analyse extrait "des cannibales et des coches"

« La première thèse que développe montaigne traite de la condition de la vérité c’est à dire quelles sont les conditions pour qu’une personne soit qualifiée pour ne dire strictement que la vérité. la 2e thèse porte sur la différence entre civilisation et sauvagerie c’est à dire quels sont les éléments qui permettent de dire qu’une nation est civilisée ou barbare, comment est définie la civilisation . II.ce renversement de valeur s’opère avec le fait que Montaigne met en parallèle les notions de sauvage et de civilisation dont il inversera les valeurs en démontrant que la sauvagerie est ce qu’il y a de plus véritable et parfait : « En ceux-là sont vives et vigoureuses les vraies et les plus utiles et naturelles vertus et propriétés »qu’il confrontent avec la civilisation Européennes qui détruit cette perfection :« que nous avons altérés par notre artifice », « que nous avons abâtardies, corrompu ». III.

À la fin du 1er extrait, on peut dire qu’il pose un argument d’autorité puisqu’il fait des références à un poète latin et un philosophe grec qui de part leur autorité ne disent que la vérité et nous devons l’accepter. IV.

dans le 2e extrait, il décrit des mœurs des Tupinamba notamment la guerre et l’anthropophagie.

Il eu ces connaissances par l’intermédiaire de son serviteur. V.

il se sent obligé de justifier l’anthropophagie puisque le lecteur est horrifié lorsqu’il apprend ces mœurs il se doit donc de justifier pour montrer que cette pratique n’a rien d’horrible en particulier par rapport à ce qu’il se passe En Europe. VI.sa stratégie argumentative est de faire un parallèle entre les Indiens et les Européens démontrant qu’il sont plus horribles que les Tupinambas comme le parallèles avec les Scythes « ce n’est pas comme on pense pour s’en nourrir ...

», Ils dévorent la chaire humaine pour s’alimenter ce qui est moins civilisé que les Tupinamba qui le font pour se venger. Il fait ensuite un parallèle avec les mise à morts des portugais « les portugais, [...]beaucoup plus grand maitre qu’eux en tte sorte de malices »,montrant la violence et la cruauté plus grande que chez les Indiens. Il argumente ensuite avec les horreurs lors des guerres de religions qui sont barbaresque comparé aux Tupinambas « il y a plus de barbarie à manger un homme vivant qu’à le manger mort ». Il ajoutera un argument d’autorité citant César et 2 philosophes qui démontre que l’anthropophagie n’est pas répréhensible Il finit par faire un parallèle avec la médecine « les médecins ne craignent pas de s’en servir » parce qu’à l’époque des traitement était faits à base de sang ou d’usnée. »