Questionnaire Baudelaire

« Baudelaire Questionnaire « Les Fleurs du Mal » Thème 1 : Autoportrait du poète 1) Dans le 3eme poème des Fleurs du Mal « élévation » Baudelaire se décrit de façon assez particulière car il n’utilise jamais la 1ère personne du singulier « je », il s’adresse à son esprit de manière assez spécial car il lui parle comme si c’était une réelle personne l.7 « Tu sillonnes gaiment l’immensité profonde ».

Il se décrit son esprit, c’est-à-dire lui-même comme une mauvaise chose l.9 « Envoletoi loin de ces miasmes morbides ».

Les miasmes morbides signifiant les mauvaises critiques.

Baudelaire encourage son esprit à être créatif sans écoute les mauvaises critiques. Dans le 68eme poème des Fleurs du Mal « La Pipe » Baudelaire se décrit littéralement et explicitement comme la pipe d’un auteur a la première personne du singulier l.1 « Je suis la pipe d’un auteur ».

Mais Baudelaire ne dit pas juste qu’il est la une simple pipe, il incarne en fait sa propre pipe personnelle sans le dire directement, dans un premier temps, il dit l.1 « […] pipe d’un auteur » et dans un second temps l.4 « Que mon maitre est un grand fumeur ».

Baudelaire qui était d’ailleurs un grand fumeur de haschich, de plus il dit l.12 « Et je roule un puissant dictame ».

Il parle souvent du haschich. 2) Dans le poème 39 des Fleurs du Mal, il n’y a pas de titre à proprement parler.

Baudelaire espère que son nom et son art traverseront les époques afin d’arriver aux yeux et oreilles de nous lecteurs.

L.1-2 « Je te donne ces vers afin que si mon nom Aborde heureusement aux époques lointaines ».

Il annonce aussi que sa plume peu faire, que nous simple lecteur ait du mal à comprendre ces quelques vers et nous fasse mal au crane.

l.5-6 « Ta mémoire, pareille aux fables incertaines fatigue le lecteur ainsi qu’un tympanon ».

Charles Baudelaire a été qualifié par ces contemporain de « poète maudits » il retorque alors avec ces vers l.9-11 « Être maudit a qui, de l’abime profond jusqu’au plus haut du ciel, rien, or moi, ne répond ! » Preuve que ce statut de maudit ne l’atteint guère. 3) Dans la société Baudelaire est considéré comme le « mal aime », « l’affreux jojo » ou encore « le vilain petit canard », comme un poète fou, maudits et complètement drogues au haschich.

Mais ce dernier ne prend pas ces critiques à cœurs et continue d’écrire de façon à toucher ces contemporains et la génération futur jusqu’à aujourd’hui. Thème 2 : Le « Spleen » 4) Le mot « spleen » (rate) provient du latin splen, désignant aussi cet organe. Le sens en français « « mélancolie » vient du fait que l’ancienne médecine associât cette maladie a la bile noire.

Pour Baudelaire, le Spleen est une profonde mélancolie.

Dans le 74eme poème de Fleurs du Mal, le poète évoque de lointains souvenirs.

L.3-4 « Les lointains souvenirs lentement s’élever au bruit des carillons qui chantent dans la brule ».

Il évoque aussi des décès.

L.12 « Et qui meurt, sans bouger, dans d’immenses efforts ». 5) Dans la tête de Baudelaire, le spleen est provoqué par, une tentative non accomplie d’atteindre l’Ideal.

Après cette tentative effectue en vain, Charles Baudelaire se retourne vers le spleen, le mauvais, le lait, vers l’ange déchu qui n’est autre que Satan. Thème 3 : L’Ideal 6) Pour Baudelaire, l’idéal signifie un statut de tranquillité, de calme et de sagesse, qui une fois atteint vous confère un sentiment de tranquillité là ou votre esprit peut se balader en toute aisance l.5 « Mon esprit, tu te mens avec agilité ».

D’ailleurs dans le poème 3 des Fleurs du Mal « élévation » il ordonne lui-même a son esprit de s’envoler afin de sr purifier pour enfin peut être atteindre l’Ideal l.9-10 « Envole-toi bien loin de ces miasmes morbides vas te purifier dans l’air supérieure.

L’aire de dire « vas et grâce à toi j’atteindrai ce fameux idéal ». 7) Dans le 6eme poème des Fleurs du Mal « Les phares » Baudelaire déclare son amour envers plusieurs peintres et artistes et même savant qui ont précède sa naissance.

En effet, des le 1er vers il Ya une référence à Rubens célèbre peintre flamand du XVIIème siècle l.1 « Rubens, fleuve d’oubli jardin de la paresse ».

Il évoque aussi Leonard de Vinci l.5, Rembrandt l.9, Michel ange l.13, Puget l.20, Watteau l.21, Goya l.25 et enfin Delacroix l.29 et Carl Maria.

Sans cite les personnages de la mythologie comme hercules au faune.

Ils sont tous issues des mouvements artistiques du baroque, du romantisme et de la renaissance et du rococo.

Pour les couleurs, le jaune et le vert sont évoqué l.19 et l.13.Enfin ce qui est des thèmes « l’ombre » l.7, « Mélancolique » l.20. Thème 4 : La femme 8) Dans le poème « Le Balcon », Baudelaire parle d’une femme amoureuse « Nous avons dit souvent d’impérissables choses […] Que les soleils sont beaux dans les chaudes soirées ! ».

Ensuite dans le poème « le vampire », Baudelaire parle d’une femme d’une manières sombre et méprisable « Comme aux vermines la charogne, -maudite, maudite soit-tu ! ».

Baudelaire dans le poème « le chat » il parle d’une femme qui 'il aime et il la compare au chat en disant « je vois ma femme en esprit.

Son regard, comme le tien, aimable bête ».

Ensuite Baudelaire dans le poème « le serpent qui danse » parle d’une femme aimée et sa relation avec elle en la comparant a beaucoup de chose comme un serpent « à te voir marcher […] on dirait un serpent qui danse au bout d’un bâton.... »