les liens sociaux

« EMC Notre société repose sur des liens sociaux.

Ses liens sociaux sont l’ensemble des relations qui unissent les individus fessant parti d’un même groupe social.

Les fondements du lien social reposent sur la communication, la confiance, l'empathie et le partage.

Cependant de nos jours ses liens se fragilisent.

Nous nous demanderons alors comment fondements du lien social se trouvent de nos jours fragilisés.

Dans un premier temps, nous découvrirons que la cohésion sociale est fragilisée par l’individualisme.

Dans un second temps, nous analyserons l’évolution des instances d’intégration de manière à identifier en quoi elle remet en cause le lien social. Tout d’abord nous pouvons remarquer que les générations âgées affirme qu’avant la chaleur des relations sociales étaient plus grande.

Ceux qui avaient 20ans en 1950-60 idéalise le passé et le considère comme l’âge d’or.

De plus en plus de personnes vivent seules et isolées cependant cela ne s’signifie pas toujours un isolement relationnel notamment chez les jeunes.

Pour les personnes âgées l’isolement relationnel est plus fréquent (doc 1). Des écarts se creusent entre les rôles occupés par chacun par exemple au travail.

Ce manque d’intégration est appelé par Emile Durkheim anomie.

Les membres de la société se différencient cela peut mener comme aujourd’hui à une forte individualisation.

Les individus sont donc moins solidaires les uns avec les autres.

Nous qualifions cela « d’exclusion » ou de « fracture sociale ».

Les formes antérieures de cohésion sociale fondées sur la proximité sociale et géographique diminuent fortement.

Ce processus de rupture avec les attaches antérieures au risque de laissé des individus seuls et isolé est la désaffiliation (doc 2). Nous pouvons également remarquer que la pauvreté a un impact important sur les relations sociales.

En effet une personne gagnent peu d’argent vas pouvoir compter sur moins de personnes en cas de besoin qu’une personne gagnant plus d’argent.

Par exemple un individu gagnant moins de 1000euros pourras compter l’aide de 8collègues alors qu’un individu gagnant plus de 4600euros pourras compter sur 43 collègues.

Ce phénomène est aussi vrai dans la famille et pour les amis cependant la différence est moins importante (doc 3).

Les pauvres sont donc en quelque sorte exclus de la société. Le processus d’individualisation est complexe et contient quelques ambivalences.

En effet on observe une émancipation vis-à-vis des relations de dépendance personnelle notamment dans la sphère de l’entreprise et de la famille grâce à la sécurité et à la protection sociale (exemple : retraites, assurances…).

Par exemple, sans argent les jeunes adultes ne peuvent pas s’individualiser.

Maintenant, sous le prétexte de lutter contre l’assistance, l’Etat favorise le communautarisme.

Les solidarités peuvent être positives mais elles sont ambiguës car elles créent aussi une dépendance.

La différenciation et l’émancipation font parties du processus d’individualisation mais il est nécessaire pour notre société de conservé une forte solidarité nationale (doc 4). L’individualisme contribue donc à la fragilisation de la cohésion sociale.

Les individus sont indépendants et sont moins solidaires.

Ils sont maitres de leurs choix et n’ont pas à obéir aux prescriptions sociales ou morales d'un groupe.

L’individualisation a été favorisée par la différenciation et aux aides de l’Etat. Ensuite, le lien social se crée grâce aux instances d’intégration telles que la famille, l’école ou encore le travail.

Ses instances évoluent et cela remet en cause les liens sociaux.

La fonction de la famille est d’éduquer les enfants et de leurs transmettre des normes d’apprentissage, de respect et d’obéissance (groupe primaire de socialisation).

Cette intégration permet de réguler les pulsions individuelles par le contrôle social.

Cependant aujourd’hui ce rôle intégrateur diminue à cause de l’affaiblissement juridique et de la nécessité de s’émanciper encore plus favorisée par les groupes de socialisation secondaires (doc 5).

De plus, le modèle d’une famille évolue fortement.

De plus en plus de famille sont recomposées à la suite de divorces, des enfants issues d’une autre liaison… Cela force à prendre en compte le passé des uns et des autres et l’intégration dans la famille de l’autre n’est plus progressive (de ménage sexuel à mise en ménage).

Ce phénomène complexifie les liens car les liens traditionnels familiaux peuvent être remis en question même si cela ne signifie pas forcément que ses liens disparaissent (doc 6-7).

En effet en cas de besoin, 62% des personnes gagnant moins de 1000euros reçoivent de l’aide de leur famille (parents, grands-parents…).

Les jeunes entre 18 et 29 ans sont ceux qui reçoivent le plus d’aide 53% car ils ont besoin d’argent pour s’émanciper (doc 8). L’école évolue elle aussi.

La scolarisation en France est de plus en plus longue (du niveau préélémentaire au supérieur) et elle est accessible à tout le monde (garçons, filles, riches, pauvres).

En effet l’un des principes fondamentaux de l’école républicaines est l’égalité des chances pour tous.

Cependant cette massification autrement dit la démocratisation, n’a pas forcément fait disparaitre toutes les inégalités mais a transformé les relations sociales dans la famille et le rapport au travail causant donc une réelle.... »