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Analyse linéaire "le solliloque de suzanne"

Publié le 22/06/2024

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« l d e t n s mo f a u d el t n s o u m JUSTE LA FIN DU MONDE TXT 6:Le soliloque de Suzanne Présentat°auteurJean-Luc Lagarce est un comédien, metteur en scène, directeur de troupe et dramaturge français né le 14 février 1957 à Héricourt (Haute-Saône) et mort le 30 septembre 1995 Oeuvre: Écrite en 1990, "Juste la fin du monde" raconte l'histoire de Louis, un écrivain qui revient dans sa famille après une longue absence pour annoncer sa mort prochaine.

La pièce dépeint les tensions familiales et l'incapacité des personnages à communiquer leurs sentiments. l’extrait: Dans l’extrait que nous allons étudier, Louis se heurte aux reproches de sa soeur, Suzanne laquelle lui fait par des sentiments à travers un solliloque poignant I: UN DISCOURS HÉSITANT LI 36/37/38: ANAPHORE => “PARFOIS“=> RARETÉ DES NOUVELLES PROLYPTOTE=>“ENVOYAIS“=> APPORT DE NOUVELLES JAMAIS INTEROMPUES S CHERCHE MOTS (EPANORTHOSE) + LES QS: SOLLILOQUES = SUZANNE REFORMULE SON OPINION SUR LA NATURE DES LETTRES DE L la fin du monde S NE SAIT COMMENT QUALIFIERJuste CES NOUVELLES, NOUVELLES DONT ELLE DÉCUS COMME LE MONTRE LA GRADATION DESCENDANTE “JUSTE“ CONNOTÉ PEJOR= FRUSTRA° DE S S UTILISE LE THERME “ELLIPTIQUE” (QUI COMPORTE DES ÉLLIPES/TROUES/OUBLIES)=SOULIGNE LE MANQUE D‘INFO DES LETTRES DE L LI 44/48/51 IMPARFAIT: “JE PENSAIS“X3 = S RUPTURE PENSÉ ADULTE ENFANCE =PLUS TOUCHÉ PAR LES ILLUS° DE L‘ENFANCE PASSÉ COMPO: “J’AI PENSÉ” MONTRE LES REGRET DE S QUI ENTRETENAIT TOUTE SORTE D’ILLUSION VIS À VIS DE L Juste la fin du monde L44/46: “PARTIE”X3 + EXPRESS° “FAUSSER COMPAGNIE”=PÉJO = REPROCHE S A MAL VECU CE DÉPART ELLE LA SENTI COMME UNE TRAHISON /ABANDON 48-49 SARCASME: “JE PENSAIS QUE TUS AVAIS ÉCRIRE....MAIS APPAREMENT TU NE SE SAIS PAS”= S DÉPITÉ, SON FRER ÉCRIVAIN DE GÉNIE NE MONTRE PAS CE TALENT DANS LES NOUVELLES REP VERBE “FAISAIS /ALLAIS FAIRE” = S PAS AU COURANT DES ACTIVITÉ DE SON FRERE l e d e t on f m a u el t n s o u m l u d I: L’IGNORANCE DE S AU SUJET DE L - L44/48/51 IMPARFAIT “JE PENSAIS” =RUPTURE DANS L'ESPRIT DE SUZANNE, MAINTENANT JEUNE ADULTE, DÉTACHÉE DE SES ILLUSIONS D'ENFANCE. - **IRONIE ET REGRETS** : SUZANNE EXPRIME DES REGRETS SUR SES ILLUSIONS D'ENFANT CONCERNANT SON FRÈRE.

==> LA PROP SUB CONJONCTIVE DE TMPS : "LORSQUE J'ÉTAIS ENFANT" => INDIQUE UN CHANGEMENT DE PERSPECTIVE - **IRONIE SUR L'ÉCRITURE** : "IL EST PARTI POUR VIVRE DE L’ÉCRITURE, MAIS IL N’ÉCRIT PAS DE SIMPLES LETTRES." - **RÉPÉTITION ET CONNOTATION PÉJORATIVE** : "FAUSSER COMPAGNIE" INSISTE SUR LE SENTIMENT D'ABANDON DE SUZANNE, SIGNIFIANT TRAHISON ET DUPLICITÉ. - **IMPARFAIT** : SUZANNE RÉFLÉCHIT À SES PERCEPTIONS ANTÉRIEURES ET PREND SES DISTANCES AVEC SES RÉFLEXIONS PASSÉES, MANQUANT DE CONNAISSANCES ACTUELLES SUR SON FRÈRE. - **RÉPÉTITION ET QUESTIONNEMENT** : SUZANNE CHERCHE À DÉFINIR L'IDENTITÉ ET L'AVENIR DE LOUIS, CONSTATANT L'ÉCART.... »

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