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Jean-Paul Sartre affirme à la fin de son autobiographie Les Mots(1963) : « J’ai longtemps Pris ma plume pour une épée : à présent je connais notre impuissance. N’importe : je fais, je ferai des livres; il en faut; cela sert tout de même. »

Publié le 04/04/2024

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« Séquence 2 : entraînement à la dissertation – travail en binôme Sujet: Jean-Paul Sartre affirme à la fin de son autobiographie Les Mots(1963) : « J’ai longtemps Pris ma plume pour une épée : à présent je connais notre impuissance.

N’importe : je fais, je ferai des livres; il en faut; cela sert tout de même.

» Dissertation Les écrivains de tout siècle apporte aux sociétés une manière de pensée différente, une approche des idéaux qui peut s’avérer philosophique, dénonciatrice, didactique, et bien d’autres encore.

Un écrivain possède un pouvoir que seul lui détient.

Lee pouvoir de pouvoir défendre avec des mots qui serviront à appuyer leurs convictions profondes.

Convaincre ou persuader . Parfois ni l’un ni l’autre, et parfois, les deux à la fois.

Olympe de Gouges, célèbre écrivaine du XVIIIème siècle, défend avec force ses convictions, ne les lâchent jamais, jusqu'à en payer le prix le plus fort ; la mort.

Cette auteure, femme politique, féministe et avant-gardiste défend la cause des femmes, dans son livre «La déclaration des droits de la femme et de la citoyenne».

Ses propos engagés n’ont serte pas fait fureur, mais elle n’a jamais abandonné et à continué à écrire.

Voilà un point commun que celle-ci partage avec Jean Paul Sartre, auteur et philosophe, qui, après de nombreux écrits, romans, récits, et en ayant connu l’atrocité de la guerre, fini son autobiographie «Les mots» par cette dernière phrase, qui ne cherche ni à convaincre, ni à persuader.

« J’ai longtemps pris ma plume pour une épée : à présent je connais notre impuissance. N’importe : Je fais, je ferai des livres; il en faut; cela sert tout de même.» Dès lors, nous pouvons nous demander, en quoi la pensée que relève Jean-Paul Sartre dans son autobiographie «Les Mots» met elle en lumière des points commun et un aspect différent de la littérature engagée ? Dans un premier temps, nous verrons comment Olympe de Gouges et JeanPaul Sartre, passent-ils à travers la reconnaissance, en faisant de leur convictions, un élan suffisant pour écrire.

Dans un second temps, […] En premier lieu, la littérature, peut être perçu comme un art pour corriger les mœurs, pour faire évoluer les mentalités et la société.

En effet, de nombreux auteurs, cherchent, à travers leurs roman, à transmettre des messages, à faire évoluer les pensées qui parfois étaient restreinte par un gouvernement ou régis par des lois impartiales.

Plusieurs exemples peuvent être cités tel que Molière, dramaturge et écrivain du XVIIème siècle, qui dénonçait dans ses pièces les défauts de la sociétés dans le but de l’amélioré.

Voltaire, un philosophe des lumières, qui à écrits de nombreux romans, tel que l’Ingénu, un compte philosophique, qui, à travers une histoire fictive, transmettait aux lecteurs des pensées et des réflexions sur la société à laquelle ils appartenaient.

Et, bien entendu, Olympe de Gouges, qui elle, à la différence de Molière ou encore de Voltaire, à écrit un livre et à transmit ses idées de manière explicite, et non implicite.

La déclaration des droits de la femme et de la citoyenne en est un parfait exemple.

Olympe de Gouge l’a écrit en s’adressant directement au peuple, et à l’Assemblée Nationale « A décrété par l’Assemblée nationale dans ses dernières séances ou dans celle de la prochaine législature.»Et, bien entendu, Olympe de Gouges, qui elle, à la différence de Molière ou encore de Voltaire, a écrit un livre et à transmettre ses idées de manière explicite, et non implicite.

La déclaration des droits de la femme et de la citoyenne en est un parfait exemple.

Olympe de gouge l’a écrit en s’adressant directement au peuple,.... »

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