Commentaire litt. Arbre resitance Francosi Cheng
Publié le 28/09/2024
Extrait du document
«
Par un beau matin de 1881, un jeune homme arriva dans la gare de
Cracovie, il s’appelait Jean, il sortit du train et entra dans une foule.
Pour
Jean cette situation était nouvelle et difficile.
Il eut des problèmes pour
retrouver la sortie de la gare, mais après quelque minute il réussit à
sortir sur la rue.
Dans la rue, Jean était confus car il y avait beaucoup de
gens et il ne savait pas dans quel sens aller.
Jean devait se rendre chez
oncle qui vivait de l'autre côté de la ville.
C’était une belle journée d’automne, le soleil brillait il y avait beaucoup
de feuilles mortes dans les rues.
Jean commença à marcher vers sa
destination, mais après quelque temps il comprit qu’ il était perdu.
Il était
au milieu de la rue, des gens avec des chariots avec des journaux
voulaient lui vendre des journaux, mais il ne pouvait pas les acheter car
il n’avait de d’argent sur lui.
Jean demanda à une personne la direction et se dirigea vers sa
destination.
Sur la route vers son oncle, il marcha à travers Wawel, il s'arrêta un
moment pour apprécier le château magnifique et tous les bâtiments les
plus anciens qu’il ait jamais vu, les tours étaient énormes, chaque
fenêtre avaient deux sculptures des chevaliers à côté.
Il continua son
trajet, il marcha à travers les Sukiennice, avec des vitrines pleines de
produits intéressants et de bonne qualité.
Des vêtements de différentes
couleurs étaient vendus par les vendeurs.
Des bijoux, des colliers, en or,
en argent, avec des pierres précieuses…
Jean adorait ces bâtiments magnifiques, mais quand il traversa la
Vistule tout changea.
Il entra dans le quartier Kazimierz, qui était le plus
pauvre quartier à Cracovie.
Là, il vit la vie des gens qui étaient très
pauvres.
Tout le quartier n'avait pas de beaux bâtiments, les rues étaient
sales, puantes et beaucoup de gens pauvres demandant de l’argent.
Les bâtiments dans ce quartier n'étaient pas construits de briques
comme dans le milieu de la ville, mais ils étaient construits en bois qui
se cassaient.
Jean passa rapidement dans ce quartier et arriva chez son
oncle.
Il était heureux mais aussi fatigué.
Sa tête était remplie
d'émotions extrêmes allant du bonheur à la fatigue.
Sujet : Commentaire littéraire sur "Arbre-résistance" de François
Cheng
Dans son poème "Arbre-résistance", François Cheng, poète,
académicien et penseur franco-chinois, nous invite à méditer sur la force
résiliente de la nature, symbolisée par l'arbre.
À travers ce symbole, il
transcende la simple observation de la nature pour explorer des thèmes
universels comme la vie, la souffrance et la persévérance.
Par une
écriture empreinte de spiritualité et de sensibilité, Cheng élabore un
tableau poétique dans lequel l'arbre devient l'incarnation même de la
résistance face aux épreuves.
Dans un premier temps, nous analyserons comment François Cheng
magnifie la nature à travers l'image de l'arbre.
Ensuite, nous
examinerons la manière dont il fait de cet arbre un symbole de
résistance face aux défis de l'existence.
Enfin, nous nous pencherons
sur le message de foi et de réconciliation que porte ce poème.
Le poème s'ouvre sur une description de l'arbre, figure centrale du texte,
qui semble vivre dans un monde en proie à des forces hostiles : «
Dressé contre vents et tempêtes, il ne ploie ni ne rompt ».
Par cette
phrase, Cheng fait de l'arbre une métaphore puissante de la résistance.
Le verbe « dressé » exprime la verticalité, une posture qui symbolise
non seulement la dignité, mais aussi la lutte pour la survie.
L'arbre, par
sa stature, semble défier les éléments.
Les « vents » et « tempêtes »,
images récurrentes dans la poésie pour figurer les obstacles et les
violences de la vie, sont ici les forces auxquelles l'arbre résiste
inlassablement.
Ce choix lexical renforce l'idée que l'arbre est soumis
aux agressions, mais reste fermement enraciné....
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