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4 théories littéraire : Arthaud, Deleuze et Guattari, Robert, Girard

Publié le 29/01/2025

Extrait du document

« Arthaud : Le théâtre et son double « Il faut croire à un sens de la vie renouvelé par le théâtre, et où l’h impavidement se rend le maître de ce qui n’est pas encore, et le fait naître.

Et tout ce qui n’est pas né peut encore naître, pourvu que nous ne nous contentions pas de demeurer de simples organes d’enregistrement.

» S’en prend à l’art pour l’art, la forme pour la forme.

S’// à la conception d’un art qui sépare culture et vie.

Il faut aller à rebours de cette tendance // tout formalisme. Il compare le théâtre à la peste : le théâtre doit être un bouleversement, réveiller tous les conflits qui sont en nous, dégager des forces, et si elles sont noires, ce n’est pas la faute du théâtre mais de la vie.

Purgation totale de l’être. Dévalorisation de la parole.

Si le théâtre est une tension entre texte et rpzt°, Arthaud nous dit que ce doit avant tout être une rpzt°, avec rejet de la dictature de la parole, au < de la pantomime par exemple, des gestes. La mise en scène doit l’emporter.

Il s’en prend au théâtre contemporain qui a rompu avec le danger  il faut s’inspirer du chaos.

Théâtre mtk en Asie > psychologisant en Occi = trop humain, faut un théâtre qui renoue avec les forces. « L’infirmité spirituelle de l’Occident, qui est le lieu par excellence où l’on a pu confondre l’art et l’esthétisme, est de penser qu’il pourrait y avoir une peinture qui ne servirait qu’à peindre, une danse qui ne serait que plastique, comme si l’on avait voulu couper les formes de l’art » Distinction entre théâtre ori et occi  le théâtre ori retrouve une acception religieuse : ex du théâtre banimé où le metteur en scène est 1 e p/r à l’acteur qui s’efface.

Le mettre en sc est alors un maître de cérémonie. Alchimie mentale qui fait d’un geste une tendance vers l’absolu.

DONC : le théâtre doit être au-dessus des mots, la littérarité n’est pas dans le texte. Insistance sur la mise en sc avec idée que la manière de rpzter toute la violence purge de la violence.

Associe le théâtre à la cruauté que va ressentir le spectateur.

Faut que le théâtre fournisse « des précipités véridiques de rêves, où son goût du crime, ses obsessions érotiques, sa sauvagerie, ses chimères, son sens utopique de la vie et des choses, son cannibalisme même se débondent sur un plan non pas supposés et illusoire mais intérieur » Il faut détruire le lieu traditionnel du théâtre pour que le spectateur soit + au contact de la scène.

Désindividualisation, redevenir des mythes, se réconcilier avec force vitale  montrer que le caractère éphémère des choses pour procurer une exaltation. DONC : réduction du langage, se remise en Q°, sa suppression au < du cérémoniel, de la mise en sc-ne.

Nouvelle littérature qui se dit par les gestes, les rites, par un nouveau rapport au langage.

S’en prend à la monumentalité des chefs d’œuvre et à leur conception occidentale. Deleuze et Guattari : En écrivant à 2, ils se dépersonnalisent.

Le « nous » est « aspiré, multiplié »  la subjectivité s’estompe, se perd, au < d’agencements différents. Déf° de « livre » : matière diversement formée, n’a pas d’objet ni de sujet, est fait de matériaux, de vitesses différentes.

On attribue, nous, un livre à un sujet  on néglige ce taf des matières hétérogènes, on estompe les lignes de fuite.

Déterritorialisation  en enlevant un sujet, en attribuant l’œuvre à.... »

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