commentaire de texte thérèse desqueroux

« DM de Français François Mauriac est un auteur du 19e siècle née le 11 octobre et mort le 1er septembre1970. François Mauriac est en effet un grand auteur et un ancien membre de l’académie française. Il a d’ailleurs écrit le célèbre roman « Thérèse desqueyroux »,qui nous raconte l’enfer que va vivre Thérèse,ses bonheurs mais surtout ses peines. Ce livre à décrocher le prix Nobel de littérature en 1952. C’est une histoire touchante qui y est racontée abordant de nombreuses thématiques tels que la solitude,le poids de la société,des rumeurs et des convenances.Le mariage forcé y est aussi question ici. L’extrait sur lequel nous allons nous concentrer est au sein du foyer familial ou Thérèse y est piéger par sa belle famille. Une question importante que nous nous poserons tout au long de notre étude sera « En quoi l’auteur fait-il une critique familiale? » Pour y répondre nous allons nous intéressés à des retrouvailles déroutantes,que nous aborderons dans le 1. Dans 1-1 nous examinerons les membre de la famille et le fait que chacun joue un rôle ce qui va montrer dans la 1.2 que leurs conversations n’est que superficielle. Puis nous verrons ensuite dans le 2 une marginalisations de Thérèse qui conduira à une malade qui se cache en 2.1 et enfin l’énorme fardeau qu’elle va représenter pour cette famille. 1-Retrouvailles déroutantes 1-1 Chacun joue un rôle Si nous portons notre attention sur le tout début du texte,nous pouvons remarquer la façon d’ont Bernard voit Thérèse et les sentiments et émotions qu’il ressent. On découvre ici un époux sans amour et affection qui voit sa femme comme une personne sans intérêt qui ne peut rien lui apporter à part le fardeau de sa présence et les ennuis qu’elle peut provoquer. Ceci va même jusqu’à la décrire comme un corps sans vie,détruit, toute livide « à l’approche de ce corps détruit,de cette petite figure blanche et fardée...

»(l1-2). En effet du point de vu interne Bernard ,Thérèse ne lui procure que des sentiment négatifs et péjoratifs allant même jusqu’à la voir comme une abomination « exsangue,décharnée,terrible »(l7-8),on voit ici que ses expressions son hyperboliques ce qui donne un aspect plus que négatif au portrait de Thérèse. Bernard s’inquiète d’ailleurs d’avantage pour le statut de sa famille que pour son épouse. Il va en effet décrire qu’il était fou de ne pas l’avoir écarté car à tout moment elle pouvait explosée ce qui signifie qu’il ne peux pas la contrôler ni prévoir ses actions ce qui représente un danger pour lui : « mesurait-il sa folie de n’avoir pas,coûte que coûte,écarté cette femme terrible-comme on va jeter à l’au un engin qui,d’une seconde à l’autre ,peut éclater »(l-7,8,9) . Tout cela s’explique aussi par le fait que Thérèse suscitait le drame et pire que ça ,qu’elle le veuille ou non :« Que ce fût ou non à son insu,Thérèse suscitait le drame-pire que le drame:le fait divers;il fallait qu’elle fût criminelle ou victime »(l-9-10) Le fait que même la famille s’en aperçoivent et qu’il y est des rumeurs sur Thérèse nuis à Bernard« il y eu du côté de la famille, une rumeur d’étonnement et de pitié si peu feinte »(l-11). Nous voyons donc bien ici que Thérèse est un poids pour Bernard vis à vis de son statut car il doit tenir son rôle de dirigeant de famille bourgeoise ceci explique son énorme critique qui vise à émanciper Thérèse comme un homme doit le faire pour une femme dans la bourgeoisie. 1-2 La conversation superficielle Dans la suite du texte nous remarquons le comportement plus ou moins étrange de Thérèse qui vient d’être séquestrée par sa belle famille dans une maison mais qui tient la conversation avec des paroles qui ne souhaitent que de la joie notamment à Anne « Anne je suis heureuse »(l-15), «.... »