’est quand il eu un effet d’étourdissement en voyant ses nouvelles
matières à étudier.
Cependant, la difficulté qu’il a à étudier me rend un peu triste car il fait du mieux
qu’il peut pour comprendre.
- Charles était devenu avec le temps paresseux.
Il prit alors l’habitude de ne plus vraiment aller en
cours et a pris ce temps pour aller au cabaret.
Il échoua d’ailleurs à son examen d’officier de santé,
mais ses parents lui avait déjà préparer une fête pour son succès.
Quand il rentra chez ses parent
pour pouvoir célébrer son succès et qu’il leur dit son échec, sa mère accusa les examinateurs
d’injustice.
Puis cinq ans plus tard, Charles se remit au travail et appris toutes les questions par
cœur.
Il réussi alors l’examen et sa mère heureuse de cette nouvelle lui fit une fête.
- Malheureusement, sa mère voulu lui donner une femme.
Et ce choix tombât sur Mme Dubuc, une
veuve de quarante-cinq ans qui avait douze cents livres de rentes.
Mon aspect de la mère se dégrade
de plus en plus à fur et à mesure que l’histoire se poursuit on dirait car au lieu de laisser son fils
trouver une femme qu’il aimera et se fera aimer en retour, elle préfère une femme avec de l’argent.
De plus, la vie de Charles se fit alors régir par sa femme.
- Cet alors, qu’un matin Charles se fit réveiller car il devait aller voir un malade.
Arriver à la ferme,
il rencontra le malade, Mlle Emma et son père.
M.
Raoult proposa, après que Charles ai fini sa
consultation, de «prendre un morceau» avant de partir et il accepta.
Et pendant ce dîner, on nous fait
une petite description de Mlle Emma.
Ensuite, il partit pour revenir dans trois jours, enfin c’était ce
qui était prévu mais il retourna le lendemain.
Puis après, commença à faire deux visites par
semaines avec en bonus des visites inattendues.
- Un jour, sa femme su que le patient de son mari avait une fille.
Par cette découverte, elle
commença à détester Mlle Emma d’instinct.
Et quand la jambe de M.
Raoult alla mieux, elle se
demanda pourquoi ils n’avaient pas encore payer et par jalousie, eu l’incroyable idée que c’était la
faute de Mlle Emma.
Après ça, elle fit promettre à son mari de ne plus aller chez les Bertaux.
- Cet alors qu’au commencement du printemps, un surprenant évènement arriva.
On apprend que
Héloïse (prénom de Mme Dubuc) avait menti sur sa part de barque qui n’était que de mille écus et
que sa maison à Dieppe était plein d’hypothèques.
Quand M.
Bovary père appris cela, il accusa sa
femme d’avoir ruiner la vie de leur fils.
Puis, ils allèrent à Tostes où se trouver M.
Bovary et Mme
Bovary pour aller s’expliquer avec Mme Bovary.
Quand ce moment arriva, Héloïse se jeta en pleurs
dans les bras de Charles pour l’aider.
Alors, M.
Bovary parla pour elle et suite à ça, ses parents se
fâchèrent et partirent.
- Cependant, cet évènement n’était pas le pire qui pouvait arriver à la famille Bovary car huit jours
après l’incident.
Sa femme mourut après avoir dit «Ah ! Mon Dieu !».
Ce qui est assez triste quand
même car en plus en rentrant chez lui après les funérailles, il est dit qu’«Il ne trouva personne en
bas», comme si il pensait que tout ça n’était pas arriver et que quand il rentrera, il verra sa femme.
19/02/21 Page 45 - 70 :
- Un jour, M.
Raoult venait voir M.
Bovary pour lui donner soixante et quinze francs.
Et il prit aussi
le temps de consoler son sauveur de la....
»
↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓
Liens utiles
- Vous expliquerez et discuterez ce jugement de Sainte-Beuve sur Madame Bovary : En bien des endroits, et sous des formes diverses, je crois reconnaître des signes littéraires nouveaux : science, esprit d'observation, maturité, force, un peu de dureté. Ce
- La Princesse de Clèves, explications linéaires Explication linéaire I : de « Madame de Chartres, qui avait eu tant d’application […] » à « […] quand on était jeune. » (Première partie)
- La Princesse de Clèves, Madame de La Fayette, Incipit.
- explication linéaire : Madame de La Fayette, La Princesse de Clèves, 1678 « Il parut alors une beauté
- « Hegel, le grand philosophe des temps modernes, a écrit que la lecture du journal était la prière du matin». Commentez et discutez s'il y a lieu.