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Les Mathématiques ont-elles leur place au tribunal

Publié le 01/06/2024

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« Les Mathématiques ont-elles leur place au tribunal.

On songe à la question. Ne s'agit-il pas plutôt de concilier conviction (terme juridique à définir dans question) et persuasion de par un amas de preuves accablantes et un discours poignant ? Je crois fermement que les nombres n'ont pas fini de nous surprendre. Et je suis ici pour vous en convaincre.

J'ai d'ailleurs choisi ce sujet pour sa pertinence avec mon projet professionnel ainsi que la curiosité qu'il a suscité chez moi.

Mais là n'est pas la question.

Car pour l'instant, il me faut répondre à celle-ci: Les probabilités sont-elles une preuve efficiente dans des procès criminels ? Pour cela, je débuterai par la présentation du théorème de Bayes, l'homme qui a permis aux mathématiques d'enfiler leur cape de justicier.

Puis j'aborderais une critique de l'utilisation des probabilités dans les tribunaux à travers un cas concret. Tout d'abord, c'est de par un long cheminement trouvant son origine dans des définition de la probabilité conditionnel (terme à définir) que Thomas Bayes (qui estil ?) en est arrivé à cette formule (savoir la démontrer) que vous pouvez observez sur la feuille juste devant vous, à la case Dit comme ça, cela ne vous évoque peut-être pas grand chose, je peux le concevoir.

Alors prenons plutôt un exemple, disons qu'une dame âgée est accusée d'avoir volé des pommes vertes.

On note [u] l'énoncé « la dame est bien innocente » On note [X] l'énoncé “un témoin l'a vu sortir du magasin, marchant vite au volant de son déambulateur” Disons que P(I) = 0,9990 (99,9%) et que P(X) =1/2 Px(I) = 0,9997 environ (99,97) On voit bien que de par ce théorème, la probabilité de son innocence a varié.

Une façon parmi d'autre de témoigner de la plausible utilité des probabilités dans les cours de justice.

Mais ne nous attardons pas trop sur la théorie, un cas concret étayer davantage mes propos.

Penchons nous sur l'affaire de Sally CLARK contre l'état (quand ?).

Un procès est intenté à la jeune avocate britannique pour le meurtre de ses deux enfant.

Si la mort du premier laisse penser à un cas de mort subite du nourrisson (terme à définir), l'autopsie du deuxième, conçu un an plus tard, recense toutefois des signes suspects de maltraitance, faisant ainsi peser le doute sur la culpabilité de la mère étant celle qui a trouvé son deuxième enfant inanimé. les preuves sont minimes, les témoignages dresse le portrait d'une mère aimante. Pour autant les probabilités la mettent derrière les barreaux.

En effet, 3 critères ayant un impact significatif sur la fréquence de ce drame, sont établi par une étude du CESDI (qu'est-ce que c'est ?).

« Mère de moins de 27 ans ».

« Famille avec fumeur» « Famille avec 2 parents chômeurs ».

Or dans une famille comme les CLARK, ne.... »

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