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Analyse-linaire-"le mal"

Publié le 30/12/2024

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« Introduction: LE MAL-ARTHUR RIMBAUD Rimbaud est un jeune poète français reconnu comme l’un des pionniers du symbolisme, mouvement littéraire et artistique de la fin du 19eme siècle.

Le jeune homme rêve de liberté : il veut renouveler la poésie, le langage, il refuse la guerre, le consensus religieux aveugle autour de l’Église catholique Ainsi que la médiocrité de la petite bourgeoisie de campagne qu’il connaît à Charleville-Mézières, sa ville de naissance.Il rédige “Les Cahier de Douais” lors de l’une de ses nombreuses fugues âgée de seulement 16 ans.

Le poème “LE MAL” rédigé en 1870 se trouve dans le première partie du recueil d’ Arthur Rimbaud.

Dans ce poème, il s’exprime avec virulence sur la guerre engagée par Napoléon III sur la prusse en 1870. Problématique: Nous pouvons alors nous demander comment Arthur Rimbaud dresse-t-il une critique violente de la guerre et de la religion? Mouvements: -1er mouvement vers 1 au vers 6 → représentation picturale de l’horreur du combat. -2eme mouvement vers 7 et 8→ introduit le thème de la Nature. -3eme mouvements 2 derniers tercet→ critique de dieux Le poème est un sonnet, alexandrin composé de deux quatrains avec rimes croisées et deux tercets rimes embrassées 1er Mouvements: -V.1: proposition subordonnée conjonctive circonstancielle de temps, locution conjonctive “Tandis que”→ verbe principal révélé qu’à la troisième strophe= lecteur se souvienne qu’il se passe quelque chose pendant les affrontement.

(Voir premier tercet : la critique de Dieu qui rit et dort)→Dès 1er vers critique religion+ guerre métaphore→ “crachats rouges de la mitraille” =le sang craché par les soldats à l’agonie.

+ Allitération en RE“mitRaille + cRachats” son rocailleu = chaos des champs de bataille -V.2: enjambement “mitraille sifflent”=sentiment d’instabilité-émancipation Hyperbole→“tout le jour” + “infinit”=guerre sans fin, voit pas le bout Allitération en FE “sifflent + infinit”=imite le bruit des balles→ immersion du lecteur -V.3:le rouge est omniprésent : “rouges” ; “écarlates” ; “feu”→violence, sang et le mal en général. “écarlate”=uniforme francais “Vert”=Uniformes prussiens Mise en avant du roi avec Majuscule + Prop.sub relat introduite par qui =il se moque, est indifférent =Napoléon III, Tyrant -V.5:sub de temps intro par “Tandis que” →Le poète n’a pas terminé de peindre le chaos.

Il allonge sa phrase sans utiliser de ponctuation forte comme pour symboliser la lutte qui s’éternise.

+ Métaphore “folie épouvantable”→désigne la guerre voire la folie du roi qui mène son pays à la boucherie -V.6:clôt par.... »

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