DEFINITION DU COMMERCE ELECTRONIQUE
Publié le 07/03/2023
Extrait du document
«
SOMMAIRE
INTRODUCTION...........................................................................................................2
I.
DEFINITION DU COMMERCE ELECTRONIQUE ?..............................................3
II.
LE FONCTIONNEMENT DU COMMERCE ELECTRONIQUE..............................3
III.
DIFFERENCES ENTRE E-COMMERCE ET E-BUSINESS..................................4
IV.
LES DIFFERENTES FORMES DE COMMERCE ELECTRONIQUE....................4
1.
Selon le profil commercial...................................................................................4
2.
Selon le modèle commercial...............................................................................5
V.
AVANTAGES ET INCONVENIENTS DE LA CREATION D’UN E-COMMERCE.
.6
1.
Avantages............................................................................................................6
2.
Inconvénients / défis............................................................................................7
VI.
ÉTAPES POUR CREER UN E-COMMERCE........................................................8
1.
L’idée................................................................................................................8
2.
Analyse de l’idée.................................................................................................9
3.
Stratégie............................................................................................................10
4.
Plan d’action......................................................................................................10
CONCLUSION.............................................................................................................12
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUE.........................................................................13
1
INTRODUCTION
Dans les années 1990, les vendeurs ont découvert un nouveau canal de vente :
Internet.
Dans l'absolu, l'e-commerce, c'est-à-dire le commerce électronique, désigne
simplement l'achat et la vente de produits et services sur Internet.
Cependant, le
terme est souvent utilisé pour décrire toutes les mesures et actions entreprises par
un vendeur dans le but de vendre des produits en ligne directement aux
consommateurs.
Le processus démarre dès qu'un client potentiel découvre un
produit, l'achète et l'utilise jusqu'à, idéalement, devenir un client fidèle.
2
I.
DEFINITION DU COMMERCE ELECTRONIQUE ?
Le commerce électronique désigne le fait de vendre un bien ou un service par voie
électronique, via un réseau Internet.
Entreprises et particuliers peuvent lancer leur
activité de e-commerce, tout dépendra ensuite du type de transaction selon les
modèles de commerce électronique.
Le e-commerce (autre appellation du commerce électronique) est un processus
d'achat et de vente, par l'intermédiaire d'un ordinateur ou d'un Smartphone.
Cette
stratégie multicanale est largement plébiscitée, d'autant qu'avec les nouvelles
technologies, le commerce mobile prend de plus en plus d'ampleur.
Pour les entreprises ou les particuliers, si l'achat des produits ou des prestations de
services se font à distance, le paiement s'effectue lui aussi en ligne, par transaction
électronique.
II.
LE FONCTIONNEMENT DU COMMERCE ELECTRONIQUE
Le commerce électronique est accessible sur la toile 24h/24 et 7 jours/7, à la
différence du commerce traditionnel.
En pratique, le cyberacheteur suit presque le même processus d'achat que lorsqu'il
se rend dans une boutique physique.
Il cherche des informations sur un produit et
compare son prix via un moteur de recherches.
En parallèle, il peut aussi être séduit par un article ou un service additionnel, et ainsi
effectuer un achat compulsif.
Dès qu'il passe sa commande, l’e-commerçant de la
boutique en ligne s’occupe de la logistique et lui livre le produit fraîchement
acheté à son adresse.
Le commerce électronique est un canal de distribution.
Simple et rapide à utiliser, il
permet de faire ses achats à toute heure, sans même avoir à se déplacer.
Nombreux sont ainsi les clients à se laisser séduire par la possibilité de trouver
n'importe quel produit, à n'importe quel moment, depuis n'importe quel lieu.
Taxes, code de la consommation, paiements par carte ou par d'autres moyens, droits
et devoirs des entreprises, spécificités des pays européens, de Etats-Unis...
Cette
économie numérique prend en charge toutes les spécifications du commerce
physique.
3
III.
DIFFERENCES ENTRE E-COMMERCE ET E-BUSINESS
E-commerce et e-business sont deux concepts que l’on a tendance à confondre.
En
réalité, ils n’ont rien à voir l’un avec l’autre.
Le e-commerce se réfère seulement à la transaction de biens et services entre un
acheteur et un vendeur.
Le e-business, quant à lui, fait référence à l’ensemble du
processus à mettre en œuvre afin de gérer un commerce en ligne.
À l’intérieur du e-business, on trouve par exemple (liens en anglais) :
Le inbound marketing
Les promotions
La gestion du stock
Le SEO
L’email marketing
etc.
Comme on le voit, le concept de e-business est bien plus large que celui de ecommerce.
En tant que type de modèle d’entreprise, le e-commerce fait partie du ebusiness.
IV.
LES DIFFERENTES FORMES DE COMMERCE ELECTRONIQUE
Le monde du e-commerce est très vaste et comprend plusieurs modèles distincts.
Il
est possible de faire 2 classifications :
Une classification globale basée sur le modèle commercial (qui vend et qui
achète)
Une autre basée sur le modèle commercial.
1.
Selon le profil commercial
Chaque commerce se dirige à un type de client spécifique.
Cela nous permet de
distinguer les types d’ e-commerce suivants :
B2B (Business-to-Business) : entreprises dont les clients finaux sont
d’autres entreprises ou d’autres organisations.
Par exemple, une boutique de
matériel de construction qui s’adresse à des architectes ou des décorateurs
d’intérieurs.
B2C (Business-to-Consumer) : entreprises qui vendent directement les
produits ou services aux consommateurs finaux.
C’est la forme la plus
courante, et l’on dénombre une multitude d’exemples dans les domaines de la
mode, de l’électronique, etc.
4
D2C (Direct-to-consumer) : les fabricants vendent directement leurs produits
au consommateur final, sans passer par des distributeurs ou des
intermédiaires.
Comme nous l’avons vu précédemment, HP est un exemple
de e-commerce D2C.
De nombreuses autres grandes marques
comme Nike, Apple ou Gucci, pour n’en citer que quelques-unes, ont opté
pour ce modèle.
C2B (Consumer-to-Business) : portails sur lesquels les consommateurs
proposent un produit ou un service que les entreprises peuvent acquérir.
Il
s’agit des portails d’emploi freelance classiques comme Elance, Odesk,
Humaniance, Hopwork, etc.
C2C (Consumer-to-Consumer) : entreprises qui facilitent la vente de
produits entre consommateurs.
Les exemples les plus parlants sont eBay,
Leboncoin ou tout portail de vente d’articles d’occasion entre particuliers.
Ces formes de commerce électronique sont les plus courantes.
Il en existe
également
d’autres
types,
comme
le G2C (Goverment-to-Consumer),
le C2G (Consumer-to-Goverment) ou le B2E (Business-to-Employer).
Comme l’on peut le voir, le commerce électronique regroupe des réalités qui vont au
delà d’un simple achat dans une boutique.
2.
Selon le modèle commercial
Le monde en ligne est un secteur encore peu mâture.
Les changements
technologiques sont constants et les nouveaux commerces en ligne répondent aux
nouvelles nécessités.
On peut différencier le type de e-commerces en fonction des revenus générés ou de
la façon dont a lieu l’échange entre l’acheteur et le vendeur :
Boutique en ligne disposant de ses propres produits : c’est la première
chose à laquelle on pense quand on pense au e-commerce.
Les mêmes
caractéristiques qu’une boutique physique, dans une version en ligne.
Dropshipping : pour le client, il semble s’agir d’un e-commerce normal.
La
différence vient du fait que c’est un tiers qui envoie le produit, et non pas le
vendeur.
Pour en savoir proche sur le dropshipping, nous vous conseillons de
lire notre guide complet consacré au dropshipping (en français).
E-commerce d’affiliation : les commerces d’affiliation vont plus loin encore
que le dropshipping.
Dans ce cas, non seulement la boutique n’envoie pas le
produit, mais la vente n’a pas lieu sur sa plateforme.
Le e-commerce redirige
le client vers une autre boutique qui lui paie une commission une fois la vente
conclue.
L’affiliation avec Amazon est la plus fréquente.
Par
5
exemple: Biodegradable.es.
Si ces modèles vous intéressent, n’hésitez pas à
lire nos articles (en anglais) consacrés spécifiquement au marketing
d’affiliation ou encore à la vente sans stock.
Adhésion : ce type de e-commerce cherche à ce que ses clients effectuent
des achats récurrents.
Le moyen privilégié pour les obtenir est à travers d’un
abonnement périodique (hebdomadaire, mensuel, trimestriel, etc.).
Ce type
d’adhésions est actuellement en vogue avec les « boîtes surprises ».
Il s’agit
d’une boîte envoyée chaque mois (ou à une autre fréquence) et qui contient
certains produits.
Un de nos clients, NUOObox, propose par exemple des
boxs de cosmétiques naturels et bio.
L’avantage de ce modèle est de
s’assurer un revenu récurrent chaque mois.
Marketplace : une marketplace est une boutique regroupant plusieurs
boutiques.
Il s’agit d’un site web sur lequel différents vendeurs proposent leurs
produits.
Amazon est l’exemple de marketplace par excellence : plusieurs
entreprises mettent leurs produits en vente sur la plateforme en échange
d’une commission reversée à Amazon.
Servicices : un e-commerce ne vend pas forcément des produits.
Formations,
conseils, coaching et, de manière générale, tout temps échangé contre de
l’argent.
C’est une bonne option viable pour commencer sans prendre de
risque.
Comme nous l’avons vu précédemment, les avancées dans ce secteur sont
quotidiennes, et de nouveaux types de commerces électroniques voient
constamment le jour.
V.
AVANTAGES ET INCONVENIENTS DE LA CREATION D’UN ECOMMERCE
Pourquoi les e-commerces sont-ils devenus si nombreux sur Internet en si peu de
temps ?
Premièrement, car le e-commerce représente d’importants avantages par rapport
au commerce traditionnel.
1.
Avantages
Davantage de clients : ni une boutique locale ni une entreprise implantée
dans plusieurs villes ne peut atteindre autant de personnes qu’un ecommerce.
Pouvoir acheter et vendre depuis n’importe quel endroit du globe
élargit considérablement le public cible et permet d’obtenir davantage de
clients.
Pas d’horaires : à l’inverse des boutiques traditionnelles, qui sont rarement
ouvertes 24/24h, le e-commerce n’a pas d’horaires.
Le site web reste ouvert
6
et accessible au public toute la journée et le client peut donc faire ses achats
à n’importe quelle heure.
Moindre coûts : pouvoir se passer d’un établissement physique permet de
réduire les coûts par rapport au fonctionnement d’un commerce traditionnel.
Et si le e-commerce fonctionne en mettant en contact des fournisseurs avec
des acheteurs, il n’y aura même pas de....
»
↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓
Liens utiles
- Cours commerce international et internationalisation de la production
- Smith: Le commerce fausse-t-il la valeur du travail ?
- Le commerce et la morale sont-ils compatibles ?
- Peut-on faire commerce de tout ?
- Le commerce des choses est-il égal au commerce des idées ?