CHAPITRE 1 : Quelles sont les sources et les défis de la croissance économique ?
Publié le 21/03/2023
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CHAPITRE 1 : Quelles sont les sources et les défis de la
croissance économique ?
Intro : joj
1) Quel est le rôle de l'innovation sur la croissance économique ?
2) Comment l'innovation peut-elle contribuer à reculer les limites écologiques
d'une croissance soutenable ?
3) L'accroissement de la productivité globale des facteurs suffit-il à expliquer la
croissance économique ? 4) L'accumulation des facteurs de production est-elle
la seule source de croissance économique ?
5) Quel est le rôle du progrès technique dans le processus de croissance
économique (en quoi il favorise) ?
I) le progrès technique est une composante essentielle de la croissance
a.A : Il y a un lien entre progrès technique et accroissement de la productivité globale des
facteurs
E:
b.A : La productivité globale des facteurs est déterminante dans le processus de croissance
E:
I) le pt est endogène favorisant le caractère cumulatif de la croissance
a.A : pt résulte des décisions d’investissement en r et d et des innovat° q en découlent
E:
b.A : progrès technique a un effet d’entraînement sur la croissance éco
E:
6) Le progrès technique n’a-t-il que des effets positifs ?
7) Rôle des institut° dans la croissance éco
8) La croissance est-elle compatible avec la préservation de l'environnement ?
9) L’intervention de l’État favorise-t-elle la croissance économique ?
10) Les limites écologiques sont-elles le seul défi posé par la croissance éco ?
11) Montrer les défis de la croissance éco
I) C’est un des défis
a.A : La croissance éco génère externalités négatives sur l’e
E : product° et c° intensives→ pollut° et externalités négatives→ CO2 et rc + on épuise
nos ressources (eau, pétrole…)
b.A : Sa soutenabilité (durabilité) est donc remise en quest°
E : épuise bien commun (surexploitat° ressources halieutiquesqu’est l’e, notre modèle de
croissance éco n’est pas soutenable → défi à surmonter
II) Non, inégalités de revenus dues au progrès technique
a.A :pt favorise revenus du capital (intérêts versés banques…) et pas ceux du W (salaires)
E : pt à l’origine de gains de yté→ aug valeur ajoutée→ répartie entre revenus capital et W→
répartition q peut ê inégale car certaines innovat° mécanisent le W→ pt alors synonyme de destruct°
d’emplois→ inégalités revenus entre ceux du capital et ceux du W
b.A : le pt aug inégalités salariales
E : pt favorise travailleurs qualifiés car la mondialisat° met E en concurrence→aug de la demande
de W qualifié et baisse du W non qualfié→ contribue polarisat° des emplois et salaire hauts pour W
qualifié et baisse revenus W pas qualifié
(III) L’innovation peut aider à faire reculer les limites écologiques
a.A :
E:
CHAPITRE 3 : Comment est structurée la société française
actuelle ?
Intro : À l’heure actuelle, il y a des mobilisations collectives notamment des travailleurs, salariés
dans les raffineries qui fait beaucoup de profits.
Ces travailleurs dénoncent les inégalités salariales.
Cette situation est le reflet d’une société française stratifiée, découpée en catégories hiérarchisées
qui présentent en leur sein une certaine homogénéité.
Le mouvement social des Gilets Jaunes, débuté en réaction à une taxe sur le prix du carburant, illustre l’importance du
facteur économique dans la structuration de l’espace social.
1) Peut-on dire qu'une approche en termes de classes sociales est toujours
pertinente pour rendre compte de la société française actuelle ? 2) Dans quelle
mesure les classes sociales sont-elles un outil pertinent pour penser la société ?
I) La Fce n’est plus une société de classes au sens de Marx (1818-1883)
a.A : déclin des classes en soi
E : pendant la période des 30 glorieuses (prospérité éco) s’est développée une vaste classe
moyenne : grâce aux évolutions économiques comme le plein-emploi (chômage inférieur à 5%),
évolutions sociales (démocratisation scolaire) et politiques (système de protection sociale) les
inégalités de revenus se sont grandement affaiblies.
Les frontières de classe se brouillent alors sous
l’évolution de la distance inter-classes et intra-classes.
De plus on observe une montée de
l’individualisation dans nos sociétés q affaiblit la logique de classe car elle marque l’émancipation
de l’individu par rapport à son groupe d’appartenance → plus de logique de classe en soi
b.A :déclin des classes pour en soi et pour soi
E : Alors que la catégorie des ouvriers reste importante parmi les actifs (20%), très peu d’entre
eux ont le sentiment d’appartenir à la classe ouvrière.
Une majorité d’entre eux comme c’est le cas
pour les autres CSP, ont l’impression d’appartenir à la classe moyenne → la conscience de classe
des ouvriers s’est effritée au cours du temps.
Une classe sociale au sens de Marx étant une classe en
soi, et une classe pour soi, où les individus ont conscience de partager une mm classe sociale, ont
des intérêts en commun et se battent pour les défendre → plus de classes sociales au sens de Marx
II) Mais il existe encore des groupes sociaux q font penser à des classes
sociales au sens de Marx
a.A : Montée des inégalités qui pousse les gens à se regrouper
E : On assiste depuis les années 1980 à une montée du chômage et de la précarité
notamment parmi les PSC les moins diplômées.
Ce qui cause des inégalités économiques
(inégalités de revenus) mais également sociales (face à l’éducation, la santé).
Ces PSC vont
alors se serrer les coudes.
b.A : La bourgeoisie, une classe en soi et une classe pour soi
E : La bourgeoisie encore aujourd’hui possède toutes les propriétés d’une classe en soi et d’une
classe pour soi : beaucoup d’argent, de patrimoine, de disposition culturelle, elle cultive la stratégie
« d’entre soi » pour défendre et reproduire sa position dominante.
En effet, elle habite dans les
beaux quartiers, entretient une sociabilité intense, fréquente des cercles fermés, établissements
d’excellence pour les enfants…
3) Les facteurs économiques sont-ils les seuls facteurs de hiérarchisat°
sociale ?, Quels sont les facteurs de hiérarchisation sociale
I) Le facteur socio-économique est important
a.A : catégorie socioprofessionnelle
E : différents facteurs sont liés à la position socio-économique et structurent l’espace social : c’est
le cas de la catégorie socio-professionnelle.
La nomenclature des PCS (professions et catégories
sociopro) de l’INSEE classe les catégories sociales en fonction de leur statut (salarié/indépendant),
de leur secteur d’activité, de leur niveau de qualification et de la nature de la tâche effectuée.
b.A : diplôme et revenus
E : Le revenu est souvent lié au diplôme : plus le niv de diplôme d’un indiviidu est élevé, mieux
celui ci gagnera bien sa vie.
Plus un individu gagne sa vie, plus il est placé haut dans une société.
Il
existe des inégalités de revenus qui permettent de faire apparaître des groupes sociaux qui se
distinguent en fonction de leur niveau de revenus.
II) Mais l’espace social est aussi hiérarchisé par des facteurs sociodémographiques
a.A : Sexe
E : Tout un ensemble de facteurs sociodémographiques contribuent à hiérarchiser l’espace social.
Les inégalités salariales entre les hommes et les femmes s’expliquent par la socialisation
différenciée qui fait que les femmes consacrent davantage de temps aux tâches domestiques (ou
pensent qu’elles doivent davantage se consacrer aux tâches domestiques), et que les femmes (et les
hommes) considèrent que c’est le rôle des femmes de s’occuper des enfants.
Du coup elles
travaillent plus souvent à temps partiel et font moins d’heures supplémentaires et elles choisissent
moins souvent des postes à responsabilité et occupent des emplois moins rémunérés (dans le secteur
des services en particulier).
Elles sont aussi plus souvent victime de discrimination.
Le genre est donc un critère qui permet d’identifier des inégalités.
b.A : Lieu de résidence
E : La répartition des ressources publiques permettant de financer les services publics est
inégalement répartie sur le territoire.
Les habitants de Seine saint Denis ont moins accès aux
services publics que les Parisiens par exemple.
Cette inégalité d’accès aux services publics peut
avoir des conséquences sur la réussite scolaire, l’accès à l’emploi… ce qui a un impact sur la place
des individus dans l’espace social.
On peut supposer que si ces territoires sont délaissés c’est parce
qu’ils ont peu de représentants politiques, de personnalités influentes qui défendent leurs intérêts car
il n’y réside pas.
De plus, les résidents de ces zones ont un fort taux d’abstention.
4) Quelles sont les principales évolutions de la structure sociale en Fce ?
I) Mutation des emplois
a.A : salarisation
E : hausse de la part des salariés dans la population active.
On assiste en France depuis un siècle à
une augmentation de la part des emplois salariés, même si, depuis une dizaine d’années, il y a de
plus en plus d’emplois non-salariés.
La salarisation s’explique par le fait que la part des indépendants et des artisans diminuent parce
que d’un côté les entreprises cherchent à fidéliser leurs salariés pour répondre à la demande de biens
et services et de l’autre les individus recherchent un salaire fixe accompagné de droits sociaux.
b.A : tertiarisation
E : hausse des emplois tertiaires dans l’emploi total.
Dans les pays développés,
l‘industrialisation a vu la part du secteur primaire (agriculture) diminuer au profit du secteur....
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