Hggsp: quelle est l'attitude du gouvernement des États-Unis dans la gestion internationale de la question environnementale et climatique ?

« Les Etats-unis demeure comme le 1er pays au monde d’émission de GES, c’est aussi le pays avec une importante consommation de CO2 après la Chine Avec une superficie de 10millions de km carré, il est reconnu comme le 3ème pays au monde par la taille après la Russie et le Canada, ils sont au première loge pour découvrir le réchauffement climatique en particulier grâce à leurs côtes ( 22000km) et à la fonte des glaces en Alaska.

Les états-unis ont été aussi victime de diverses phénomène extrême dû au réchauffement climatique.

Nous allons donc voir ensemble quelle est l'attitude du gouvernement des États-Unis dans la gestion internationale de la question environnementale et climatique ? Les états-unis abritent les plus grands parc nationaux, elle est classée 5 ème au rang mondiale pour les superficies en air protégés ; Le national parc service est une agence dépendant du gouvernement fédéral des États-Unis, chargée de gérer les parcs nationaux, les monuments nationaux et quelques autres propriétés historiques et zones protégées du domaine fédéral, elle a été créer le 25 août 1916, chargé de préserver des exploitation utilitaire (exploitation forestière et minière + protection de la faune et de la flore) tout en permettant au public d’y avoir accès pour ses loisirs. DIAPO AVEC LES DATES: issu on peut visualiser les différentes étapes qu’à traverser les etats unis pour la question du réchauffement climatique. Earthday : l’ancien sénateur du Wisconsin a organisé une grande manifestation pour l’environnement, le fameux Earth Day, pour réclamer sa prise en compte dans les politiques fédérales américaines.

Ce défilé a conduit à l’adoption de plusieurs lois fondamentales comme celles sur la protection de l’air, de l’eau et des espèces menacées, ainsi qu’à la création de l’Agence de Protection de l’Environnement (EPA). CLEAN AIR ACT :La loi de 1990 a amélioré la possibilité de coordonner les actions inter-étatiques en ouvrant la porte à la création de Commissions inter-États (au sein des États-Unis) visant à gérer les problèmes transfrontaliers de pollution. (Photo yellow, canyon explication : service de nps- préservation- forme d’inquiétude environmmentale.) document frise : protocole de kyoto Les pays en voie de développement n'ont pas d'engagement quantifié de réduction de leurs émissions dans le protocole de Kyoto ; c'est une des raisons pour laquelle les États-Unis refusent de ratifier le protocole en l'état , sommet de copenhague En décembre 2009, la conférence internationale de Copenhague a réuni les délégations de 193 États afin de négocier un accord international capable de lutter efficacement contre les changements climatiques. Depuis la mise en évidence du phénomène du réchauffement climatique par les scientifiques, la position des États-Unis a beaucoup varié sur le climat : elle est tributaire des alternances politiques à Washington.

Pour résumer, les démocrates sont beaucoup plus sensibles à la question que les républicains.

La montée des courants anti-écologistes freine la politique environnementale fédérale.Les puissants lobbies pétroliers et charbonniers obtiennent un assouplissement des réglementations dès la présidence Reagan (1981-1989).

L’administration fédérale tend à nier le réchauffement climatique.

En 2001, le pays se retire du protocole de Kyoto sur la réduction des émissions de gaz à effet de serre.

Le premier tournant a lieu en 2000 lorsque George Bush emporte la présidentielle dans des conditions très controversées face à Al Gore, sous la pression des compagnies pétrolières qui multiplient alors les fausses informations sur le climat, Bush en 2001 refuse de ratifier le protocole de Kyoto sur les émissions de gaz à effet de serre qui a été reconnu par Bush trop injuste et coûteux et non ratifié par la Chine.

Il faut attendre l'arrivée d'un démocrate, Barack Obama en 2009, pour que les États-Unis s'engagent à nouveau sur ce sujet. -"avec toutes ses actions, Barack Obama a lancé les Etats-Unis sur la voie de la transition énergétique", résume Elliot Diringer, un des responsables du Center for Climate and Energy Solutions, groupe indépendant qui promeut les énergies propres , la production de solaire a été multipliée par dix et celle de l'éolien par trois, réduction des émissions de CO2, signature de l'accord de Paris, abandon du projet de pipeline, Obama promet d'abord une réduction de 80% des émissions de gaz à effet de serre des États-Unis d'ici à 2050. Les États-Unis, néanmoins, s'engagent dans les accords de Paris qui est un traité international sur le réchauffement climatique adopté en 2015.

Il concerne l'atténuation et l'adaptation au changement climatique ainsi que leur financement.

Mais avec l’alternance politique en 2016, Trump qui arrive au pouvoir retire les états-unis des accord de paris« L’accord de Paris compromettrait notre économie, briserait nos travailleurs, (…) et nous mettrait en situation de faiblesse permanente par rapport aux autres pays du monde, a-t-il estimé, Il justifie ce retrait par des arguments économiques et financiers, estimant de son devoir de défendre avant tout les emplois et les travailleurs américains et avec lui, les climato-sceptiques une personne qui nie ou minimise l'origine anthropique du réchauffement climatique, voire le réchauffement lui-même. Nouvelle alternance avec Biden en 2020, les États-Unis s'engagent à nouveau sur le sujet.

dès sa prise de fonction : Joe Biden réintègre ces accords.

Et voici aujourd'hui les États-Unis juridiquement contraints, comme 190 autres pays,.... »