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Comment les méthodes statistiques sont-elles utilisées pour évaluer l'efficacité des médicaments génériques et comment cela peut-il être utilisé pour améliorer la qualité des soins de santé ?

Publié le 13/06/2023

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« -Comment les méthodes statistiques sont-elles utilisées pour évaluer l'efficacité des médicaments génériques et comment cela peut-il être utilisé pour améliorer la qualité des soins de santé ? Intro :  Présentation de la problématique Mon projet postbac me pousse à me poser une question sur le métier que je souhaite exercer je veux être préparatrice en pharmacie et je me demande comment les méthodes statistiques sont-elles utilisées pour évaluer l'efficacité des médicaments génériques et comment cela peut-il être utilisé pour améliorer la qualité des soins de santé ?  Le contexte les enjeux 1ère partie : Les méthodes statistiques pour évaluer l’efficacité des médicaments génériques  Test cliniques et analyses statistique Pour obtenir une autorisation de mise sur le marché (AMM), un médicament doit satisfaire à plusieurs critères explorés à différents temps du développement. Dans un premier temps, le développeur (privé ou public) cherchera à connaître sa tolérance (effets secondaires), son action sur le métabolisme, sa pharmacocinétique lors de la première administration du médicament chez l’humain  Critère d’équivalence entre médicaments générique et de marques 2ème partie : Les avantages et les limites des médicaments génériques  Les coûts et l’accessibilité des médicaments génériques  La question de qualité et de sécurité des médicaments génériques Un excipient est dit "à effet notoire" quand sa présence peut nécessiter des précautions d'emploi pour certaines catégories particulières de patients.

"Les excipients à effet notoire ne sont pas toxiques à proprement parler, mais doivent être pris en compte car ils peuvent provoquer des allergies, des intolérances ou des hypersensibilités", tient à préciser notre experte.

Ils peuvent aussi être mal tolérés chez certains patients sensibles.

Si un patient présente une allergie à un excipient à effet notoire, le médecin peut apposer sur l'ordonnance la mention "non substituable".

Dans ce cas, le pharmacien est obligé de lui délivrer le médicament de référence qui ne contient pas l'excipient en question.

A noter que certains médicaments génériques peuvent contenir des excipients différents de ceux du médicament princeps et peuvent ainsi avoir une formulation sans excipient à effet notoire contrairement à celle du médicament de référence.

La présence de ces excipients à effets notoires est signalée dans la base de données publique des médicaments de l'ANSM et dans le répertoire des génériques pour toutes les spécialités (génériques et médicaments de référence) qui en contiennent.

Ils sont également signalés au patient dans la notice du médicament et sur certains emballages. 3ème partie : Les implications pour la qualité des soins de santé  L’impact des médicaments générique sur la santé publique  Les initiatives pour améliorer la qualité des médicaments génériques Conclusion : En quoi la plasticité cérébrale peut-elle permettre de lutter contre les premiers effets de la maladie d’Alzheimer ? Intro : La maladie d’Alzheimer est une maladie neurodégénérative grave, caractérisée par une perte progressive de la mémoire et d’autres fonctions cognitives.

Elle est la forme de démence la plus fréquente chez les personnes âgées.

Elle affecte environ un million de Français.

Les troubles caractéristiques de cette maladie (perte de mémoire progressive, troubles du langage, dépression, perte d’autonomie…) altèrent la qualité de vie des patients et de leurs aidants. Le contexte de la recherche sur la plasticité cérébrale pour la maladie d'Alzheimer est de trouver des moyens de ralentir, d'arrêter ou de renverser les effets de la maladie.

La plasticité cérébrale fait référence à la capacité du cerveau à s'adapter et à se modifier en réponse à des stimuli externes ou internes.

Les chercheurs cherchent à comprendre comment la plasticité cérébrale peut être utilisée pour compenser les déficits cognitifs causé par la maladie d'Alzheimer.

Les enjeux de la recherche sont de trouver des thérapies efficaces pour ralentir ou arrêter la progression de la maladie, d'améliorer la qualité de vie des patients atteints de la maladie d'Alzheimer et de réduire les coûts économiques et sociaux associés à la maladie. Nous allons nous poser la question suivante : En quoi la plasticité cérébrale peut elle permettre lutter contre les premiers effets de la maladie d’Alzheimer ? Cette question nous concerne tous car nous avons sûrement une personne de notre entourage qui est atteint de cette maladie ou nous pouvons se pencher sur la question car cela peut nous concerner dans le futur car D’ici 2050, le nombre de personnes touchées par une maladie neurocognitive devrait atteindre plus de 1 800 000 cas.

Cela représenterait donc 9,6% des plus de 65 ans et 6,2% de la population active. A partir des données de la prévalence, il a été décrit que les femmes étaient plus fréquemment touchées par la maladie d’Alzheimer que les hommes.

Ce résultat peut s’expliquer avant tout par le fait que les femmes vivent plus longtemps.

Des études ont néanmoins montré que cette observation est à moduler selon l’âge : l’incidence de la maladie d’Alzheimer n’est plus élevée chez les femmes qu’après 80 ans. 1ère partie : Les mécanismes de la plasticité cérébrale On va tout d'abord s'intéresser aux processus de neurogenèse et de Synaptogenèse.

Qui ont un lien très important dans la maladie d'Alzheimer.

Tout d'abord, la neurogenèse est le processus de formation de nouveaux neurones dans le cerveau. Elle se produit principalement dans 2 zones du cerveau, l'hippocampe et le Bulbe olfactif.

La Neurogenèse est un processus complexe qui implique la prolifération, la migration, la différenciation et l'intégration des nouveaux neurones dans les circuits neuronaux existants.

Alors que la Synaptogenèse est le processus de formation, de nouvelles connexions synaptiques entre les neurones, elle implique la croissance et le développement des dendrites et des axones.

Ainsi que la formation d'une nouvelle synapse entre les neurones.

La Synaptogenèse est un processus important pour le développement du cerveau et pour l'apprentissage et la mémoire tout au long de la vie.

Ces 2 processus ont un lien avec la maladie d'Alzheimer.

Puisque la maladie d'Alzheimer est caractérisée par la perte progressive de neurones dans le cerveau ainsi que la diminution de la densité synaptique.

Les processus de neurogenèse de la Synaptogenèse sont donc perturbés.

Dans la maladie d'Alzheimer, les chercheurs étudient comment stimuler la neurogenèse et la synaptogenèse pour ralentir ou arrêter la progression de la maladie.

Les thérapies qui visent à stimuler la Neurogenèse et la Synaptogenèse sont donc des pistes de recherche prometteuses pour le traitement de la maladie d'Alzheimer. Les neurotransmetteurs sont des.... »

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