Analyse « Balzac et la petite tailleuse chinoise » Dai Sijie

« Balzac et La Petite Tailleuse chinoise Dai Sijie, cinéaste à écrit son premier roman s’intitulant : « Balzac et La Petite Tailleuse chinoise » en 2000.

Dans ce roman de fiction historique se déroulant dans la province de Schian durant les années de la Révolution culturelle en Chine, nous suivons deux amis : Luo et le narrateur de 17 et 18 ans se connaissant depuis l’enfance qui sont envoyés en rééducation car ils sont considérés comme des « intellectuels ».

Tous les deux son fils de parents travaillant dans la médecine.

Ici, nous allons étudier un passage comique de ce roman. Dans ce passage, le chef du camp se plaignant d’une carie se rend vers ces deux jeunes étant donné que le père de Luo est un dentiste ayant soigné les dents du président Mao et de sa femme.

En quoi ce passage nous propose-t-il un retournement comique ? Dans ce passage, tout d’abord, précisons que le narrateur est un personnage du livre.

Il emploie « je me posais… » à la page 165.

Au début du texte, le narrateur nous fait une comparaison.

Il compare la denture du chef à une sierra déchiquetée, la gencive noircie à des roches préhistoriques de basalte puis la dent à la source de ce malheur à un écueil calcaire, coquiller, poreux, solitaire et menaçant.

Dans la dernière comparaison que nous venons de citer, il y a.... »