chose vue un jour de printemps
Publié le 21/04/2022
Extrait du document
«
Chose vue un jour de printemps,
Victor Hugo :
introduction
« Chose vue un jour de printemps » de Victor Hugo a été publié dans le recueil Les
Contemplations en 1856.
Les Contemplations sont une sorte d’autobiographie poétique, organisée en deux parties, «
Aujourd’hui » et « Autrefois », la césure se situant au livre IV « Pauca meae » évoquant la
mort de Léopoldine, la fille de Victor Hugo.
Dans « chose vue un jour de printemps », livre 3, en ayant recours à des images et à des
paroles pathétiques, Hugo porte un regard social sur la mort : la faim, « crime public ».
Ce poème est composé de cinq strophes en alexandrins, de taille variable, qui composent une
scène presque théâtrale.
La première strophe, est un monostique, qui pose le contexte in
medias res.
Le bruit de pleurs entraîne l’ouverture d’une porte par le poète.
La seconde, de
vingt-sept vers, décrit la scène horrible de la découverte tout en apitoyant le lecteur par une
analepse descriptive glorifiant la mère sacrificielle.
[Nous allons maintenant lire un extrait du poème.]
Problématique
Après avoir lu cet extrait, nous pouvons nous demander comment Victor Hugo par cette scène
pathétique dénonce la misère indigne du peuple ?
Dans une 1ere partie nous analyserons plusieurs mouvements du texte : une description
factuelle et précise des faits, qui accrédite la véracité de la scène, une description pathétique
de la mère et des enfants, une sanctification de la mère sacrificielle.
1.
Premier mouvement (vers 1) : quel est le rôle de cette phrase ?.
»
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